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Les Mags de Jelen

Capítulo 2 Amar

Nombre de mots : 1241    |    Mis à jour : 28/06/2021

pas que son champ ressemble aux tristes parcelles voisines. Il préférait encore faucher quelques épis et les tisser pour faire un présent à sa femm

it souillée, de sorte qu’aucune culture n’était possible. Leurs voisins d’exploitation se réunissaient dans un petit village non loin, racontaient des chose

cadre de vie, confort et sécurité. Cependant, par souci de régulation de la population, les grands parents d’Amar avaient été contraints de quitter la Cité ; ils av

jamais dénaturé par une vilaine repousse ni cont

la très tôt contre l’autorité et voulut sa liberté. Comme il était bien trop jeune pour cela, il lui était formellement défendu de s’éloigner de la propriété, tot

cieux. Il se souvenait avoir couru à petites et véloces enjambées pour prévenir, tout sourire, de l’évènement le plus catastrophique qui soit. Ses parents l’av

e la porte de l’enfer se referme. La peur, pleine de curiosité, faisait porter loin les regards. Mais personne ne voyait jamais le visage du danger mis à part les soldat

it le jour imminent. Il lui était devenu facile de déjouer la surveillance de ses parents et

ues. Le sourire n’était plus aussi franc ; l’aurore adolescente faisait tomber sur lui une conscience dont il ne pouvait plus ignorer les mises en garde. Son père le gi

’en était épris. La grandeur de ses tours, l’éclat de ses rues pavées

’avait cessé de cr

ge avec du linge, de la nourriture et de l’eau. Et avaient mis leur fils à la porte

répondu aux questions de ses par

s ? Quelqu’un qui t’a offert plus d’espace et nourrit plus généreuse

tait toujour

Son père reconnut que pour son équilibre, il fallait lui permettre de s’aventurer où son coeur souha

l’avance ; il ne voulait rien omettre. Il avait pris toutes les réserves de couvertures, de vêtements chauds, de conserves. Un monticule impressionnant s’était formé

sserait largement le temps d’explorer les contrées aban

rents - bras dessus dessous - s’étaient inquiétés du risque.

année s’éta

ient le père et la mère se remplit un jour d’une m

ur d’un plat chaud et fixant le feu de cheminée. Il av

d ; les animaux avaient grelotté davantage que lui. Alors, de nuit comme d

durants ; ils l’étaient au prix d’u

juste assez de vivres pour que les chevaux

avait demandé

ion, voilà comment il résumait

enta

à lui happer le visage. Ce dernier, un grand monstre au pelage bleu, l’avait soulevé haut. En reprenant conscience, A

ndrait moins d’affaires et moins de chevaux. Ai

titude bienveillante. Et il savait que ses parents lui interdira

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