Feu et Glace
e de retrouver les filles. Et bien sûr, j'ai éga
ans mon lycée, nous avons des uniformes et descends prendre mon petit déjeuner. Bien entendu, je prends mon petit déjeun
eux. Je m'entends bien avec eux. Ils me laissent une certaine liberté et me font confiance. Si mes parents avaient été plus présents, je ne suis pas sûre que mon secret aurait été si bien gardé. Une fois prête, je pris mon sac, mes clés de voiture et let's go. C'est vraiment quelque chose
on qui se connaît depuis la 6e. Cependant, nous avons de grandes infrastructures, ce qui est super agréable parce que nous ne sommes pas entassés à
un arbre, Abby qui attend que Maria revienne avec des informations. Ça me fait toujours rire de les voir à la fois si différentes mais en même temps, si complémentaires. Je décide donc de rejoindre Abby, n'a
ès, nous la voyons r
ntente. Alors oui nous sommes dans la même classe, m
u peux m'expliquer en quoi cett
rantir qu'il est trop beau ! J'ai jamais vu un garçon
de la bave sur le coin de la bouche, lui di
-elle en croisant les bras et en tirant la langue.
oulez vous prendre un billet de retard dès le premier jour, je prop
us se revoir, ils se sautent dans les bras, se racontent leurs vacances s'ils ne se sont pas
leus et rouges, jamais assez grands pour supporter tous les élèves qui y passent ; la cafet dans laquelle on peut retrouver les différents groupes qui composen
ent enfin de me lâcher pour que l'on puisse rentrer dans la salle de manière normale.
est toujours ce que je déteste le plus car, avec mon nom de famille en W, je suis toujours tout au fond. D'un certain côté, ça m'arr
ôté de moi. Sans grande surprise, je vois qu'il s'agit toujours de Daniel Warriors. Oui oui, je vous promet, son nom de famille est bien Warriors. Mais la comparaison s'arrête juste la. A part embêt
n sûr je ne la trouvais pas, sinon ça aurait été trop facile, je
riais-je. Ç
désolé, je n'ai
oi était grand, les cheveux blonds/roux avec des yeux bleus/verts magnifiques. Outre le fait que je le trouvais vraiment beau, ce qui m'empêchait
urprise dans ses yeux puis de la curiosité. A ce moment-là,