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Les larmes du désir.

Les larmes du désir.

Auteur: Iola.M
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Chapitre 1 Le début de la fin

Nombre de mots : 1258    |    Mis à jour : 04/04/2024

ces deux dernières semaines où je faisais mes gammes dans l'entreprise de mon père la « HARTMAN society » n'ayant du haut de mes vingt-cinq ans aucune ambition particulièr

it été accordé et je ne m'en plaignait pas mais j'avais du mal à en

par la prestance qu'il avait, je n'en avait jamais douté son entreprise créé par feu mon grand père Maxwell HARTMAN était l'une des plus rentable et

il rêvait que l'une de ses filles prennent un jour sa relève. Mes deux sœurs ayant choisi d'autres voies il ne restait que moi comme candidate au titre et j'espérais

nt qui imposait le respect par son seul regard. Il faut dire que notre histoire familiale l'avait profondément affecté et je pe

es chagrins, prodiguer des conseils, lire des histoires et faire des câlins. Puis il revêtait son costume de dirigeant et repartait pour de longues journées de labeur sans jamais sourciller où nous accule

lattait et me rendait triste souvent, mes sœurs ainés avait pris leurs traits de mon père surtout l'aîn

ins. Mes sœurs aussi se sont beaucoup occupées de moi, Auxane l'aînée avait 12 ans et Liselle la benjamine 10 ans lorsque maman s'en est allée rejoindre les étoiles elles ont pris leurs rôles de gr

un peu. Auxane de plus venait d'avoir des jumeaux, Jules et Alicia et elle ne savait plus où donner de la tête quant à moi

n plein cœur d'une forêt majestueuse appelée « la forêt centenaire » et mise à part pour mes études supérieu

que je mis suis toujours senti bien et en sécurité. Mais depuis peu mon père ayant été la cible de menaces et autre intimidations un florilège de gardes, d'agents de

était éparpillé partout autour de moi, une odeur de brûlé c'est répandu partout dans la pièce et une fumée épaisse m'a saisi à la gorge, je me suis crispé, bloquant ma respiration, je n'osais plus bouger d'un iota avant de vérifier qu'aucun morceau de verre ne m'avait blessée quand ensuite j'ai enten

partements de mon père qui était déjà entrain de venir à ma rencontre. Il m'a observé effrayé à tâtonné mon visage et m'a crié d'un ton que je n

le que je trouvais sur la porte de celui ci qui ne disposait d'aucun verrou, ce salon avait l'avantage de ne disposer d'aucune fenêtre ni d'aucune vu sur l'extérieur, l'entrée se faisait

pes et mon cœur tambourinait comme rarement il l'avait fait auparavant. Les minutes étaient affreusement longues et j'angoissais de savoir mon père au dehors. L'agi

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