Apprivoiser l’alpha puissant
st un peu complexe. Nous avons vraiment besoin de vos services pour soigner notre Alpha de son imprégnation. La meute a besoin de lui, ors vous voyez bien qu'il est fortement dim
re intérêt que cette his
vouloir comprendre ce qu'il veut dire par là,
er sans douleur, et ce serait pou
peu, visiblem
ès tout tu l'as utilisé, ça paraît normal que tu payes de ta personne pour le re
e une telle proposition. J'ai l'impression de ne même pas avoir la valeur un animal de compa
fera dormir sans effet d'accoutumance évidemment... M'explique-t-il, en choisissant soigneusement ses mots, tout en étant un peu tremblant. Quand notre Alpha aura complètement repris le co
oposer de me droguer durant plusieurs semaines pendant lesquels s
le : c'est trop ! C'est complèt
on hystérie que je ne parviens plus à juguler. Je continue d
yd, qu'il a relâché, sont en train de so
mme ça. Je ne serai pas un morceau de viande qu'un loup, un vampire où un humain pourra br
tanément, tout en me préparant mentalement à m'expulser de la voiture alors que l'on roule encore
eur regard ébahi, puis je donne un grand coup d
re voiture fait une embardée sur la droite. J'en profite pour échapper à la poigne de fer de l'alpha, tétanisé par ce qui est en train de se pro
traversant maintenant les autres voies. Pendant ce temps les automobilistes autour ce sont mis à freiner de manière brutale, provoquant des sur-accidents, le tout se transformant en carambolage géant. Les y
e m'écrase. Je me relève tant bien que mal, me mettant aussitôt à courir au milieu des véhicules qui freinent à leur tour en s'encastrant les uns dans les autres, bo
t d'un lapin tentant de semer so
e. Le chauffeur me regardant à travers le par brise, avec de grands yeux choqué. J'ai peut-être encor
urse. Je la pousse sans délicatesse pour ouvrir la portière, m'engouffrant
ds nus et mon Sweat est déchiré à cause de l'atterrissage violent s
'ai fini ma journée !
Je veux juste aller loin d'ici, je vous donner
dire, qu
cheront pas comme ça, sans lui je suis foutu. Je couvre mes oreilles en me ratatina
as qu'il m'attrape par pitié ! Lu
e décidant à se retourner afin d'enfoncer l'accélérateur, me plaquant contre le dossier. Je m'accro
m'attendant à ce qu'un monstre brise la vitre arrière pour me récupérer. Cep
es, je ressent une vive douleurs. Serrant les dents, je me sers de mon autre main pour relever la manche de mon pull, observant ma peau violacée peu ragoûtante, accompagnée d'un gonflement inquiétant. S'il n'est pas brisé, il n'en est tout de même pas loin. Je ne m'en suis pas rendu compte en
ur au bout d'un moment alors que j'essaie d
e, à bou
dire ça,
r qu'ils te chassent comm
réponds en réfléchi
l'un d'eux et depuis c'es
e jetant un reg
oins on les croisent
e glacée. Ça fait du bien.
qu'ils peuvent
chasseurs ! Tu ferais bien de cha
ne minute avan
'amener à une
ma belle ! C'est la
lqu'un avec la tête sur les épaules. Une cinquantaine d'années, chauve,
inspiration en commen
sez bien les
-humains, pourquoi ? Me répon
dans le district 5, a
rtier h
l sait que je n'ai jamais eut l'occasion de
je mal à l'aise. Je... J'ai l'impression que je ne devrais pas b
r à aller vers eux, ils chassent, et nous on n'est les proies!
réajuster une photo
ans de mariage, deux enfants et elle c'est barré avec un de ses dents pointus, du jour au lendemain ! Après autant de temps, pers
inutes avant que je n'
vous avez des no
l'ai appris quand la brigade de conciliation est venue à la maison pour
x, en essayant d'
Toutes mes condoléance
fants. J'ai l'impression d'abuser mais je sens qu'il pourrait me
onciliation ? Demandé-je en me creusant la cer
olice, à cause de mon beau père, ma
Ils sont censé être neutre, sauf qu'en vrai ces bâtards sont à la soldes
contre moi, comme si la fameuse brigade
de New-York. Je lui tends ma carte bleu, toutefois il la refuse, à la p
a à t'en sortir ! Le parfum c'est pour camoufler ton odeur,
saye de marcher aussi calmement que possible vers la gare routière. La bonne nouvelle c'est que les bus partent et arrivent normalement: je ne vois aucun mouve
bouteille de parfum sur moi. Debout devant les lavabos, dégoulinant de l'eau de toilette bon marché, je prend un instant pour me regarder
nde inspiration, je rentre ma tête dans mes épaules puis je sort enfin de ma zone de replis. Hésitante, dans l'encadrement de la porte, je regarde dans le hall de gare, i
chaussures. Heureusement, les voyageurs sont trop occupés par leur propre vie pour s'inquiéter de la mienne. A l'aide de quelques mots laconiques je prend un aller simple pour la frontière ca
ouvée aucune ligne direct. Le plus important, c'est que je serai p