Apprivoiser l’alpha puissant
l a fini la viande depuis longtemps, mais il avance en me collant naturellement, comme si j'étais sa propriétaire depuis des années. Rassurée de l'avoir auprès de moi, je cours aussi longtemps q
it la garde pendant que je reprenais mon souffle, vient s'enrouler autour de moi dans un geste de réconfort bienvenue. Sa chaleur me fait un bien fou. J'enfouis ma tête dans sa fourrure, profitant de cette impression d'invulnérabilité qu'i
à l'hôpital... Enfin, dans le meilleur des cas, quand je pouvais encore me traîner là bas. Pourtant aujourd'
la respiration de mon loup, le nez dans sa fourrure, je me p
visage quand je me réveille quelques heures plus tard. Je n'ai pas eut froid car mon grand ca
ir. Au bout d'un moment, je m'arrête pourtant il continue à se frotter espérant que je reprenn
est entrain de partir par touffes. Il va falloir que je le brosse rapidement pour le débarrasser de tout cela, car pour le moment on dirait vraiment un chien g
. Je suis sereine aussi, une main sur le garrot de mon compagnon poilu, j'ai l'impression qu'il ne p
à un vampire ! Lui expliqué-je après avoir r
s aux enchères d'êtres humains et connaissant mon beau père, ça me paraîtrait logique qu'il y participe. Tout en
, je n'ai plus peur ! Je vais faire ma demande de visa pour le Canada ! Quoi qu
a première fois depuis des années que je regarde mon avenir sans avoir les tr
ura de grandes forêts et de grands espaces où tu pour
re en me communiquant sa bonne humeur. Oui ! malgré tout ça, j
s dévorer aujourd'hui la grande pomme, il glisse sa gross
cœur, je réalise aussitôt qu'il faudra bien que je le laisse ici pour aller travailler car je crains qu'il ne fasse peur aux passants. J'ai
agement ici ! D'accord ?
nne, mais je dois me dépêcher, je ne suis pas
! Lui dis-je sans grande
a peut être compris finalement. Je cours sur le trottoir pour attrap
tête posée contre la vitre, je réfléchis à toute cet folie.
ite, c'est comme s'il avait toujours fait parti de moi. Je commence a angoisser de ne pas le retrouver à mon retour. Pensive, je retire tout les p
ps de récupérer mes affaires avant de pointer. Il faudra que je fasse la journée sans
ur trouver un endroit discret afin de dormir le soir a
on nouveau client. Je me sens bien, le vent contre mes joues me rafraîchissant agréablement tandis que la conduite me force
ombre canine connu dans une ruelle que je longe. Je c
d là, assis tranquillement, la langue pendante. J'écarquille les yeux, en ouvrant les bra
demandai-je comme s'
r les échelles de secours. Je pense qu'il doit se servir des toits et
out va bien se passer. Je prends donc une grande inspiration dans sa fourrure, en souriant contre sa peau, n'essayant même pas de le faire rester ici. Ce chien est
prendre mon travail. Je jette cependant des regards régulie
errière une boucherie qui me donne des abats pour les chiens abandonn
iers avant de m'enfuir. Toutefois si je veux réussir, je dois bien me préparer. La dernière fois, Carlos m'a rattrapée facilement, et j'ai mis un mois
ions. Je vais commencer en disant que je fais un voyage d'agrément, je pourrais déjà rester trois mois. Ensuite, je ferais les démarche
mon boulot dans le bar où je nettoie derrière les clients. Il est
s clients se soit vidé l'estomac devant les év
rentrer mon loup dans le local de la remise. Il dort paisiblement, je peux donc travailler t
ilettes en me percutant l'épaule. Sans me voir, trop éméché, les yeux dans le vague, il a déjà ouvert sa braguette et sorti son engin. Je me pousse s
nt tu vas ? Me lâche-
le. Je mets une main sur
ore d'aussi prêt, je risque de vous nett
C'est le genre de client lourd, qui une fois
mande-t-il en titubant. Je suis un client...
sans comprendre, puis je sens la vibration car
le dos, je pointe un endroit va
x ! Vous