Apprivoiser l’alpha puissant
evenir chez moi. Entre mon loup peut-être agonisant et Car
nt je
ant l'heure habituelle. Malgré la lenteur de l'omnibus, j'espère arriver à l'heure car je sais que plus mon beau père attend, plus il devient dangereu
oler au milieu de la route, s'emmêlant ensuite dans les grilles d'une épicerie fermée depuis probablement avant ma naissance. La ville parle d'une rénovation complè
ien. Personne n'aurait nettoyé ici, donc s'il a été accidenté, il est parti se cacher plus loin. J'aimerais prendre le temps de le retro
ne boucherie. Montant les marches avec appréhension, j'arrive à peine au milieu de l'étage que j'aperçois déjà la tête de dogue de Jerry, l'un des sous fifres de mon beau père. L'homme est couvert de larges cicatrices obtenues dans des combats clandestins, mais c'est son regard d'encre
découdre. Les dents serrées, craignant un coup par derrière, je continue toutefois ve
cer de là où il est, à tel point que j'ai l'impress
ns les yeux tout en me répétant co
ordonne-t-il de
rtant je marche comme si je n'avais rien à craindre, je ne veux
l de mon loup, quelques mètres derrière mes bourreaux. Il est couché au sol, les babines relevées, tendu, près à leur sauter dessus. Ce pourrait êtr
s d'un pouce. Obnubilée par mon compagnon à quatre pattes, je n'ai pas le temps de voir arriver, et encore moins de me protég
re que t'attendre devant ta porte ! Dit-il de sa voix hargneuse en tapotant l'écran de sa montre
t pas sur mon sort, me concentrant sur mon loup auquel je jette un regard suppliant, réussissant à l'arrêter avant qu'il ne bondisse. Profitant
er en essayant de me protéger. Je ne doit pas lui faire sentir que je suis en danger. Du coin de l'œil, je l'observe hésiter, grognant tout bas tandis que je sens
pour attirer l'att
rauque par la peur tandis que le sbire se focalise à nouveau sur moi,
en ai du mal a reprendre mon souffle tandis que les tremblements du sol gagne en intensité. Je n'ai cependant pas le temps de vraiment r
res, je les vois brancher un tuyau sur la seringue rapidement rougit par mon liquide vital qui se vide ensuite dans de
e, petite chienne ! Me lâche-t-il, f
mpte-il faire ? Est ce qu'il s'est décidé à vendre mes organes ? Les yeux écarquillés de terreur
? Ma voix est trop aiguë, mais je s
s une gamine de 5 ans qui ven
r les regarder à la lumière, comme si c'était un rubis.
au père qui me regarde avec un mélange de hargne et d'amusement. Je déteste son sourire, j'aimerais pouvoir le lui arracher de sa
tapoter doucement la joue, comme s'il
e je revienne ! Me souffle-t-il avec
t de mes joues vers le plancher. J'ai du mal à respirer : j'ai peur, j'ai mal, j'ai honte. Encore une fois, il m'a mise plus bas que terre, encore une fois, il a
ts m'agrippent par le t-shirt avant de me soulever. Tournant la tête vers ce nouvel agresseur, je me rend compte que c'est un des hommes de mon beau père, alors
nt alors que je te
n va jouer ensemble toi et moi... Je ne voudrais pas faire baisser le prix de
lui balance un coup de tête dans le nez. Il
l devant mon visage affolé, il sort un couteau de son dos tandis que je me retourne afin de ramper pour lui échapper. Il est persuadé d'avoir gagné, il en salive d'avan
de moi avant de le percuter à la taille. L'homme hurle autant de terreur que de douleur pendant que les dents de mon protecteur s'enfon
quand je l'attrape par l
ui susurrai-je à l'oreil
de son torse, mais respirant encore. Je décide que la punition a été suffisante pour aujourd'hui, aussi je resserre mon étreinte sur mon ami ca
cependant ce qui m'inquiète c'est que la police nous traque s'il venait à périr. S'il le déchiquette, ils sau
dont j'en suis capable. Tout va bien ! Il
ienne et ne voie ce que mon ami à poils à fait à son sous-fifre. Je cours rapidement, retournant dans mon appartement en coupe vent, attrapant mon sac à dos d
rs lui afin qu'il reste à mes côtés. Il ne met pas longtemps à se lécher les babines en relevant les oreilles. Quelques inst
a nuit, ensuite, il faudra aviser. Mon cerveau fonctionne à cent kil