Mariée de force au roi
pit
uver demain devant la cour royale. Celle qui ne sera pas prése
uis des jours. Les sujets du royaume s'impatientaient de cette
st un dur et rigoureux roi à la gestion et au bi
MYRI
pour pouvoir enfin atteindre les portes du palais. Deux gardes barrent la route, plusieurs personnes attendent devant la grille, un
garde. Heureusement pour moi, il me remarque assez vite et vient voir. Je me rends compte que nous so
re nom made
yriam S
et vous ave
ai dix n
enez, vous p
laisser passer. Je les remercie après avoir franchi la grille, je n'ai pas besoin de poser des qu
e à rien. Je ne savais pas qu'il fallait soigner son apparence pour venir voi
lorsque je vois qu'on délimitait des places à chacune ici présente. Je me demande de quel côté doivent se trouver les hommes, les
voir rencontrer sa majesté.. Nous sommes tenues par une sorte de rang interminable, toutes les filles semblent avo
ous étions sur le point de recevoir une formation sous haute commandeme
aisser poster ici enc
yeux) : tchipp, je s
répondre aussi mal ? Je ne savais pas les fi
ochés du roi. Il nous inspecte une à une, pose des questions alors qu'il ignore d'autres. Toutes les filles qu'il toise sont automatiquement sorties du fil et accompagnées vers la porte. J'espère au fon
comment ? Me q
nomme
iam,
lles qui auront la chance de s'entretenir avec le roi. Au final, nous ne sommes pas plus de quinze filles, chacune d'entre nous jaug
l qui nous entoure. Je jette des petits coups d'œil par ci
ms sonores s'élèvent sans nous prévenir, les rythmes cardiaques s'accélèrent. On se regarde t
ouette à la fois sûre de lui et indolente. Il était vêtu d'un qamis noir élégant et de bottes en cuir. Il était entouré de gardes qui tentaient d'accaparer son attention. Pourtant, lorsqu'il atteignit la dernière marche de l'escalier, il leva aussitôt la tête vers moi, plongeant son regard dans le mien. En l'espace de quelques s
Il sort très rarement de sa réserve et lorsqu'il le fait, la
e la personne qui lui parlait s'éloigne, il se rapproche et je retiens mon souffle. Il vient avec sa prestance, son aura qui dégage quelque chose d'unique qui semble hypnotisant. Il passe de fille en fille avant de s'arrêter de
la t
é par un des gardes. Et lorsque que je rencontre s
e passe, des femmes viennent me prendre chacune le bras pour me conduire je ne sais où. La peur me tenaille le ventre, j'ai envie de crier, de leur demander ce qu'il se pass
n de se passer. Mon cerveau fonctionne mais mes me
llement, j'ai envie de leur dire de me laisser partir, que mo
asser ici
ais je dois re
'est désormais i
vous racontez, ma grand-mère m'at
me toi ma fille, on v
ne comprenez pas, je dois p
roi, je vais me débrouiller avec mes
vous ne com
omprendre quoi
(rire)
sont le
: quels
femmes, celles qui s
elles sont ren
pourquoi je
mais tu as
) : choisi
dent avant d'é
se passe
tu as été la p
éférée d
is pour le ch
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dre là, choix de f
e ne suis pas venue pour ça. Je suis la parce
en auras plus be
mes tresses. Je bouge mais aucune d'elles ne fait attention à moi. C'est p
: mais lâchez
me jeune fille, nous devons v
ie vous parlez et arrêtez de
'avaient pas entendu et commen
tez qu'est-ce q
détachent aussi vite et tombent en lambeau.
e) : vous êtes
à vous taire, sa majesté n'ai
n'ai que faire de ce qu'il aime
i des habits à me
ine avec une grande bassine d'eau d'où dégagent des odeurs de saveurs. Heureu
nt que je ne saisis ce qu'il se passe, je suis déjà imbibée à l'intérieur de la première bassine. Elles se regroupent toutes autour de moi et chacune prend un de mes membre
me. Lorsqu'enfin elles décident de me sortir, je suis tellement lessivée que
comprends pas pourquoi ils font tout cela alors que j'ét
st bon mainten
me regardant nue
r des habits neufs
c un tissu d'un blanc pure. La femme roule le tissu sur mon
le : bonne ch
du mal à comprendre. Elles marchent en faisant des petites danses, un autre tissu blanc vient me voiler le visage. Je ne vois plus rien de tout
femme : n'
t comme une auto
êter, j'ai envie de soulever le voile, mais