Mariée de force au roi
venais de faire le tour quand un cri de femme m'empêche de m'éloigner plus, je fais vite demi tour vers mes hommes
: que se pas
roi mais la reine a
rit bientôt que c'était peine perdue, je fais signe à Aziz de la laisser avant de m'
lides se referment sur elle
mettre sur le cheval en une seconde, je me retrouve en tra
MYRIA
ancer sur le sol a
: lèv
ourné, je n'ai pas hésité à taper sur dos du cheval pour l'accélérer. Mais contre toute attente, voilà que deux gardes sur leurs chevaux me barrent la route avant qu'Omar ne vienne me soulever avant d'essa
rder son visage, il me fait peur. Son regard n'annonçait rien qui vaille
e dans les yeux, mais son empoigne fait si mal que je n
u me fa
eur devient insupportable, il marche et je suis obligée de presque courir pour ne pas que ma tête se déboîte. Il passe les arbres alors que je suis en train de h
eux, mais je ne reste
(silenc
] depuis tu refuse de me donner des nouvelles de lui, je m
élève dans les airs et vient troubler t
compris ? D'accord quand on
ême me torturer mais c'est plus fort que je ne veux être sa femme,
PA
d : e
ma chairs, j'ai mal dans mon cœur. Je suis sur le point de m'évanouir tant je
on unique frère même ce n'est pas l'amour fou entre nous à cause de s
lotant) :
ui en train de l'implorer d'épargner la vie de mon frèr
laît, arrêtez
velle fois les reins. Je crus
toi ! Me
son corps. Je n'étais plus que
u
douleurs, si cela continue, il risque de mourir. Alors enf
c'es
ller, il ne fronce pas les
f
ur d'arrêter, c'
: tu es
était péremptoire. Je le regarde avec mépris
es) : doyna ! (ça
ous sommes arrivés ce matin et depuis il n'a cessé de me
: j'a
qui me barrent la vue avant de v
femme jusqu'à la mort, tu jures de me rester fidè
che l
ause, tu jures de partager
quand je tourne le regard vers mon frère, je
signature alors que quelques gouttes de larmes tombent sur le papie
le poigne de Rachid m'en empêche, je détourne
verras mais p
avec sa vie une bonne fois pour toutes. J'attends
de et la porte s'ouvre sur ces fe
celui-ci ne me lâche et leur fait signe de partir avec moi. Je jette un dernier
*
i laissé le bonheur d'user de mon corps comme bon leur semble. Plus rien ne me reste parce qu'après tout, je