Éclats de Foi : Lettres d'Élizabeth
re
. J'avais sombré dans l'alcool, essayant de noyer la douleur des informations apprises. Un prove
e l'alcool, les miennes persistent. Peut-être sont-elles diab
oussait donc à la relire, puis un sentiment de tristesse me donna envie de retourner vers le Père André. D'y retourner jusqu'à ce que je
ir. Les gouttes de pluie glissant lentement le long des vitres attirèrent mon attention. Ces perles liquid
pluie trop petit, et nos rires avait percé le brouillard de nos préoccupations. Des
petits instants de joie, comme si chaque goutte de pluie
école d'apprendre de ses parents. Il n'y a personne d'autre autour pendant ses premières années de vie, que celle qui allaite l'enfant et ce
ctes outrageux d'un enfant. Or, leurs carac
homme fort qui ne frémi pas devant les émotions. Seulement, ce Dieu vers qui tu m'as envoyé, lui qui est pourtant le plus fort des soldats de gu
ais aussi qu'il n'aimait pas maman, néanmoins, un homme, m'en a révélé le contraire. Père André prétend que l'orgueil a été le
sais déjà. Car, la mort te l'a sûrement fa
us. Parce que ce doute emprisonne mon bonheur. Je peine à remettre les clefs de mon cœur à un homme. Le seul qui a
intenant, j'en ai l'assurance, les blessures d'un
à son enfant que l'enfer est un endroit paisible. Pourtant, c'est encore pire que la canicule en été qui nous
ta tombe. Tu l'as surement vu, je n'en sais rien. J'y ai mis m
plus grand et de plus beau là-bas, aurez-vous même le temps de passer par cette boite aux lettres et de lire mes messages ? Que dis-je, je ne sais même pas encore quel genre d'
ettre, une autre raison a nourri en moi l'idée de r
fait de savoir maintenant que tout ce que je connaissais d
qu'avait prise maman. Je n'ai juste pas été aussi forte qu'elle ou aussi faible, tout dépend de ta vision de l
ait pas aller à l'encontre du testament de son plus fidèle client, qui était de tout léguer à sa fille unique, j'avais trouvé autre chose. Je lui avais affirmé que j'allais accepter ta fortune, mais compta
ait une belle chose, mais m'a fait voir l'égoïsme derrière le mien. Je n'aurais pas donné d'un cœur honnête et compatissan
u d'aller à Jésus avec mon fardeau, j'ess
oison qui, pourtant, est le cadeau que nous a offert quelqu'un en signe de sa désolation. Le Christ nous commande, dans le livre de
e voyait tant, que je manq
ui dit que Dieu a tant aimé le monde, qu'il donna son f
Pour ma mère ?" Et un sentiment de... comment dire... une peine douloureuse m'étranglait les tripes. J'avais honte à ce
estion de savoir pourquoi est-ce que je devais abandonner, gâcher ma v
r sur des blessures ouvertes. Pour ce faire, il me faut me défamiliariser de toi, ne plus forcer à mon âme de te voir comme un père. Te voir comme une créature ordin
ris, je ne sais pas. J'irai à la recherche de l'histoire
ns ma vie. En effet, je me suis détestée aussi pendant mon adolescence. J'ai détesté le fait d'être
l me récite, de temps à autre, émettent en moi une curiosité et excitation
ui quelque chose de surnaturel comm
ien
zab