DESTIN IMPATIENT

ns plu

it en train d'être organisé. Depuis le balcon, Alan observait un groupe d'une quarantaine

olitaire, sérieux, discret, guerrier puissant et admirable, surnommé le grand loup féroce, il est aussi connu pour être sanguinaire, lorsqu'il visite un village les femmes

toujours le sourire, ainsi qu'avec son ami d'enfance Leno, un homme au physique impressionnant, aux yeux couleur miel, au tempérament agréable et

rsque sa sœur Marie, une belle b

ur voir qui sont les alphas qu

no, Leno et ses guerriers, je

ers qui entrent dans le portail

à l'entrée du château. L'élan et la force de ces guerriers firent que to

ccueillir" en quelques secondes il rejoignit ses amis, cela le faisait

salut et sauta à bas de son cheval noir, serra la main

e sourire : "Alan, votre peuple

s quelques jours, ils

ssister à votre mariage, où est

sants guerriers, elle a couru les accueillir et est arrivée avec

verts, aux cheveux clairs et au sourire rassu

it il y a des années que ta beauté serait un danger pour

rire, d'une voix câline, "Heu

du groupe, "Êtes-vo

on fiancé, elle a sou

u comprends pourquoi, lorsque j'ai senti ton odeur

de son visage câlin e

plaisantant : "Tu n'aurais pas une sœur,

comparée à Sara et aux autres femmes, mais ses yeux bleus clairs, son visage angélique et

reconnue et avec un sourire taquin, " content de te revoir,

gitation, quelqu'un se disputait et j'ai re

: "Si je me souviens bien, la dernière fois que nous nous

oyant les yeux de Marie, il faud

isser se noyer, et après avoir tiré au sort, je n

souriante à une expression mena

ne des jeunes filles autour de nous et la voir sourire, je lui dis : "Bruno, p

s la boue avec les autres garçons et, pire que tout, j'ai dû supporter tes sales baisers boueux quand je t'ai sauvée au lac", voyant sa colère, j'ai t

" détourne tes yeux et tes paroles trompeuses

e suis trop femme pour un cueilleur de fleurs comme lui, même dans mes pensées les plus somb

primande : "Marie, que sont ces mots de la

rts de rire, y compris les guerriers qui étaient encore montés sur leurs chevaux et attendaient que le

'écrie d'un ton badin : "Bruno,

rir, surveille tes paroles si tu ne

iculise : "Myrtle, tu ferais mieux de te taire, Bruno n'aime

compris son frère

"Je t'ai dit de te taire, mon garçon, il suffisait de le regarder da