AU COEUR DU RANCH
r du R
égonde tremblée comme une feuille. Autant vous liv
part abuser de votre hospitalité,
âcha-t-il en f
Attendez, vous êtes de mèche avec mon kidnappeur ? Vous voulez souti
entit ses joues s'empourprées.
aurais-je besoin de soutirer de l'argent à une p
as cette impression
nouveau. Ils se regardaient pendant un m
avec ce type. Rien ! Maintenant prenez les esc
é d'une capuche noire avec le visage cicatrisé qui se tenait devant lui. Sa respiration était saccadée et malgré cette fraîcheur des gouttes de sueurs perlaient sur son front. En tout cas
femme rousse de couleur de peau
solé, ré
e était passée ici. Je peu
s, refusa-t-il
r-dessus son épaule espé
vu cette femme d'ailleurs, s'agaça-t-il pour lui fa
résigna à partir. Il referma la porte à double serrure, accrocha son fusil au mur et grimpa les escaliers. Après avoir fou
pendant que je persuadais son kidnappeur qu'elle ne se t
it ensuite de la Chambre et referma délicatement la porte pour éviter que le bruit la r
rt. À présent, elle se rendit compte qu'elle n'avait rien à se mettre. Sa robe était en mauvais état ce qui la brisa. C'était le dernier cadeau qu'elle avait reçu de sa grand-mère avant qu'elle ne décède. Elle trouva un dressing posé dans un coin de la Chambre et elle se hâta pour l'ouvrir. Elle sentit l'odeur du renfermé qui y dégageait. Elle songea qu'il était fermé depuis bien longtemps sans que personne l'ouvre. Elle fouilla l'intérieur et trouva des sachets en plastiques contenant des vêtements ainsi que des robes féminins soigneusement pliés à son plus grand étonnem
orsqu'elle vit ces animaux faire d
errasse. Pendant quelques secondes, elle resta immobile. Elle regardait le propriétaire de la maison brossée la crinière d'un cheval blanc. Contrairement à ce qu'il portait hier soir, il s'était vêtu d'un ch
njou
orsqu'il vit la robe que portait cette femme. Avec une stupeur horrifiée, il s'appr
r cette robe ?, interrogea-t-
Je
s a donné
fait, je n'avais rien à me mettre et en foui
ot de la porter, termina-t
part l'enlever, dit-ell
n faisait-il de trop pour une simple robe qu'elle avait jugée bon porter
il reprit ses esprits et la rattrapa en saisissant son bras. Cunégond
ita, je n'aurai pas
e m'appartenait pas et je n'aurai pas dû la porter
ches quand il l'arrêta à nouv
e façon, vous n'aviez
t retourna à ses occupations. Cunégonde h
e la porte je peux bien la retire
garder, s'empressa-t-il de dir
nchér
disant kidnappeur que vous n'étiez p
us en r
fitait pour toucher pour la première fois de son existence un cheval. Nom de Dieu ! Elle se trouvait devant un cheval. Elle peinait à y croire qu'e
u'il restait calme à son toucher. D'un geste vétilleux, elle le caressait. Il reniflait et elle souriait. Elle boita jusqu'à l'intérieur de la cuisine et fouilla les placards à la recherche du sucre. Elle s
nda-t-elle en lui présentant un morce
issait en guise de réponse. Elle lui donna un second morceau de sucre tout en le care
? Demanda-t-il en fi
ne, répondit-elle en lui donnant un troisième
te. Le cheval s'affola et trépigna. Cunégonde recula, l'air pétrifié.
a brosse, dit-il en repren
mal. Ce n'était pas mon intention, ba
brosser délicate
es. Il brossait le dos de l'animal
ene
êtes bi
brosse. Je vais
uiv