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L'AMITIÉ À SES AVANTAGES

Chapitre 2 2

Nombre de mots : 1140    |    Mis à jour : 02/01/2024

était indescriptible. Je ne parlais a personne excepté ma meilleure amie Mia. Elle était la seule de mon entourage a être au courant de la sit

se qui fait sa particularité. J'avais déjà fait juste un mois lorsque mon père avait surpris ma mère entrain de s'envoyer en l'air avec un autre dans notre salon. Nous étions en octobre et après une première séquence où j’étais sortie la meilleure de ma classe, j'étais de plus en plus absente a

par des forces occultes, Je me plaisais dans cet

haut de son mètre soixante quinze, s'était une pure beauté. Ses formes généreuses ne laissaient aucun homme indif

ue tout comme moi. Elle était d'une beauté envoûtante avec un teint noir ébène qui lui allait magnifiquement bien

a hauteur. Je étais persuadée que dans le dictionnaire a côté du mot craner il y'avait sa photo. Normal quand on s’est la notoriété de sa famille. Elle était quand même la fille d'un ancien ministre qui vivais dans un petit quartier chic de bonaberi. Au moins elle ne cranait pas dans le vide comme certaines fill

mation de drogue et d'alcool, sorties nocturnes dans les snacks, les boîtes de nuit et les fêtes privées, bagarres... Enfaite tous l

'avais la liberté absolu. Je pouvais faire se que je voulais et sortir comme je voulais. Mon père m'avait laissé l'une de ses cartes de crédit pour payer les factures de la

dis a l'école et juste a l'entrée du portail, je vis une ban

a la fille de la

rticulièrement celui qui m’avait lancé cette phrase ch

gros con ? Dis je en

ère est une grosse pute c'est pourquoi elle a div

ou plutôt, mon ex meilleure copine était allongée inconsciente au sol rempli de son propre sang. Je n'eu aucune pitié pour elle au contraire j’étais allée voir mes copines où on se retrouvait chaque matin avant de commencer la journée. Nous nous miment a sniffer de la drogue ; j’étais trop en colère et j’en avais besoin pour me calmer sa

s vraiment savoir où on allait. On était là curiosité des passants surtout avec nos cigarettes qu’on fumait à la vu de tous, sans se gêner et en plus en uniforme

ait chassé car disant ne pas vouloir avoir de problème avec la police pour avoir servir de l’alcool à des élèves en plus en unifor

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