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Un jars sur le toit

Chapitre 3 No.3

Nombre de mots : 1757    |    Mis à jour : 26/12/2023

pit

j’aurais deux petites sœurs ! Oui ? Des jumelles ! Quelle étra

unique allait s’arrêter, pourquoi pas ? Depuis quelque temps, je

’était bien une idée d’adulte : car, oui, j’ét

vait raconté sa première vie avec une autre femme, i

vais-je demandé

comment répondre à ma question, tu sais ils ne veulent plus rencontr

s c’est quoi «

té un peu attristée, sans doute i

concert de piano. Papa s’était assis auprès d’elle. Une place l’attendait. Le destin l’avait rendu volontairement vide et durant

ris. Ils avaient ainsi pris tout leur temps pour gliss

vait trois garçons, encore petits. Maman avait regardé cet homme avec une sorte de pensée définitive : « c

tait venu plus tard. E

de leur vie de couple avant que je ne vienne au monde, puis s’ét

oment de ma naissance et je cherchai longtemp

ande famille, il ne parvint jamais à les réunir, le silence était leur seule réponse. On ne sut jamais ce qui les avait motivés. Papa était un utopiste et pour toutes les actions de sa vie, il le resta. Il attendit le retour de ses trois premiers fils avec un espoir qui nous fit tou

rtes s’empilaient, embarrassant presque la totalité de cette pièce. Nous en étions, mes sœurs et moi-même, à douter de la santé mentale de notre père : était-il sain d’esprit pour nous raconter une première vie qui n’existait pas pour nous ? Avait-il, lui aussi, des fictions qu’il entretenait su

s avons attendu des années pour les voir appara

long de ma jeunesse par cet

es oublier, c’est plus s

bulaire de la génération de mes parents. (Père et mère avaient grandi dans les années Woodstock, avec le mot « jalousie » lié à liberté sexuell

ne, car enfant déjà, je pensais communiquer avec d

dait constamment maman, inqui

ndais-je très affair

es deux petites sœ

fisamment entourées par la famille, Nonna ma grand-mère, mon papy et même mon père quand il était là

r ces deux bouches gloutonnes, bouches

urd’hui, je la voyais se pencher sur ces deux bébés avec une sorte de fascination. Elle m’abandonnai

her sur ces deux petites sœurs envahiss

se penche sur moi, avaler n’importe quoi pour tomber malade, rest

paraissaient pas et mes paren

res enfants, m’a offert une jolie boîte ressemblant à un grand sac à dos. El

t tous les luthiers de Paris pour d

catement de sa boîte, éprouvant t

rcher le son sur les cordes et la musique au bout de l’exercice. Car ce que j’ai fait ce jour-là ressemblait à de la vraie musique. Je tirai sur l’arc

ouver la parole, elle é

iolon et comment on en j

e violon et je sais comment

h ? Je

onheur éclairait son visage et elle m’a

u musicien

professeur n’avait pas encore découvert cette méthode. Beaucoup de vagues et quelques imprécisions – Suzuki en 1980 n’était pas arrivée en Bretagne – mais finalement, il a bien aimé, il l’a adoptée, du moins pour mon copain Da

s, séduits eux aussi, puis comme je n’aimais pas travailler, t

t d’une intolérance rare. À la maternelle, un jour, l’instit reçut maman

ux ! Il attaque les autres

ent ? s’inquiéta

es armes devan

dans votre classe de maternelle ? co

x, un tas d’objets qui pourraient f

ut-être de lui expliquer à quoi se

pour éduquer votre fils, je v

isparaître avec moi sous les yeux réprobateurs de

cultés à comprendre à quoi étaient destinés les objets que je découvrais. Mon jeu favori étai

’abordais la maternelle a

re redoubler plusieurs fois les classes de matern

n CP et pour être précis, j’y resta

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