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Le peuple libre

Chapitre 4 Chapitre 4

Nombre de mots : 1968    |    Mis à jour : 09/01/2024

jet que je jetterais bien par la fenêtre si seulement je n'étais pas moi aussi dépendante de ce truc. Ma main à force de tâter, finit par tomber sur l'objet en question. J'ouvre un

dis-je en

léna. Comm

ais pas réveillée, dis-je en

n petit soucis de

t'éco

juillet? Franchement! Bref. James va à la piscine ce matin avec son copain, mais j'a

neuf heures, ça s

ise ma grande. Désolée de t

devras un verre pour

faut que tu y soi

ontre, je le ramène chez moi. Je doi

e chercher pour

he, à tou

tu me sauves l

je suis arrivée ici. Je ne connaissais le monde des humains qu'à travers les magazines et la télé, rien de plus. Tout y était si beau, pres

me si mon corps me hurle de rester sous mes draps, je me lève en m'étirant une dernière fois. Je sors de ma chambre en traînant les pieds pour me diriger vers la cuisine avec cet objet magique qu'on appel une cafetière. Depuis

lles restent les même. Pourtant, je me prends au jeu et regarde ces informations qui ne me concernent qu'à moitié. J'ai appris au fil de ces derniers mois que même si les humains connaissent notre existence, ils ne parlent pour ainsi dire jamais de nous. Ils préfèrent nous ignorer, bien que notre race revienne à la charge une fois de temps en temps, quand il s'agit d'expl

eux. Je crois qu'au fond, c'est surtout parce que nos deux races n'ont jamais cherché à se connaître. Chacun se pense meilleur que l'autre. Chacu

d'important ne s'est passé durant le peu de sommeil que j'ai eu. Je termine ma tasse avant d'aller m'en

aite ici et mon corps en ressent les effets. Chaque lendemain de transformation, j'ai des courbatures, des douleurs de toutes part. L'eau chaude m

de vivre sur des montagnes russes depuis que je sais que c'est lui. Je pourrais être sa Reine en ce mome

é, alors que je rentrais dans un magasin pour la première fois de ma vie, j'ai acheté un appareil jetable pour garder en mémoire chaque moment, chaque personne, chaque instant qui me

uis acheté un vrai appareil photo. Pas aussi perfectionné que celui que j'ai maintenant mais un beau joujou quand même. Voyant à quel point la phot

nt réfléchit, j'ai décidé de prendre mon courage à deux mains et de m'inscrire à des cours du soir. Il m'a fallut un certain temps pour être à l'aise au milieu des autres élèves. Au dé

oire, dédiée au développement de mes photos. Il y a eu des ratages les premières fois mais mainte

attendre le résultat mais je suis satisfaite des clichés que j'ai pris. J'espère que ma prof le sera aussi. En sortant de la douche, j'enfile un short et un débardeu

et j'avoue que c'est agréable de passer du temps avec lui. J'apprends plein de choses à son contact, ce qui est un comble quand on pense que je suis

e qui est une bonne chose vue que je ne suis pas la meilleure cuisinière du monde. Avec cette chaleur, une salade de crudi

bien trop proche les unes des autres dont certains ont une odeur suspecte. Comme souvent dans ce genre de situation, je mets mes écouteurs afin de me couper de l

de la climatisation. Bien que je n'y prête pas vraiment attention, après quelques minutes d'attente, je sens le

u moment ou il s'apprête à poser sa main sur mon épaule, probablement pour attirer mon attention, je me retourne vivemen

ertainement charmeur alors que je

ds quelqu'un? Je peux peu

e la piscine et dès qu'il me voit, il se précipite sur moi, heureux de me vo

prêt bo

Pr

s même me soucier de ce mec

t de me suivre. L'aire est presque brûlant à l'extérieur, mais je ne me

z toi, dema

moi jusqu'à ce que ta

ment pénible pour éviter de réitérer l'expérience une nouvelle fois en si peu de temps, en plus, comme ça, James a tout le loisir de m'expliquer son planning trè

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