Ma belle mère m'a coépouse
acune une douche, deux salons un grand salon familial, et un moyen pour recevoir ses invités de marque, l'extérieur était tout aussi magnifique que l'intérieur il y'avait un grand jardin bie
vais très peur à l'idée de partager un lit avec un homme moi qui sortait d'un village lointain je ne connaissais rien des hommes tous ceux qui s'aventuraient à me dire bonjour je courais aussi vite que je pouvais je ne voulais surtout pas
é, (mes parents étaient tout de même les rares habitants du village à avoir une télé, petite quelques enfants venaient regarder les programmes chez nous) Aimé lui travaillait sur sa machine dans la chambre depuis des heures ça m'importait peu tant qu'il était loin de moi mon anxiété diminuait vous penserez c
e qui me fit sursauté je regardai
r fait peur ! Qu'est
.avais-je
tard, va t
i pas s
e cela ? Je t'ai
c'est
urit du coin
juste ? Quand tu parles
e ne dois pas te reg
sors-tu ? Je parie que c'est encore l'une de vos bizarrer
u sourire, il m'avait regardé longuement comme s'i
mme fille, ma mère ne s'est
rci
ainsi ? La chaleur de
me sens
sourit comme s'il avai
sur toi dans le but de cacher ton corps, tu es
pas un objet je
tard, je verrai bien si tu n'as pas menti à ma mère sur ta préte
ne très sensible, la virginité était quelque chose de sacré moi
ue tu aimes
ourner chez
ésent mais une femme marié
e canapé en pleurs, je m'étais assoupi
e lui qui m'avait porté jusqu'au lit conjugal, je me retournais aucune trace de lui. Je descendis du lit et regarda dans les autres pièces toujou
ous n'avons pas de cuisinière c'est à toi que reviendra la charge de nourrir ton homme. Bonne journée à ce soir>> à côté de sa lettre il y'avait
tous les mets, je savais très bien tenir une maison, mais e
et me rendit en cuisine, après avoir pris mon petit déjeuner, je me posais devant les programmes télé. Liliane vint plutard et je fis connaissance avec elle une dame de la quarantaine très aimable, elle me félicita pour mon mariage son patron lui a
i je disposais de tout, je me décidais à préparer un bon repas
même si je ne l'aimais pas je pouvais au moins faire des efforts je ne voulais surt
plongée dans de l'eau tiède mélangée à des huiles essentielles j'éprouvais un sentiment de bien être, mes soucis s'envolaient pou
rborant un short et un t-shirt blanc qui dessinait son torse...je
enfin rév
dans la douche sans frapper. Aimé regardait longuement mes courbes
t j'ai eu tous les droits sur toi ! Dans ma prop
ai
im de loup tu vas te dépêcher de sortir d
rtais une longue robe qui m'arrivait après le genou dans le but de cacher à nouveau mon
nger manipulant son téléphone. Il attendait pati
rrête-
isage je voyais absolument rien, je sentais son souffle circulé sur mon cou, il posa sa main délicatement sur mon cou, jamais un homm
vais pas t'étran
eux et les noua, mon
urne
e tête baissée. Il saisit mon
aisse plus les yeux en ma
i riais-je avec lui pourtant mes parents m'avaient do
mainte
trouvais cela écœurant je le regardais pour lui c'était
les couverts, tout était bien dressé c
-tu pas mis un
ai pas
her un pl
vais pas faim tu vas
, je pris peur et me leva rapidement ,j'allais à la cuisin
je me levais et le fit il
mandait-il après m'avoir crié dessus comme un animal, j'étais
ie
des pas comment s'es
la ti
p de dossiers à faire signer et
k
le silence, Aimé mangeait avec app
x, tu es une bonne cuisinière
u as épousé, j'aurai aimé que tu ne le fasses pas
he de contin
oi
oi don
te voir m'énerve au plus
femmes qui sont en ville toi une villageoise telle que toi tu devrais te
e telle chose, c'est plutôt
je pris peur et fis q
uoi fu
Ne t'approche
e répéter, tu es ma
robe et se mit à la déchirer sous mes yeux je n
vec ce genre de vêtements dema
mes dessous j'essayais de ca
ouvements de sa main comme s'il voulait me prendre dans ses bras pour s'excuser, je le vis se
ient infligé, j'étais retournée tout au fond du lit et j'entendis la porte s'ouvrit quelques minutes plutard c'était aimé je fis semblant de dormir, il monta
us jamais. Je sais que tout ceci est nouveau pour toi pour moi également, je ferai tout mon possible pour
atténué l'amertume et le c
e roses avec une petite carte, un smartphone des vêtements et des chaussures de marque. Sur la carte était inscrite << À ma tendre épouse Henriette,
mais eu jusqu'à présent, seule notre camarade Émilie en avait un
'appela et j
ll
irons dîner au restaurant.
s cadeaux ils
à présent je ne suis pas le mari le plus exemplaire mais je ferai de
uchée par
ardonné, je ferai é
je soupirais attendan
maquillage, un cadeau de la cousine d'Aimé c'était elle qui m'avait maquillé pour mon mariage, je revoyais encore ses gestes et quelques astuces que je connaissais, j'apprenais très vite, je fis à mon tour un maquillage très soft. J'avais lavé mes cheveux et après le
s'ouvrit j'étais toujours face au miroir, il s'arrêta derrière mo
es b
Mr mo
avant de
inal ce no
gnis dans s
ues minutes pour me déb
je t'atten
i tu par
ai
i as -t
...de
lement, tu devrais pas avoir peur de moi je suis t
l était très bien bâti, avec une serviette autour du cou il se précipita à la douche et en ressorti quelques minutes plutard mais je n'y étais plus je ne voulais surtout pas assister à cette scène je n'étais pas encore pré
ce, nous dînions ce soir là dans un restaurant très chic, nous avions passé un bon mome
e temps serré et ses nombreux cadeaux j'étais la femme la plus comblée j'étais tombée amoureuse de l
ra avec une sur
ce week-end ! Nous
âte d'y
ient parfois pour passer du bon temps, je restais parfois des heures à l'écouter relater ses vacanc