Sœur jumelle
la situation, tous furent choqués par la scè
n, tout le monde se tue, une grande aura se dégageait d'elle, iyo se charg
ène moi mon enfant s'il te
vait. Iyo compatissait à la douleur de sa sœur, m
s bras de ma'a, son c
est ton destin...Pleure ç
a tient son visage dans ses mains comme lorsqu'Azani c
e suis désolée
as sévèrement comme à son habitude mais l'entoura de s
lui esquissa un sourire et une larme s'écoula de ses yeux, c'était la première fois qu'Azani voyait sa grand-mère verser une l
st-ce que cela pouvait bien signifier ? M
u'est-ce que c
ta destinée
isi leur sens, trop chagrinés sa femme et lui pour comprendre
fait tout c
:
ste iyo regard
ète pas, ta sœur
pas tout ceci, tu aurais pu faire que
établit un certain nombre de choses que nous devons respecter, j'ai reçu ce don pour faire le bien, aider des gens
ents mourir alors que tu pouvais faire quelque chose
que ta sœur est née, je l'ai tenu dans mes bras tout comme à ta venue et j'ai su ce qui l'attendait. Soit fort mon fils, tu auras une nièce q
mots de sa grand-mère, il devait accep
al, iyo avait fait tout le nécessaire pour qu'Irma n'accè
son enfant était encore vive, mettre au monde deux bébés et se retrouver a
rend soin de sa sœur de son mieux, il est au petit soin avec qu'elle, mais l'éclat qu'il animait autrefois s'
s te ressaisir ou bien
a ma'a et n
, mais que devais-je faire ? M'ô*ter la vie ? Et qui allait prendre soin de mes petits fils ? qui allait encadrer iyo pour qu'il soit aussi bon sinon meilleur que moi ? Toutes ses questions qui me
ma'a, ils étaient très percutants, deva
j'ai dû endurer toutes les moqueries des femmes de ce village me traitant de sté*rile, j'ai juste demandé un enfant mais hélas Dieu ne répondait pas à mon appel, j'
croire à ses contes de fées tirés de l'antiquité, ne t'ai-je pas prévenu du chemin que tu voulais emprunter ? Mais comme à chaque fois tu as
rmes ruisselaient et tombaient sur les joues de la petite, celle-ci qui était endormie profondément, se r
a Hilda qui signifie combat
se que sa maman avait l'habitude de lui chanter elle et son frère pour qu'
her enf
par
vers d'autr
toujours là m
e pars, maman t'aime
où que tu iras tu seras source de bénédiction, tu apporteras toujours la joie, quelques
à sa fille, savait-elle que c'était son is
ait partir d'un moment à un autre, ce n'était que l'œuvre d'Irma, elle comptait en finir avec Azani et sa progéniture, pour elle ça avait sonné comme un affront d'Azani de ne pas lui obéir, d'autant plus que l'aura d'Hilda était bi
ours vu finir ses jours auprès d'elle, cette idée de ne plus la voir
vit Irma, celle-ci se mit à lui rire au nez et se moquer d'elle, elle tenait dans ses bras le bébé dé*cé*dé d'Azani, celle-ci lui dit de la suivre si elle voulait être à nouveau avec son enfant, Azani entra dans l'eau et la suivit dans
sa sœur elles sont dotées de pouvoir que j'utiliserai très bientôt pour semer le chaos et régner
ion, lorsqu'elle sentit un vent frais venir du salon elle s'y diri
ui es-tu
, ma'a compris que ce n'était qu'autre que celle de sa petite fille
fallait agir pour au moins lui accorder un doux repos, et pour cela il fallait la sortir des griffes d'Irma, ma'a de
aura toujours aussi perceptible et forte. Le corps d'Azani était étendu sur le lit et son es*prit en souffrance pleurant des lar*mes
leur était bien forte, mais il devait se ressaisir pour délivrer son â*me des
se lève l'â*me de ta sœur sera à jamais emp
et iyo se mirent à faire des in*can*tations, elle mâcha de nombreux écor*ces qu'elle cra*cha sur le corps, elle l'oint d'huile, et se plaça au-dessus du corps et dit quelques mots tout en fermant les yeux en une langue que seuls les initiés p
u ne peux rien, elle m'appartient bientôt
ous verr
yeux et la bouche du corps o
le, es*prit malé*fique. Ma'a n'arrêtait pas ses in*can*tations,
s se libérèrent, ses plaies disparurent, elle appa*rut plus apaiser, elle était libérée des griffes d'Irma celle-ci qui étouffait dans l
ler te reposer, ne t'inquiète surtout pas, Hilda
ur un dernier au revoir à son frère et ma'a. Elle visita
il alla chez ma'a, iyo et elle l'attendaient à la cour, le corps de sa femme to
a femme coucher s
oint d'autres cieu
se si cruelle, qui veillera sur notre bébé comme elle savait si bi
tu dois l'accepter pour que son â*me soit en paix, e
espace de moins d'un mois, il avait per*du l'une de s
ouvaient cela étrange, qu'est ce qui avait bien pu se passer ? Se demandaient-ils. Une ch
sur la descendance d'Azani, elle avait été en*terré dans le ca*veau familial comme il était de cou*tume pou
quel avenir elle aura si elle ne suivait pas aussi sa mè
ques, ma'a, iyo et Sophie eure
il y'a quelques jours, laissant en nous
a, elle me man
ton enfant tu ne resteras plus dans ce village, c'est mieux que tu a
es, je n'ai pas réellement de famille là-bas, sauf un oncle qui nous a quittés il y'a quelque
ta fille et de la tienne, d'autant plus qu'Hilda mènera de gr
: oui
cès de son mari dans une grande maison, donc elle se sent parfois seule c'est pour cela qu'elle vient parfois se ressourcer ici au village. Je lui ai fait part de ta situation et elle compte t
ssant le danger que ce bébé encoure dans ce village, je ne peux accepter qu'elle reste ici, c'est avec beaucoup de joie que je l'accueillerai avec son père, la maison sera plus vivante avec un
hit et donna
n et j'accepte la proposition de mama Sophie, merci inf
je viendrai vous rend
: d'a
: je t'en pr
ilà qui e
faite, il voyagera demain pour la grande ville avec