Mon demi-frère, le milliardaire
m
e semblait pas bien. Bien sûr, mon père avait l'air plus heureux que je ne l'avais jamais vu. Bien sûr, sa nouvelle épouse rayonnait et le regardait comme s'il était l'h
attirée par lui pour son argent. Qu'elle n'allait pas le quitter dans six mois. Papa avait conclu un contrat de mariage, quelque chose sur lequel j'avais insisté et, étrangement, Lydia avait tout à fait accepté de le faire. Je n'aurais pas laissé mo
on entreprise. Faire de Harwood Hotels un nom connu et me donner un héritage sur lequel je pourrais m'appuyer. Je pouvais comprendre qu'il vieillissait, qu'il voulait profiter de sa vie
laquelle je pouvais compter. Cela ne voulait pas dire que je n'appréciais pas la compagnie des femmes et que j'en avais ma juste par
'à ce que je
pieds, ses longs cheveux bruns tirés sur le côté et tombant en cascade dans son dos, ses yeux verts doux et expressifs, ses lèvres douces s'ouvrant sur le sourire le plus éclatant que j'aie jamais vu. Elle m'a coupé le souffle et m'a volé mon cœ
ner d'elle. Quand j'étais avec elle, tout ce que je voulais, c'était la regarder, contempler sa beauté, l'écouter parler et profiter du son de son rire. Cela ne suffirait pas, ce n'était pas bien. Non seulement elle
lus besoin de
a m'arriver et le chagrin était toujours là. J'ai juré de ne plus jamais laisser cela se reproduire. Les femmes servaient à quelque chose et même si je les respectais, une femme ou même une petite amie de longue date n'était pas pour moi. Mais qua
cile à faire, mon père me confiait peu à peu de plus en plus de responsabilités au sein des hôtels Harwood, ce qui m'occupait. J'espérais que mon père se lasserait de L
lle pour rester à l'écart de l'autre, alors je ne serais pas tenté par elle. Je savais que ce n'était pas sa faute si je l'aimais. Elle était innocente dans tout cela et avec le temps, mon engouement s'estomperait. Ou du moins, c'était ce que j'espérais. Ce n'est pas parce que no