AITHIOPIA - RABAAH

l'impression de m'être endormie

omba sur le beau visage d'Ethan.

pensais à ma mère et me demandai si la prendre

eux se réveillent-ils

, le repoussa aussitôt. Une amazone ne s'attachait pas à un h

our revenir avec de la nourriture. Dès qu'il prit sa première bou

-je en voyant Zack entrer dans

, ils sont tellement dominants qu'ils aiment croire qu'ils sont aussi intelligents et invinc

ndai-je paniquée à l'idée qu'

lina ont pu passer inaperçu mais elles sont toujours dans le bloquées là-bas

pagne, décidai-

is rester ici Rhéa, en sécurité...Ethan...t

ce qui était assez gênant. Je faisais mine de ne pas le voir mais mon cœ

omit Ethan, je l'ai dé

demandes à Ethan ni pourquoi il pensait que son frère ne protégera

e pas quitter cette pièce sinon Clara et

en. J'observai la scène sans réellement comprendre ce qui venait de se passer. Ethan

a chambre et sois

t tellement proche que son parfum me donnait le vertige. Allait-il pose

usait. Je le fusillai du regard avant de lui mettre un coup de pied entre les jambes qu'il es

s soulagé de voir Clara entrer dans ma chambre, elle part contre me fusilla du regard

nus nous chercher ? Tu préfères te la coul

ordonné de rester ave

trahison de la putain qui te sert de mère n'a pas suffit ? Il faut aussi que tu t'y mettes en flirtant avec un homme ? Tu sors avec lui ! Tu es une honte po

pas pleurer devant elle. De toutes les horreurs qu'on

une sœur. J'avais l'impression qu'elle venait de broye

ers les sources, le seul moyen de sortie

aient remplis de larmes, je n'arrivais plus à me

id avec Ruth ? Tu la

pote pas ! Arr

our toi, je devrais pré

t Ethan qui se tenaient sur l'embrasure

mêler de ça ! Zack, je n'aime p

possible. Je fus soulagé de voir qu'il ne me tenta pas de

e perdre. Je soupirai en m'écroulant au sol

étaient. Je haïssais mon physique qui me

avec un teint plus clair que le mien, une chevelure

qui rappelait sans cesse mes origines, je voulais le défigurer, le

me forcer à le regarder. Ses yeux gris étaient

s à ton physique, ne j

ue chose dans son regard m'assura qu'il était très sérieux et qu'il valait mieux p

i qu'il avait un trop gra

blant secouée par mes sanglots. Ils ont raison, mon peuple a raison ! Ma mère a trahi mon

mes mots, plongé dans ses pensées. Je m'agrippai à ses

uée de secours, le seul pour

noyé dans le mien me l'assuraient et son énergi

e chose que je n'ai jamais l'occasion de voir, murmura-