L'HOMME DE LA MAISON
ÉROTI
'HOMME DE
EUR:
OM
PITR
a sienne alors qu'il réclamait ma bouche. Il était si fort, si confiant. J'avais juste envie de faire ce qu'il
ait un étalon
ser, sans le combattre, levant mes bras au-dessus de ma tête et lui montrant mes seins alors qu'il
main
dant mes seins
de,
jusqu'à mon aréole sombre. Il l'a fait l
Merde, c
ni même comme ma sœur Jennifer, mais il m'avait quand même remarqué. Il me désirait t
se sont accrochées à
de son cou. Je me tortillais plus fort, une chaleur liquide bouillant au fond de ma chatte. Il s'est étendu, pénétran
frémissant
oachim. C'est... oh, c'e
e n'en avais aucune idée. Mais il se sentait tellement énorme. Un petit tremblement de p
chaude sur ma peau nue, rayonnant la chaleur corporelle absorbée par sa sieste. Mes seins se soulevèrent à mesure que
ne s'est pas battu lorsque j'ai déchiré sa chemise. Il finit de l'enlever, le jetant
effleuré ses mamelons, du même ton sombre que le mien, mais beaucoup, beaucoup plus petits. Son nœud s'est dur
it bizarre... Tu
fait l
ait agréable quand
so
ns sont plus mign
re sec, non aspiré. Mais pas pour longtemps. Je gémis alors qu'il l'engloutissait, m
gé
ent sexy... Tu sais que nous all
ir retiré sa bouc
e
savait parce qu'il me voulait. Et je ne pouvais pas le nier. Pas
de sa chambre. J'étais obligé de ne porter que ma culotte noire. Ils étaient neufs, achetés pour J
s-vêtements sexy, caress
de,
es fesses dedans, mais ses doig
humide. Il était
courbés alors qu'il retirait mes sous-vêtements. Mes cuisses se sont serrées, cachant ma chatte.
n h
c'était une
de tissu dans ses mains. J'ai baissé mes jambes et les ai écartées pour lui. Ses yeux
passait r
mer mes cuisses. Mais je ne pouvais pas. Une partie de moi voulait qu'il regarde. Et aussi embarr
en tendant la
uis p
son entrejamb
s prêt,
ture éclair. Il les a poussés avec son boxer. Sa queue est sortie. C'était à mon tour de regarder avec ravissement la vue
dessous. La pointe était rose, lisse comme un casque, et un liquide clair perlait. Pr
me faire
ma chatte
nds-moi. Je t'
ogna a
'aime
es cuisses. Des frissons
ime tellement. P
i de
mm
Il a penché la tête vers
prête. Prends-moi.
nd j'aurai fi
s'écarqu
train de me t
Mes amis se plaignaient des petits amis qui voulaient se faire sucer ou
cambré. J'ai poussé un faible gémissement. Sa langue était incroyable lorsqu'elle glissait dans mes plis
t écoulé. Je ne m'étais jamais senti aussi mouillé. Il gémit, fouilla, lécha. Pro
, les yeux
n Dieu,
usieurs fois. Souvent après q
on rugueuse de ses lèvres contre ma chair sensible a provoqué des ondulations dans t
gé
goût, Amen.
hale
. Bien bien. Je...
. Mon corps se tortilla. C'était incroyable. Ma chatte se serra, impatiente de
orsqu'il a trou
oui, Joachi
s. Chaque contact de sa langue sur mon nœud provoquait du bonheur à travers mon corps. Je me suis tortillé et j'ai haleté.
aisir
tural alors que le p
Je... je..
beau et beau cousin m'a fait jouir. Ma tête recula brusquement tandis que mon corps se déb
e débattais et m'écrasais contre lui. J'ai fermé les yeux. Le plaisir dansait dans mes pensées tan
ussis
aintenant. Je suis tellement pr
le tirant vers moi. Sa queue a poussé ma chatte. Ses yeux brûlaient alors qu'il m'embras
qu'il adora
i serré fort pendant que nous nous embrassions, gé
CHIM MO
met de ma bite. Elle était vierge. J'étais son premier. Peut-être sa dernière. Ce serait
lle me fer
intenant elle avait hâte que sa cerise éclate. Elle voulait que je lui fasse
re. Audacieux.
poussé
déchiré sa virginité et plongé dans un territoire vierge. J'ai rompu le baiser avec Amen, gémissant son
ais e
e gé
oa
tendre prononcer
h, Joach
. J'ai savouré sa sensation. Dix-neuf années nous avaient amenés à ce moment me
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