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La chute d'une feuille d'automne

Chapitre 2 No.2

Nombre de mots : 1763    |    Mis à jour : 28/09/2023

ré tous les efforts dispensés sur sa personne, les médecins furent impuissants et comprirent malheureusement assez tard

à affronter le décès de leur fils ainé, ont dû faire face

sez perturbant tout comme les symptômes dont la petite avait

assez étranges. D'une part, sans savoir pourquoi, ses cheveux étaient devenus blond très clair al

totale et définitive de sa voi

ère qui depuis ce jour ne l'a plus ja

doux comme de la soie et passait des heures et des heures entières à les brosser. De plus, grâce à son père, elle arrivait parfaitement à communiquer avec autrui

spéciale » et s'assumait telle qu'elle était, et ce grâce

, une couleur de peau commune ? Si Dieu voulait que nous soyons « normaux », il nous aurait tous fait pareil mais ce n'est pas le cas. Le Seigneur nous a TOUS fait de manière unique et libre de vivre la

it son poids. Durant sa jeunesse, il était obèse et s'était battu pour perdre du poids mais bien qu'il eût atteint son objectif, la bataille ; quant à elle n'était pas finie et ne le serait jamais. Durant toute sa vie, il n'avait c

mis à Azéline de vivre, prenant confiance

ées étaient coupées par la théorie le matin et la pratique l'après-midi. Le couple disposant d'une imposante bibliothèque dans leur demeure et par la même

jardinage, ainsi que les sciences et la médecine (elle était fille de médecin et était elle-même une ancienne infirmi

e, la littérature, le commerce, le sport, la cuisine, l'astronomie

'étable à s'occuper de Pommier, Sapin, Vent-Doux et Tournessol ; les quatre chevaux de la ferme des Daubry. Elle les adorait, les chouchoutait, les montait toute la journée et

et ne rien faire contrairement à ce que faisait son frère au même âge qu'elle. Mais son mari lui disait qu'il ne fallait pas la comparer à son frère, qu'elle était frêle et fragile et qu'il

DE FINIR DANS UNE FERME ? DE VOIR MON PÈRE

a fille ne passe pas toutes ses journées avec elle

it pas le remplacer dans son cœur. Elle ne comprenait d'ailleurs pas les raisonn

cile dans ce bas monde, ces années furent les plus belles

lpté par André, à l'ombre du chêne familial au bord du lac où son père

endre avant qu'elle ne passe par-dessus bord mais ce geste lui causa sa perte. En effet, avec la puissance du possible poisson harnaché à l'h

aine, elle voulut entrer dans l'eau mais en fut incapable ; totalement tétanisé par les cris de son père et la peur... la peur de faire quel

es avant de voir son père sombrer au fond du lac. Elle plongea aussi vite qu'elle le put et le ramena sur la berge totale

s sa mère arriver par derrière ni la pression exercée par celle-ci pour la

distinguer du fond de ses yeux, sa colère, une colère brulante comme le soleil qui lu

essent encore aujourd'hui puis elle lui lança au visage son ardoise qui s'é

s omettre aucun détail, sa mère lui redonna une seconde gifl

U ET TU AS EU PEUR. TON FRÈRE LUI NE SE SERAIT PAS POSÉ DE QUESTIONS,

visage elle continua plus calmement m

t connu des choses que tu ne feras et ne connaîtras jamais dan

ment puissante qui lui fit tourner la tê

E NE T'AI PAS ÉLEVÉE A

rent sur ses magnifiques joues rondes

rois-moi qu'à partir de mainten

e. Elle fut obligée de travailler à la ferme, délaissant Mr et Mme Daubry, leur cours, sa

leurs, interdit aux Dau

ine n'a plus jamais

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