La chute d'une feuille d'automne
us bel anniversaire que
eaux anniversaires. Il y en avait toujours eu que pour David ; ah David, le
Cela n'était pas sûr et puis de toute façon, elle ne voulait pas y penser car cela la mettait mal à l'aise. Néanmoins, il est vrai que depuis 21 ans le pire n'a jamais été son père et encore moins son frè
la pauvre Régine s'était assommée avec l'une de ses planches et André s'était porté à son secours. Lorsqu'elle fut revenue à elle, le coup de foudre fut immédiat. De ce que son père lui avait raconté sur cette scène (en exagèrent les choses comme à son habitude et en n'oubliant aucun détail), il était allongé au-dessus d'elle, tenant sa tête dans ses b
nt mariés alors qu'ils étaient à peine majeurs. En effet, André vivait seul dans la
ain. Heureusement pour lui, ses (seuls) voisins étaient des amis de longu
urs un trait devenu assez fréquent dans sa famille. En effet, depuis toujours, les femmes de sa famille mourraient
'André et celui-ci put compter sur l'aide de sa femme, mais é
eaucoup, elle les considérait comme ses grands-parents adoptifs. Ce couple avait eu des jumeaux (un garçon et une fille) assez jeunes qui étaient depuis longtemps partis à Paris vivre leur vie. Néanmoins, ils avaient toujours en eux ce besoin de « pouponner » et ; par conséquent, adoraient prendre soin d'Azéline et de David en l'absence de leurs parents. Ils s'appelaient M. et Mme Daubry mais Azéline les appelait papy et mamie Dauty. C'étaient eux d'ailleurs qui avaient appris
union, André et Régine avaient
ation et la vie de ce jeune homme ; jusqu'
ompensait sa taille par sa force. Il était en effet, doté d'une musculature impressionnante. Cela était dû aux nombreux t
Il avait cette facilité de compréhension et d'adaptation qui faisait la fi
nta donc ; avec beaucoup de frustration notamment lors de la capitulation française du 22 juin 1940... frustration qui ne
ents le laissèrent partir en lui faisant promettre d
ce ; tombé au combat, lors du débarquement de
son deuxième enfant et n'était pas prête à l'accueillir ainsi. Jusqu'au terme de sa naissance, elle pria les cieux de lui e
fille. Néanmoins, elle ne la vit pas tout de suite. En effet, à la suite de cela, elle avait dû tenir le lit une semaine afin de refaire ses f
ur combler son chagrin. La perte de son fils était insoutenable, mais la naissance de sa fille avait été un pur bonheur ; une renaissance tel un phénix. Tous les jours depuis ce moment, il cacha sa peine afin de ne pas la montrer à sa fille
son fils et tous les valeureux soldats qui s'étaient battus à ses côtés et avaient comme lui donné l
r une raison mais qu'au final tout se terminait bien. Pour cela, il se rappelait à chaque fois sa rencontre avec sa femme... la pluie
rir pour que sa sœur puisse vivre. Cette pensée lui fit couler une larme qui roula le long de sa joue et qui le réconfo
elle naquit sous un soleil bleu
promena avec elle le long du lac, il vit la première
rna vers sa fille qui dorma
utomne est, selon la légende, un joli présage. T
a promesse tenue par son fils, celle-ci fut égalem
. La petite dormait toute la journée, ne mangeait plus, était devenue toute b