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Le square des oubliés

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1103    |    Mis à jour : 26/09/2023

o

e, le tableau posé délicatement sur la table de la

es qui étaient, elles, quasi inexistantes, les serviettes n'étaient pas pliées correctement, il avait compté quatre bouteilles et même un petit tonneau dire

ue Maman lui avait inculqués n'étaient pas respectés, il aimait cette ambiance si nouvelle pour lui. Cette atmosphère totalement inhabituelle l'intriguait et l'attirait tout à la fois. Il ressentait une sorte de plaisir qu'il aurait dû considérer comme coupable, car totalement contraire à la bienséance, et l'envie d'en savoir

oir. « Renoir (Auguste), Limoges 1841 – Cagnes-sur-Mer 1919 ». Déjà tant d'informations que Louis devrait

d'une vie heureuse. » Plus il lisait l'explication dans son Petit Larousse, moins il avait de réponses à ses questions. La remarque suivante l'interpella « sa vitalité sensuelle s'est affirmée dans s

le fauteuil et alluma le poste de télévision. Il était particulièrement heureux de sa journée, si riche en découvertes. Son weste

rasse ombragée emplie de personnes bienveillantes qui riaient et parlaient fort, et qui

puis son réveil, une sensation nouvelle s'immisçait en lui. Il peinait à la définir mais elle provenait du tableau, il devait absolument en trouver la raison. À peine avait-il fini de débarrasser la table, qu'il le dérou

parfois rapprochés. Il ressentait leur complicité, et imaginait les paroles qu'ils échangeaient. Cette nouveauté le troublait. Il n'avait connu que les repas avec Maman, et n'avait jamais partagé de tels moments avec d'autres personnes. Grâce à cette peinture, il prenait conscience de la notion de convivialité. La sensation de pl

dans sa vie qu'il aimait. Il n'avait jamais éprouvé l'envie de connaître autre chose que sa maison dans laquelle il vivait avec Maman. Maman qui organisait son quotidien avec amour, qui lui parlait de tout

e long des immeubles dont les fenêtres éclairaient son chemin. Très vite, il leva la tête vers ses vies parallèles à la sienne dont il ignorait tout. Avidement, il regardait à travers les vitres, tentant d'apercevoir les occupants de ces appartements. Aucun bruit ne venait troubler le silence de la rue à cette heure de la soirée. Il continua à marcher, s'aventura au plus profond de la ville sans que rien ne se passe. La vie des autres

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