Ceux qui restent
s oiseaux par terre, les nuages gris et la pluie qui tombe. Toutes ces choses, ces éléments de la nature, m'ont toujours fasciné et procuré beaucoup de plaisir. C
les rues, emprunte les petits chemins et les sentiers de terre. Je me rends au village à travers champs et je fais demi-tour quand la raison me rappelle. Les chaussures pleines de boue et la main appuyée sur mon bâton de marche, je rentre des heures plus tard. Et c'est en nettoyant mes chaussures que je souris
tres, mon bâton résonnant sur le bitume et les chaussures toutes propres. J'entrai dans un village et découvris ses belles bâtisses de pierre. Les habitants m'adressèrent des signes de la main et j'inclinai la tête en souriant, par politesse rendue. La place du village était pavée de pierres naturelles et une jolie fontaine s'ér
ient de percer à travers les nuages, se reflétant dans la vitrine de
n bâton dans l'autre et les yeux dans le
? Tu v
r faire une mise au point ou quelque chose de plus technique
ramène chez toi ?
rge. Et lorsque mon regard se posa sur la grande carrure du jeune homme qui s'adressait à moi, mon front se plissa, mes yeux le fixaien
te ramener
lus rien de la route. Je me retrouvai devant chez moi en un rien de temps. Le jeune homme me raccompagna jusque dans mon salon et m'installa sur mon canapé. Je l'entendais se
un va ven
la tête et
café ? J'ai préparé une tarte avan
asse de café que je lui tendais. Il avala son morceau de part
causant que tout pe
vec ses grands
mmen
emps, tu ne faisais que ça, tu commentais tout sur
dont tu t
tai de
e piailler comme un petit moineau toute la
ste machinal. Je finis ma tasse de café et
ge pas,
envahit et l'angoisse me gagna. Impossible de déterminer si je laissais le bord de ma part de tarte, ce petit morceau de pâte, le mangeais-je ? Ou restait-il au bord de mon assiette à chaque part de tarte que je me servais ?