Keega la protectrice
rt
Amivi
n parfait inconnu. Et pourquoi ? Parce que je suis une parfaite idiote. Je ne fais jamais rien de bon. Je ne réfléchis jamais avec ma
r sa sœur et séduire de soit disant spectateurs ? Encore moi. Qui s'est mis dans cette merde toute seule ? Moi, moi, trois moi. Je me dé
Mathys
r en chemin. Il faut que je m'assure qu'elle rentre saine et sauve. Je tourne comme elle au niveau de l'ancienne Direction Générale de la LONATO (Loterie Nationale Togolaise) en direction de la lagune. J'appuie à fo
sayait de charmer des téléspectateurs virtuels. Elle s'est montrée si gentille, m'a parlé de sa vie, a dansé avec moi tout ça pour la télé. S'il se trouve tout ce qu'elle m'a raconté est faux. Oui avec les filles de Lomé on ne sait jamais. Mais j'ai sa carte de visite... et cette voiture qu'elle conduit ... et ses mani
Amivi
'il aille se faire foutre. Et merde, je lui ai laissé ma carte. Il sait ou je travaille, comment je m'appelle et il a tous mes contacts. Il faut que je la récupère. Il le faut. J
Mathys
ù comme ça ? Ne me dites pas qu'elle a oublié le chemin de sa maison. Attendez, je vais faire simple.
ega Amivi
tu te crois toujours
ga
de caméras cachées alors c
ga
pas de piège. Je suis architecte. Je t'ai vu arriver au restau tout à l'heure et tu
ga
rdes dans ton rétroviseur, je suis derrière toi. Je
Amivi
u'est-ce que je fais ? Il faut que je réfléchisse. Je ralentis et me gare dans la station d'essence CAP de Casamblaca en face d'un bar très fréquenté, le Ryverone. S'il tente quelque chose je pourrai être rapi
e qui te prend à la fi
ent) Rendez-moi ma c
é : P
et je ferai comme si on ne s'était jamais rencontré. (Comme si je parlais pour moi-même). On ne s'est jamais rencontré. Je
est jamais rencontré comme vous dites. Vous êtes resté chez vous, vous avez mangé toute seule et tout ce que vous voulez. Vous devez souffrir d'un truc vraiment sale. Venez chercher votre putain de
a pris de sortir ? C'est ma première sortie depuis ... et tout se passe de travers. J'éclate en sanglot. Je ne sais pas comment mais je me retrouve dans les bras de cet inconnu qui à cet instant précis sont un doux refuge pour moi. Je ne sais pas combien de temps je suis restée comme ça à pleurer mais quand je me suis calmée il m'a installé sur le
ux m'indiquer
de l'agence UTB (Unio
: D'a
chez moi, il sort et vient m'ouvrir la portière. J'ai la tête qui
rt
Mathys
r, pas loin de JESS HOTEL. Je n'ai pas de mal à suivre ses indications. Une fois chez elle, je descends lui ouvrir la portière. Je vais lui remettre ses clés de voitures et lui dire que je lui enverrai sa carte de visite lundi à la première heure à son bureau. Je n'ai aucune envie
yeux et redressez vous nous sommes arrivés chez vous. Il est
t enterré. Qu'est-ce que je fais. Il faut que je me calme et que je me rappelle de mes cours de secourisme. J'en ai pris quand j'étais à l'EAMAU. Je
Il y a un prob
s bras en descendant de la voiture. Vous voulez bien ouvrier le portail pour qu
te. Dès qu'il la reconnait, il se précipite pour ouvrir le portail et me précède dan
te. Je ne vais pas l'é
Oui mais je
sac de Madame dans la voitu
eige de son salon. Elle respire régulièrement ça c'est un bon point. Je la retourne sur un côté et bascule son menton vers le ha
rquoi vous ê
le gardien, l'agent
qu'est-ce que vous
eur : Je
ôt sécuriser ma voi
ton et il est s
gardez moi
que je pense à autre chose j'attends 5mn encore, si elle ne revient pas à elle, je l'amène à l'hôpital. Je m'assois sur la moquette à côté d'elle faisant face à son dos mais il y a son cul d'enfer qui s'offre à moi. Ces deux ficelles rouges disparaissant dans la raie de ses fesses. Il faut que je l'emmène à l'hôpital, si je reste seul ici avec elle je vais finir par la violer. Il faut que je trouve une couverture pour la recouvrir. Je ne peux pas la sortir de la maison ainsi vêtu ou dévêtu (c'est comme vous voulez). Il y a une porte en face de moi. Elle doit donner sur les chambres. Je me lève et vais l'ouvrir. Elle donne sur un couloir. En face de m
Amivi
forts pour pas la sentir mais elle toujours là dans ma tête. Je me lève péniblement, me dirige vers la porte du dressing et quand je l'ouvre je pousse un cri. Je tombe sur quelqu'un ce doit être un voleur. Je me retourne pour m'enfuir mais la personne m'attrape et me serre dans ses bras je me mets à crier au secours mais il plaque sa bouche sur la mienne. Je me débats comme une folle et il resserre son étreinte et son baiser se faire plus profond, plus violent. J'ouvre grand les yeux et je plonge dans son regard. Ce regard je le connais mais il y a une lueur toute nouvelle. J'arrête de me débattre et je me laisse aller. Ses lèvres sont si douces. Sa langue qui a forcé le passage de mes lèvres explore tous les coins de ma bouche. Il a un goût de menthe. Je ferme les yeux. Je me laisse aller je ne veux plus penser à rien. Son baiser s'adoucit et nos langues s'entremêlent, se sucent, se lèchent. Il embrasse bien. Je tressaute. Il vient de poser ses deux mains sur mes fesses et les malaxe lentement. C'est surement un rêve et je n'ai aucune envie de me réveiller. Je sens cette douce chal
? Tout va bien ? Je vous ai