Anna : Maîtresse à vie

pit

it se permettre tout et n’importe quoi ? Je ne tolérais pas qu’il puisse s’introduire ainsi dans mes histo

vous n’avez aucun droit sur ma vie privée nos conversations ne

ez honte

ntez n’importe quoi,

simplement de

z rien de mi

t en reprenant

? où avez-vous participez à des magouilles poli

ne me connaissez vraiment pas.

e, mais Sergio lui

on ridicule, bi

rait pas vous déranger

jamais jugé et vous l’avez fait avant même de me connaitre

istait plus, il ne rajoutait rien. A travers son regard on aura

u mon père et ma mère a été beaucoup

politique importante de votre pays il

éalité à été différente car je ne l’ai jamais vu de père à fille alors

être facile à

e femme qui aime les hommes, elle en change quasiment tous les ans. Mais elle ne s’est jamais prostituée, les mauvais choix qu’elle à

onc

vé par l’argent mais je crois juste que ça un lien avec mon pè

e mordait les lèvres, s’endurcirai

rs de ça, il n’a rien à fai

mais je comptais bien lui en mettre plein la vu on en rajoutant des couches a

re beaucoup de cadeau je l’admets mais c’est plus sa façon de se montrer attentionné et prévenant qui me touche. C’est quelqu’un qui

e ne lui avait pas du tout plut il se se

ous, l’histoire s’acheva ains

vous êtes… (il ne m

e vous ai

vais ça trop intime et je ne sais pour quel raison je préférais garder mes distances avec lui. Apr

oi d’aller me coucher, la fatigue

core terminé ?ce n’est pas t

ais je

oi ? votre hist

qu’il venait de me dire, j’avais du mal à

xcusez-moi

us racc

pas nécessaire ne vou

ous en

n’étions pas seul alors chacun regardait un peu à différents endroits. Arrivée devant la porte tandis que je cherchais ma carte qui faisait office de clef dans mon sac il était encore là il ne partait toujours pas

etrouvez pa

is ça ne doit pa

ue féminin attende

n’est pas

ira beauco

de plus en plus prononcé. On se regardait dans les yeux et je ressentais un désir violent. Nous étions comme hypnotisés, nos lèvres

fs en reculant d’un pas, il ne disait

e de spéciale mais bon les goûts et les coul

dre son petit jeu tantôt on pouvait sentir une douceur dans son regard et

nter mon petit déjeuner en chambre celui-ci était accompagné d’un mot. Pas besoin de me faire un de

9h30 vous étiez fatigué hier alors je n’ai pa

aperçu que la colère ne pouvait pas s’empêcher de s’emparer de moi. Il ne m’avait pas encore repéré car il me donnais dos et était au téléphone. Il parlait sans cesse d’une façon posé et élégante, de mon côté j’étais très chic je voulais être prise au sérieux. Dans son élan il se retournait et son regard tombait sur moi. Il me déshabillait du regar

sieur Santino

orme, avez-vous parlé à

ue celui là, mais il fallait le laisser

out !! disais-

t comme mon frère tour

ne faut pas vendre la peau d

re piège en ayant une pointe de compassion, vous êtes une sacrée manipulatrice dit donc. Si c’est avec ça que vous abordez mon frèr

n’y prêter au

re est un coureur de jupon et se ranger pour une femme comme vous

is qui vous as dit que c’est le cas ? >>

ue c’est pour ça que vous avez tenu à me rencontr

tôt ses mâchoir

ivez

une salle de réunion et l

osait une autre pile de dossier deva

ne suis pas prête de

reau, une assistante qui vous remettra

une estimation

s avez car

par l’argent et maintenant il me donnait carte blanche. Étais-ce une marque de co

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