Anna : Maîtresse à vie
pit
mon audace et il n'était pa
ez vous attaquer à ma v
u'il s'agit de protéger mon
on sang froid, j'essayais de contrôle
is des erreurs. Vous n'en avez
s, affichait un sour
ans ma vie personnelle, non, j'y ai toujours veillé. De plus chez nous en Italie on a une conception
l que je m'asseyais à nouveau un instant pour me remettre de tout ça. Et Marco n'ét
bienvenue. Disait-il en m
c cet influent homme politique et que je roulais sur de l'or avant que celui-ci ne perde le pouvoir. Ces clichés me dévoilaient dans des tenues scintillantes, minijupe
fièrement, comme s'il ne m'avait pas reconnu de
dû dépenser énormément pour les avoir. Lançais-je e
mon petit frère m'intriguait et il fallait absolument que je vous démontre que si je devais aide
me descendre et me laisser faire. Je redressais
on vous a dit que toutes les femmes Africaine sont des croqueuses d'hommes étrangers ? et bien si c'est l
Anna c'
il vous plait. Di
'effet que des hommes riches comme nous pouvons avoir sur elles. Qu
tie, il ne s'agit plus uniquement de votre frère
is à l'abr
rtais tellement, que j'abandonnais l'idée de le convaincre qu'entre son frère Sergio et moi il n'y avait rien d'autre que de l'amitié. S'il voulait cro
tendu malsain alors je vous préviens je n'ai pas l'intention de me laisser faire en vous regardan
à vive
faut que vous puissiez commettre
r car contrairement à vous j'ai fais des erreurs dans ma vie personnelle mais
s mains sur le v
r, parait-il qu'ici en Afri
nsinuez par là ? étais
beaucoup d'argent, assez pour
oyait qu'il pouvait se permettre tout et n'importe quoi avec son argen
mandez de dé
us mais à vous de choisir. Disa
tir le mal, plus de la provocation qu'autre chose. Je ne sais pas pourquoi Marco me troublait, malgré ses airs odieux et méprisant. J'étais tentée de jouer
ère j'étais sur le point de lui montrer que j'avais dealer avec des hommes beaucoup plus intimidant et effray
eu à la sueur de mon front et non avec celle de mes fesses
ée de surcroit et j'étais entrain d
me personne, mais on verra qui
homme paraissait avoir tro
us d'aller trav
s plus m'empêch
pas, il n'est pas à Abidjan en ce moment, il est en Italie alors pourquoi tant d'acharnement
e fusillais aussi du regard pour ne jamais laissais paraitre la peur et je le sentais qui mordait à l'hameçon
toujours pas répondu à
vous ? demandais-je d
prendre où
la menace ça fait des années que je travail ici alors
de bien réfléchir. Vous
toute la rage que je pouvais ressentir au fond de moi je sortais de son bureau l
re une cho
une femme infaillible. Ce qui me maintenait immobile. Il m'observai
s tant et que c'est aussi le cas pour vous cela ne devrais rien chang
disais je en lui claquant
se déjeuner ensemble dans un grand restaurant de la place. Cela faisait un bout de temps que je n'avais pas croisé
ent comme deux gouttes d'eau. Même si leur regard ne dégageait pas les mêmes sensations. Celu
e nos assiettes une conversa
ton frère était si maniaqu
et laissais apercevo
'a-t-il
s hors de moi, rabaissé, méprisé, mais aussi déstabilisé à un point où je me suis senti troublé au plus profond de
indécente !! me co
quel
aller travaille
pourq
uis intéressée par toi, non même pas,encore mieu
es femmes d'ici n'en veulent qu'à notr
il aille se f
e bée un instant il
t ? quest
j'aurais bien aimé le
demande d
faire. J'évite juste de le croiser en ce moment car je n
e décoller ta carrière ma famille possède plusieurs filiales dans le monde et celles qui sont ici
épète que ça ne
a : << et si c'était moi qui te le demandait ?>>..............
? si tu aimes