Anna : Maîtresse à vie

pit

’enceinte il y avait comme un mouvement de panique général. Tous les employés étaient bien droit chacun à son poste. Je me demandais bien pourquoi ce sérieux soudain dans une entrepris

bureau de Mr Sergio Santinoni le vice président de la société. C’était anormal car cela faisait un bon bout de temps que

ndide bureau, j’apercevais au loin un homme qui était assis, me faisant face. Il avait la tête complètement plongée dans ses dossiers. Je l’observais pourtant de vive allure mais il n’avait pa

rtant pas de Sergio

surprenait dans cette position de qu

Ou

ooo

it une de ces peu

alors ?

que tu fou ici

avec le grand patro

disais-je avan

ent de la société, Marco Santinoni, il s’agissait du grand frère de Sergio et il venait d’arriver d’Italie. Il s’entre

ce que j’aurais bien pu lui dire que je ne me sentais pas dans les

rs rien de là où j’étais. Soudain, dans les minutes qui suivaient je recevais un coup de fil plutôt froid de la

me rendais compte que je ne pouvais pas rester là comme ça à ne rien fai

antinoni… disais-je

Anna, la petite négresse Ivoirienne je ne savais pas où donner de la tête face aux flamboyants yeux

face à lui d’autant plus qu’il était sans cesse entouré de sublimes femmes à longueu

-vous ? de

ement mon souffle

onsieur, vous m’avez d

ir séducteur… Et me demandait de m’a

ôté de ma collègue complètement

la table, mes longs ongles étaient sublimés par un vernis rouge vif qu’il admirait avec précision on aurait dit qu’il avait un penchant particulier pour celles-ci. Avant de replon

s rumeurs qui circulaient encore sur lui dans les couloirs et me demandait comme ça, commen

faisait de lui un séducteur véritablement redoutable. Marco Santinoni ressemblait vraiment à un homme qu’il falla

ieux marquer la distance entre nous car

quasiment un trait de famille chez nous, on avait la nette impression que toutes les femmes prenaient le même chemin côté sentimental chez les Kouadio. Succession de mauvais choix, et assez de larmes

vant moi. J’étais presque agacée par son silence et je me disais comme ça que si mon travail ne le satisfaisait pas il aurait pu tout simple

nalyser son dossier, il lâcha d’un

ourquoi je vous ai fait veni

mais sans jamais pan

te que mon travail

otre niveau tout est impecc

si je ne trouvais pas néce

de mon travail, de quoi s’agissait-il alors ? Trop pre

te les statuts des différents employés je me suis rend

isément ? disais-je d’u

é dans aucune close du contrat ? comment vous expliquez encore sa présence

ue lui car je n’avais pas connaissance de ça. Alors ne sachant vr

petit frère qui m’a certifi

d’un air doute

erg

été très bon avec moi et à décidé de me garder il m’a assuré

période de ma vie que je n’oublierais jamais tant je touchais presque le fond. C’est ainsi qu’il m’avait accepté dans sa société,

est ce pour le travail que vous

it toujours sur ma façon de travailler al

que vice président il a une place assez influente ici pour se perm

en quoi suis-je concernée par son amour pour X ou

ne voye

nt d’enchaine

reprendre les rênes de cette société et j’ai pris le temps de tout passer au peigne fin et je connais bien l

nce et tenais de moi

i vous parlez s’il vous plait

ouri

e place au sein des entreprises vous voyez tout ces bâtiments d’en face ? (disait-il en nous montrant le

uoi ça encore ? disait-el

que Monsieur Sergio ai pu se tromper s’agissant d’un tel

ez Mlle Anna. De plus il n’

mes mains sans jamais me quitter des yeux. Après avoir j

ans ce milieu qui ne sont pas toujours censées alors cela

ne peux pas vous garder dans ces conditions. Dossier clos. Disait-il a ma collègue avec un tel sans

emandais même pourquoi il m’avait fait venir là si c’était pour assister à ça franchement. Considéra

che de mon frère Ser

vait effrayer tout le monde sur son passage avec ses airs de dictateur il était important

un n’est pas un déli

ous, connue pour s’accrocher particulièrement à des hommes

nseigné sur moi… rajoutais

ez votre te

dire ? dem

sorte, mon petit frère ne se mettra jamais avec une Africain

une. Sergio et moi on se voyait très souvent hors du boulot mais notre relation était juste amicale rien de tout ce q

is passer du temps avec lui car on s’amusait beaucoup et j’appréciais particulièrem

ionnelles où des décisions d’ordres personnels ? j’atten

ne fera rien avec u

mme comm

e d’un certain homme politique,

vais cru avoir enterré décidément semblait vouloir me rattraper. Comment ai-je pu

pe ? disait-il d’u

s choses, de ne pas lui donner se

i, L’unique Anna Kou

s voulez une suite