Les Caprices du Destin
r des fa
de Jo
rme décision de ne plus lui tenir compagnie au lit. J'étais décidé à prendre des distances vis-à-vis de ma mère. Je me rendais compte que ma ressemblance avec mon père lui menait la tâche difficile. Maman n'arrivait pas à faire totalement son deuil. J'eus du mal à trouver mon sommeil. La scène défila dans ma mémoire. Je pris un somnifère. Quelques minutes plus tard, je to
côté de
e mon fils. Je voulais sauvegarder nos rapports. Mon fils descendait les escaliers en po
ai fait ton petit déjeuner. Des
un peu pre
un peu
on fils évitait mon regard. Jonathan prenait son petit déjeuner dans un silence absolu. Je cherc
s comment te pa
rler de
n acte
lleurs je pars à la fac. Je sera
ne jo
nous la veille. La réconciliation était violente dans notre lit. Sébastien me faisait l'amour farouchement. J'adorais nos réconciliations. Je devais trouver une astuce afin de l'envoyer dans mon lit. Je ne trouvais pas l'idée mal que je dorme dans son lit. J'avais déjà une idée
côté de
du cimetière aux environs de dix- sept heures. Le silence qui y régnait me glaça. J'avancai malgré tout jusqu'à la tombe de papa. Je posai une gerbe de fleur et m'assis en essayant d'enlever de mes mains quelques feuilles mortes qui s'y étaient accrochées. J'avais pour compagnie le bruit des oiseaux. De temps en temps ma quiétude était perturbée par l'irruption de quelques visiteurs. Je passai plus de deux heures assis près de la tombe de mon géniteur, puis me dé
té de Jacqu
de mon fils à la maison. Je demandais à mes domestiques s'il était déjà rentré des cours. La gouvernante principale m'informa qu'il n'avait pas encore mis les pieds à la maison depuis sa sortie le matin. Je tentai une fois de plus de le joindre. Mes tentatives tombaient sur
interdit à tous les employés. Je ne devais en aucun cas être derangée dans ma tâche.Je souhaitais faire le plat de mon fils moi- même, de mes propres mains. En réalité, j'avais peur d'être surprise. Je ne voulais pas être freinée dans mon élan. J'avais, grâce à la complicité d'une amie infirmière pu me procurer l'un des plus puissants
fis une beauté. Je dégageais une odeur de propreté. Mon parfum avait envahit notre salon. Je pris place dans le divan. Je guettais la porte principale. Jonathan allait la franchir d'un moment à l'autre. La porte du salon s'ouvrit enfin. Je reconnus la voix de mon fils et me levai aussitôt. Il saluait la gouvernante. Mon Jonathan entra dans le salon. Il
maman. Tu
ineux et Jonathan m'avait offert un large sourire. Son baiser sur ma joue n'était- il pas un signal qu'il avait trouvé une raison pour me désirer ? J'étais une belle
Tu as eu une exc
maman
tait bien. Mais pourquoi r
blié de t'informer. Je suis all
uis resté morte d'inq
se reproduira plus. Mon
s important que tu sois là
maman je
t moi- même t
dis pas que tu a
sûr q
an, je vais
souhait. Pas
ement faim. Je vais p
arde perds son goût, tu le sais. Il est encore chaud et savoureux, d'autant plus qu'il n'est écrit nulle part qu' il faut se
assons à table. J
mon fils, tandis que je me servais une p
sant pour moi. Tu n
ude. Le Nyama est juste pour toi
en a de
t pas gra
raiment DE- LI-
ci mo
ais contente de chaque bouchée supplémentaire qu'il engloutissa
ama
mon Jo
ne veux pas en pre
ne te préoccup
manges pas. C'est à peine si tu as
ler. Mange copieusement. Tu iras prendre ta douche
'ai un devoir à
côté de
ent, je tenais à peine sur mes jambes. Ma vision perdait en qual
lent. Je file prendre ma douc
excellente s
e était de bonne humeur. Je m'en réjouissais pour el
hes de l'escalier. Tu tie
e sais pas trop pourquo
a chambre pour vérif
e ne suis pas malade, ju
ndrai qu
ccord
côté de J
i. Je frémissais ! Je n'attendais que cela. J'étais prête à faire une seule chair avec mon fils ; un regard lancé une énième fois dans le miroir : j'étais désirable. J'étais même sûre que Sebastian m'aurait dit des merveilles à l'oreille en me regardant. Je pris la direction de la chambre de mon fils, dont j'ouvris délicatement la porte. Je ne voulais pas le brusqu
eux en
t toi
'est mo
i va
croyai
très mal à la tête ; je
ce que tu
e. Je ne suis pas malade m
ccord
es là ? Tu
on Jonathan, t
envie de toi. Je t
h b
te
uuuuu
vraiment en ma faveur. Il me confondait avec une amie. Il me fallait profiter des chances du destin. Ses paupières s'ouvraient à peine et son pénis était en érection dans son patalon. M
côté de
aire l'amour. Je voyais mes rapports avec Lyna, comme si j'étais hors de mon corps, très heureux qu'elle soit présente à ce moment précis. J'avais besoin de me libérer. Lyna se mit au- dessus de moi. Elle commença à m'embrasser ave
côté de J
dans un lit, et digne de la lignée des Ouaka. Encore dans la fleur de l'âge, mon fils était très viril. Il finit par s'endormir sur moi après m'avoir donné de sa semence. Je restai près de lui en le serrant tout contre moi. Je le caressai to
'en étais bien capable pour garder mon petit Jonathan. Je n'étais pas prête à le partager. Maintenant que j'étais sienne, je n'aurais pas pu supporter qu'une autre profitât de son corps et sa beauté. J'étais désormais détermi
côté de
is ma mère dans mon lit. Elle était toute nue. Je me rendis compte en ce moment que je l'étai