Les Caprices du Destin
r des fa
passer. Non, maman ne pouvait pas coucher avec moi ; tout sauf ça ! Je la ré
an !
nom ainsi Jonathan ? Tu ne
ême que je te réveille. Bref : tu fa
stion idiote
. J'ai besoin d'une réponse. Tu
me dire que tu
rien. J'éco
nocent, je te dirai. Nous avons
Et
m'as fai
is- moi que c'est une blague. Non,
ent ces pleurs stupides. Tu e
g, après tout ? Tu n'as pas de remords ? Ni de honte en face de moi
'as invitée, tu n
s mon lit ni même avoir le courage de penser à un acte incestueux. Je préfère courir des pu
une pute ? C'est vraiment cela que tu veux pour ta mère ? En plus, qu'est- ce que nous avons fait de si grave pour que tu te prennes a
nausée, maman. Je ne sais pas si j'ai m
à hier à jouir en moi
dévergondé. Rien d
leva du lit. Elle me donna
s de me parler ainsi. Je
en sortant, plein de rage. Je me faufilai dans la douche de la chambre des invités et ouvris le robinet. L'eau coulait sur moi. Je restai en pleurs assis
côté de J
devais le laisser au calme. Jonathan se ferait une raison. J'avais passé une excellente nuit. J'aurais tout donné pour avoir une seconde partie de sexe au réveil. Je ramassai ma nuisette et me vêtis pre
côté de
regardai ma montre. Il était huit heures. Je devais me rendre à mes cours. Je décidai de ne pas y aller. J'avais l'esprit pertubé. Je joingnis immédiatement le directeur des études pour lui faire part de mon ab
maman et moi. Je te demande pardon, papa. Pardon, parce que maman a eut des rapports sexuels avec moi. Je te demande pardon, papa. J'
sa propre famille. Je ne voulais être ni désagréable, ni violent envers elle. Je savais que maman m'avait drogué pour abuser de moi. Jamais je n'aurais eu cette bassesse d'avoir envie de ma mère sexuellement. Je ressentais le besoin de me confier à tonton Kwame mais restai silencieux, lié par la honte. C'était si honteux un tel act
onj
be. Tu es déj
soin qu'o
a chéri. Sois pas timi
question que je prenn
les. Tu as compris, Jonathan ? Tu m
'est plutôt toi qui te tairas pou
, vas- y, j
ans la demeure de papa. Je reprendrai les cours dans
est- ce que tu ra
ne suis pas ton Jona, ni ton Se
eras pas de
Ne t'avise même pa
us allons bien voir c
lances u
cun
'avons plus ri
rai pas ; tu p
ns la presse écrite. En plus, tu as la mémoire courte. Il ya des caméras dans tous les chambres. J'ai déjà les c
tes parti
inte
s fou ! Tu en fais
oblème. L'argent de papa est
tudes cette a
non, je pars d
is different de ton géniteur. Je te prenais pour un être sensible, tendre. Je me suis complètement trompée sur toi. Tu peux aller gaspiller l'argent de ton père ; c'est ton problème. Si jama
n estime. Tu es morte pour moi maman, dès l'inst
er le plancher.
comme
champs un billet d'avion en ligne. Je descendis avec une petite valise et appelai l'un de nos chauffeurs pour me conduire. Maman était enfermée dans sa chambre. Elle avait donné une enveloppe au chauffeur à me remettre. Le chauffeur sortit la voiture en
coté Jacque
ière les projets de Jonathan. Si mon Jonathan avait décidé de me laisser, la faute lui en revenait à cette maudite Lyna. Elle avait trouvé ainsi un chemin pour s'envoler vers l'Europe. Elle pouvait s'estimer heureuse si je ne la retrouvais pas. J
ais une autre raison de penser à lui. Je portais dans mes entrailles le fruit de notre amour. C'était une grossese à risque vu mon âge. J'étais à six mois de grossesse. J'avais appris la grossesse à deux mois. Le docteur m'av