Les dessous de ma polygamie
ie : La v
r physique, leur charme et leur séduction. Nafi est ce genre de femme qui d'un seul regard, tu es dans un autre monde. Ses déhanchements, ses formes, son sourire et pour couronner le tout sa beauté. Je ne joue pas au favoritisme mais elle est tout simplement magnifiquement. Quand j'rejoins sa chambre, je ne voulais plus sortir. Raison pour laquelle, j'fais tout ce que j'ai à faire avant de franchir la porte de sa chambre. Je ne sais pas où est-ce qu'elle a été formée mais elle est vraiment une bonne femme. Je ne vais pas entrer dans les détails mais les tours de Nafi pour l'instant sont les meilleurs. Son corps était à moi, elle ne me prive de rien, contrairement à Adji qui depuis lors, elle ne voulait plus faire l'amour avec moi. Comme j'ai maintenant deux galons, je ne me plaignais pas. Tôt ou tard, elle redeviendra normale. Les jours passèrent, l'ambiance entre mes deux femmes état au top. Parfois, elles étaient au salon pour discuter et échanger. Ce qui me plaisait le
chaque semaine, nous faisions quelque chose. Donc si je te vois rester des mois sans même me laisser te toucher, ça me surprend et me désole. Adji, tu es ma femme et je t'aime de tout mon cœur. Je te le répète, ce n'est pas que j'suis en manque mais tu me manques. Ton corps me manque énormément. Tu es
je me repose. Essaie de me comprendre, c'est un peu compliqué pour moi. Il fait nuit et demain, c'est le boulot. Le problème ce n'est pas toi mais c'est moi. Je te le demande solennellement, de profiter de ta nouvelle femme. Quant à moi, donn
ermission d'Adji. Ma 2ème femme avait tout le temps un programme lors de ses jours. Contrairement à Adji qui ne cherchait pas quelque chose à m'amuser. Leur différence pour le moment, est que Nafi avait quelque chose à proposer et l'autre tout se tournait dans la chambre et la bouffe. Il arrivait à Nafi de m'inviter à sortir de Dakar, franchement, elle marque des points au moment où Adji faisait la tête. Nous les hommes, nous aimons la tranquillité, la paix... Les jours de Nafi, je ne m'ennuyais pas. J'avais tout le temps quelque chose à faire. A chaque fois que je me rapproche de la fin des jours avec Nafi, j'suis triste. Ce n'est pas que je n'aimais pas être avec Adji mais le dialogue avait complètement diminué avec elle. Nous ne nous disions que l'essentiel. Nous pouvons passer des heures dans la chambre sans même s'adresser la parole. Chacun était dans son portable ou son ordinateur. La nuit, chacun prend son bain et se couche. Vous comprenez pourquoi, je n'étais pas pressé de rejoindre sa chambre. Honnêtement, la situation ne me plaisait pas du tout mais que faire ? J'ai voulu en parler avec mon père mais je me suis retenu. Son jeu a duré presque 5 mois. Je ne sais pas qui l'a conseillé, un jeudi, coïncidant le premier jour de ses tou
rdon bleu. Elle cuisine trop bien. Après le diner, elle me sert un bon jus de gingembre comme je les aime et du thé. A un moment donné, elle disparait, j'étais seul au salon. J'suis resté un long moment au salon avant de monter à mon tour. En ouvrant la porte de la chambre j'étais tellement surpris et impressionné par la décoration de la chambre. Un drap blanc bien étalé sur le lit, entouré des feuilles de fleur, un jeu de lumière en rouge, waouh une décoration basée sur le rouge et le blanc. L'odeur du parfum était tellement forte qu'elle pouvait réveillée un mort. Je n'ai pas fini de savourer ma surprise qu'elle sort de la salle de bain avec un accoutrement en rouge blanc aussi. J'ai vu une autre Adji bien décidé à reprendre sa place. Alaboni célibataire vous ne vivez pas walay, vous n'essayez que de survivre. J'avais perdu mon latin, je ne pouvais plus prononcer aucun mot. J'étais là, entrain de regarder le spectacle qui se passait sous mes yeux. Adji déhanchait doucement, surement pour me montrer qu'elle n'enviait en rien à Nafi. Elle marchait si doucement et si sensuellement jusqu'à mon niveau, elle me pousse sur le lit avant de se mettre à genou « Je tenais à m'excuser de tout mon cœur. J'ai fauté sur toutes les lignes. Je n'avais pas le droit de me mesurer à toi ni de te défier. J'ai fait mon propre autocritique et j'ai compris que j'suis l'entière fautive. To