Les dessous de ma polygamie
e : Les re
chambre ». Mais est-ce que... que ..., je n'arrivais pas à terminer mes phrases. Elle me reprend «
me. Tu me gâtes de jour en jour. Je te remercie aussi d'avoir été discret durant tout ce temps avec cette maitresse qui est devenue aujourd'hui ta femme. Tu n'as jamais découché, je n'ai jamais douté une seule seconde que tu fréquentais une autre femme. C'est un signe de respect. Je te souhaite beaucoup de bonheur dans ton nouveau ménage. Je te renouvelle ma soumission, mon dévouement et mon amour envers toi. Je ne te demande qu'une se
». J'souris à mon retour. Je l'aide à mettre ses bagages dans la voiture. Elle était en robe qui mettait en valeur ses belles formes. Nous avons pris le chemin de Mbour. Dans la voiture, elle commençait à se vanter de ses atouts féminins et chacun promettait à l'autre une victoire éclatante. Thiey l'homme en un laps de temps, j'ai oublié ma première femme et j'me focalisais sur la 2ème. J'étais trop content et excité à l'idée de découvrir autre chose. A notre arrivée, la chambre était prête et nous étions bien accueillis. Vu que nous sommes arrivés un peu tard, elle a pris son bain et nous avons reçu le diner. Après le diner, elle commençait à se déhancher dans un tenu extrêmement sexy en sortant des mots « Tu as bien fait de choisir une tigresse. J'ai les griffes aigues et aucune fille de ma génération ne pourra me rivaliser. Regarde-moi bien de haut en bas. Qu'est-ce que tu vois ? Tu sauras que tu ne vivais pas. J'vais te montrer que tu peux avoir mieux. En attendant, j'vais te donner un bon bain ». Elle s'approche de moi et m'aide à enlever mes habits. J'étais un peu gêné, parce que, je n'ai jamais accepté qu'une autre personne me donne un bain. Avec ma première femme, ils nous arrivaient de partager le bain mais elle ne m'a jamais donné mon propre bain. D'ailleurs, on se rejoignait sous la douche de temps en temps pas plus. Bon, vu que c'est la première fois avec elle, je me suis laissé faire, elle me déshabille comme un nouveau né avant de me donner une serviette. Elle s'était noué une serviette blanche autour de ses reins. Tout ce qu'elle faisait lui allait très bien. Elle me guide dans les toilettes. Je me sentais trop gamin en tombant sur ce jeu. J'avais un peu honte parce que je ne connaissais pas ça. Mais bon, les choses sont trop loin pour revenir en arrière. J'ai accepté ce bain, elle me passait le gel de bain partout dans mon corps
a regagné le domicile conjugal dans la plus grande sobriété. J'ai joué au responsable en convoquant mes deux femmes. « Adji, je te renouvelle mon amour, mon respect et mon estime envers toi. J'veux que les choses soient claires depuis le début. Je n'ai pas pris une autre femme parce que j'te reproche quelque chose, non, si j'ai pris une autre femme, c'est parce que je ne veux pas vivre dans le mensonge ou l'adultère. Ta coépouse qui est là aujourd'hui, elle peut être témoin. Si j'mens, demain, elle ne pourra pas me respecter mais elle peut témoigner que nous n'avions jamais fait quelque chose qui frôle l'adultère. Il ne s'est rien passé avant notre mariage. Juste pour te montrer le respect que j'avais pour toi. Je ne t'ai jamais trompé. Je te demande de considérer Nafi comme ta propre sœur. La paix dans cette maison sera mieux pour nous tous. A vous d'i
venue. Et que j'serai toujours disponible pour elle. Tout ce qu'elle voudra savoir dans cette maison, j'suis prête à donner un coup de main sur tout. Je ne suis pas difficile à vivre. Comme toute femme, au
une femme de Mass. J'serai ta petite sœur et j'suivrai tes pas. Parce que, j'suis témoin du respect que te voue notre mari. Il a parfaitement raison, il n'a jamais connu l'adultère en tout cas pas avec m
relais, le temps que je me repose ». J'étais obligé de lancer mon grain de sel « Arrêtez, je ne suis pas un objet. Vous vous fichez de qui là, je ne suis pas un ballon de tennis hein. J'ai mon mot à dire ». (Nandité : Mowaye nopil rek momato sa bop). Elles sourient ensemble avant que Nafi ne parle « Tu es notre jouet, notre bb, notre ballon de tennis, bref tu es à nous. Tu es notre diamant, à nous de te polir ». Je
e me lancer « Merci, je ne l'avais pas gardé pourtant, c'est un cadeau de ma petite sœur Nafi ». Waouh, j'vois que vous vous unissez pour me tuer mais je ne vais pas accepter. Il faut que j'reste sur mes gardes sinon, j'risque de mourir jeune ». Elle sourit avant de me dire « Je ne te le fais pas dire. En tout cas, nous allons bien s'occuper de toi sur toutes les lignes. Je ne sais pas de ton côté mais nous serons à la hauteur. Les hommes t'envieront ». Elle me parlait tout en me caressant le corps et vu qu'elle à des mains douces, sensuelle et un corps extrêmement sexy, je ne pouvais qu'être excité en ressentant une envie