La femme des églises

êve devien

suite, on y pense et on y repense sans ce

n intention d’écrire un livre sur

commencer

s et je désirais

s avec cette passion de c

pit

ait six enfants et deux autres de son premier mariage ; nous les côtoyions de temps

du précieux bois ainsi que les marteaux et clous. Mais attention, pas n’importe quel clou car les petits coûtaient très chers. Comme des abeilles, assidus et ha

cilement compte tenu du travail exigé. D’une hauteur de trois pieds, ayant une forme circulaire et un toit en cône, e

ères. Tous les soirs après le repas, plusieurs gamins venaient voir les nombreuses tentatives afin

tous les jours sur son projet, il finit par réussir à mettre en marche un tandem. Tous les jeunes désiraient faire une promenade avec lui sur ce truc bizarre.

du mobilier et des murs. Cela améliorait grandement notre modeste chez-nous. Rien ne

car tout cela demeurait les seules choses que nous pouvions faire. Mais lorsque notre chef rangeait ses outils, nettoyait l’établi et enleva

t pas de travail ; la préparation de la nourriture et les tâches quotidiennes demandaient beaucoup de

ir avec un de nos morceaux ou avec le marteau. Elle se sauvait en courant très vite autour de la maison. Aussitôt que nous la repérions, nous partions derr

s aimions nous cacher et découper de gracieux personnages dans les catalogues. Comme notre mère nous interdisait l’usage des ciseaux, et

re bricolage préféré. Nous collions ces magnifiques personnages sur du carton rigide

notre priorité. Sur un gros cran derrière chez nous, le contrat débuta. Nous récupérions et tr

j’en ai oublié la recette et je crois que c’est mieux ainsi. Rose devenait ma soi-disant mère pour le jeu et Jeanne celle de Rachel. Notre père nous avait installé des balançoires dans les grands arbres sur notre terrain. Chacun à son

aient rompre notre bonne humeur ; normal puisque nous

de nos parents. Aussitôt que nous les avions vus, nous allions bavasser aux chefs qui les punissaient e