La dernière Lilandrienne - Tome 1
yia
une escorte de gardes nous attendait et nous a escortés vers la sortie arrière, dont les jardins donnent sur les bois. Là-bas, une v
un bal masqué. Il t'attendra. En neuf jours, vous avez largement le temps d'atteindre le village, trouver une chamb
tu ne veux pas me le répéter encore six ou sept fois
d'œil outré et me pousse du
tite futée ! Allez !
'entre dans la voiture, non sans chercher Green des yeux une dernière fois. Il m'encourage silencieusement et le garde referma la portière dans un claquement sec
ime, cou
issent presque derrière la canopée des arbres. Tournant mon regard vers l'intérieur de l'habitacle, je constate que je ne suis pas seule. Alors là, c'est le bouquet. Je suis télépathe et je n'ai même pas senti qu'il y avait une autre personne à un mètre à peine de moi. Le pauvre n'a pas l'air de savoir où se mettre, et on dirait qu'il essaie à tout prix de ne pas me regarder ou de croiser mon regard. C'est mignon. Brun, jeune, visiblement de taille moyenne, les yeux brun doré, une
alu
ève la tête, surpris et quand il comprend que c'est bien à lui
non... Votre Majesté. J
enir un gloussement. Ouais, c'est bien de ce genr
dant pas mal de temps tous les deux – au moins pour les deux jours de trajets jusqu'à Kelton – alors autant fai
'appeler Dany. Enfin... Vous pouvez m'appeler Dany si vous voulez. Uniquement si vous voulez... Je ne vous oblige à rien. Je veux dire...
lèvres. Non décidément, il est vraimen
is tu as l'air très jeune pour être garde royal. Alors... Parle-moi
u plus confiant, ce qui a pou
n. J'ai dix-sept ans. Je crois bien que je ne suis ic
er, pourquoi toi ? Comment vous avez choisi ? Parce que je ne suis pas francheme
, parce qu'en règle générale je ne suis pas du genre à avoir de la chance. Mais je traînai
estin ! J'en
éclater
avoir raison, ça
tout était normal, bien qu'il me vouvoyait et m'appelait M
ny
oins être la trente-quatrième fois que Zach utilisait la même technique et pourtant Ronan continuait à parier, se faisant plumer de vingt drachmes en or à chaque partie, sous les encouragements de Lachlan. Vautré dans mon fauteuil, j'observais ce triste duel sans fin, me prenant à me dire que cette attente n'aurait pas de
ce que vous fo
oi, on échangeait des regards confus, dans l'incompréhensi
ire que vous n'avez pas
gt heures à minuit : c'était le tour ou il y avait le moins de chances qu'il y ait de l'action. Les regards que les autres nous lançaient me le confirmaient : nous étions bien la pire division.
ire
bois. Jetant un regard au mien, j'ai constaté qu'il était gravé d'un
ec nous ! Allez,
retentissent à l'extérieur de l'habitacle. Tendant le cou, j'aperçois deux silhouettes enlacées, dont une plus petite que l'autre. Ce doit être la princesse, ou d'après ce que j'ai compris la reine maintenant. Quand elle se retourne, mon cœur fait un bond dans ma poitrine. C'est sans aucun doute la plus belle fille que j'ai vue de toute ma vie, même avec les yeux gonflés, le nez rouge, et habillée d'un vieux sweat. Elle ouvre la
alu
mon cœur s'est arrêté ? J'en ai bien l'impression,
non... Votre Majesté. J
, à discuter joyeusement avec la reine, qui est, entre parenthèses, magnifique. Si on me l'avait dit il y a une heure, je ne l'aurais jamais cru. Je me détends petit à petit et il faut dire que ce n'e