La nuit de ma mort
Pi
r autant. Je savais désormais que quelqu'un pouvait m'aider et m'orienter en cas de besoin. Je me mis à réfléchir à cette
ulais pas me rendre au labo. Non, ce dont j'av
pouvait-il exister de joie ? Je ne pouvais l'accepter et me résigner à croire en des paroles sans aucune preuve de leur véracité. Ce n'était tout simplement pas acceptable en l
e pour personnes âgées, L'Aurore, qui se trouv
a lumière et les pièces de l'établissement étaient agréables et que malgré la signification de cette bâtisse, les personnes qui accompagnaient et entouraient les gens qui y vivaient faisaient de leur mieux pour respec
des-soignants déambulaient dans les couloirs, accompagnant des résidents dans leurs chambres. Puis, je reconnus la vieille infirmière, Mme Schmidt
ucidité qu'il avait entre deux errances, il fixait la fenêtre. Mme Schmidt savait qu'il était là car son rega
je me mis dans sa ligne de mire. Soudain qu'elle ne fut pa
e, tu m
e long de ses yeux fatigués
je te vois et même
ment est-c
n vie. Mais je suis mort depuis bien longtemps. Mon â
re attachée à
une version temporaire, avec la différen
onversations, celle-ci était
r et nous avions cet échange à une période antérieure à mon présent. De nouveau, une expérience quantique
is si heureux de pouv
s surpris
pas le premier à venir me trouver
r, m'interrogeant sur sa réaction face à
maine dernière, c'est ma
e au courant, je transmets des messages, comme un bureau de renseignements. Je c
u d'autre
m'a prévenu de ta venue
n savoir
t de question, il te suffira de te souvenir de moi, tout c
ésence n'est pas éternelle. Mon temps e
prochaine étape. Va t
outa et ses yeux