Malgré tout notre amour
lus que moi. De même, j'étais toujours la deuxième de ma classe parce que les devoirs se faisaient par semestre.
ofesseur. Je voulais le saluer mais
pleures ? me demanda
s mot car, je ne
toi que je parl
ue des cours, mons
pourq
quée et malheureusement, notre professeur des
isine, où
surveillant, elle est déjà part
n'es-tu pas allée
mmencèrent à m'énerver mais j
! Mes parents m
ents sont furieux et pourt
quer de respect à un adulte tel que me l'ont toujours déconse
uis dé
quérir le surveillant et aussi ton
mon professeur
jure que je vous serai très reconnaissante, cher p
s-tu reconnaissante
n professeur ne me demandera ni or ni
travail bien sûr, lui r
en classe, ça ne profitera que toi et t
ai grands les yeux pour att
qu'une seule
cette chose
instants de sil
simple. Tu vas juste me laisser
sseur me demanderait une telle chose. Pire, je suis encore mineure et je
unie par mes parents que d'agrée
'en échappe
arus de la cour un peu plus tard. Sur le point de vouloir prendre l
t'observer de loin. Tout d'abord, qu'as-tu au front
elle m'a fouett
C'est encore à
ment la raison pour laquelle j'avais cette pla
, c'est une affaire
affaire familiale ? D
maison appele
pourq
nt parce que je n'étais pas d'humeur
sa, ma copine de table et malheureusement,
Van
ie depuis près d'une
e serait-ce pas évident que nous mettions une pause à nos relations amo
e ça, je pourrai savoir d'où allaie
érangerait pas
ur baissa la tê
ux pas vivre une seconde s
i un acolyte. Ce dernier t'apportera mes missives. Plus clairement, nous allons dorén
ée ! Faiso
Laisse-moi maint
'ac
'abandonnai mon interlocute
e portail, je commençai à me demander ce qui allait se passer avec moi dans cette maison infer
ais le patronyme. À moindre petite erreur, c'étaient des coups par-ci et par-là. Je fis mine à ces coups qui m'attendaient pu
! » m'écriai-
d'abord le portail et me plongeai dans un gr
ister. Elle me disait que je n'allais pas mourir ou même si je mourais, que je ne fe
r après avoir poussé le battant. Toute désarmée et abattue, j'
drai informés de ce qu'avait dit mon surveillant ? Me frapp
a et maman surgir sur moi, en train de me bastonner de toutes leurs forces. Tantôt, je me voy
sans ton sac ? me deman
armes commencèrent aussitôt à se former dans les coins et recoins de mes yeux. Pour ne p
été renvoyé
t calée à mon front, il ne me demanda
ison ? reprit-il d'
aison, le sale comportement le plus interdit
ps de bastonnades que de dire la vérité. En ce moment, seul Dieu pourrait me sauve
en murmurant entre les dents « c'est parce que
e ma copine et moi avait raison, m'ordonnèrent à ce qu
es coups de ceinture. Papa me frappait à la ceinture pendant que ma mère me donnait des gifles çà et
ge m'étais
*
ini par ouvrir les yeux dans un centre de santé. Quand je repris conna
r me réincarner dans une autre fam
raitements, je fus conduite à l'école par ma maman. Elle était une doua
dans le grand complexe scolaire, elle et moi nous dirigeâmes vers un bâtiment au chevet duquel était écrit en grand
ain. Quelques instants plutôt, vin
nsieur, comm
adame, que puis
venue nous faire part d
est votr
, mon
nue écouter ce qu'elle a fait de
d nous l'avions interrogée, nos intentions s'étaient avérées vraies. Comme nous lui avions demandé ce qu'elle a pu faire pour être suspendue des cours et qu'elle nous l'avait certifié, son père et moi nous som