Sa punition, devenir ma femme
s, Ang
m'informais-je auprè
cupérer le dernier fourgon. On s'app
est av
firm
tre vous vient dîner
s vou
ire ce que l'on te demande
a bande n'a franchi cette porte. Ce n'est pas une règle, c'est une loi. Il a donc compris le message. Maintenant, tout va comme je le voulais. Et c'est tant mieux. Ce territoire est mien, et pers
rés en arrière, un éclat noir qui reflétait à la fois discipline et danger. Le costume ajusté qu
Depuis tout ce temps. C'est qu'elle urgence qui dure plus
i tomber dans ma chaise, en enlevant nonchalamment la veste de cuir noir, révélant une chemise blanche impeccable, légèrement débraillée, les manches légèrement retroussées révélaient des avant-bras marqués par les épreuves de ma vie, la cravate abandonnée dans la voitur
Regarde je suis ju
ère à la main, prêt à reprendre mon repas. Le contraste entre la froideur de l
dehors de chez moi Donovan, me r
a rendant encore plus imposante. Elle me fixe du regard, les mai
demande. Je ne veux pas av
qu'elle impose. Je baisse la tête l
grand-ma.
es murs de sable, construits à la hâte et de
raison que la police
ntinue mon plat en silence, mais je la sens me scruter, comme un
tinue donc de n'en faire qu'à ta tête. Ne viens pas plus tard me dire que je ne t'a
n de ma mère. Je lève les yeux au
le premier gars qu'elle avait trouvé. O
brusquement, son
n peu de recul. Tu ne sais
ante. Mais je ne répliquai pas. Elle veut toujours avoir rais
ronie dans la voix. De toute façon, on
vement sur le front, avant de me dirige
nd ma. Bonne nu
ison est calme, presque trop calme. Quand on vit dans mon milieu, on est obligé d'avoir des yeux derrière la tête. La tranquill
lu. Je l'ai payé et elle est rentrée chez elle sans prise de tête. Bon chez el
de ce côté-là. Je me suis donc connecté à FIFA pour un dernier coup av
une petite boîte noire avec une tache de sang dessus. J'ai jeté un coup d'œil dans les alentours, il n'y av
nt sur deux globes oculaires ensanglantés. Une secousse de dégoût me parcourt, mais je ne perds pas mon calme. Je laisse tomber la boîte au sol, mes yeux toujours fixés sur ce qui glisse lentement, comme une menace muette, sur l'asphalte. Un fris
ce qui est en train de se passer. J'ai d'abord pensé que c'était lui, puis je me suis dit que non. Drew n'allait pas me faire une farce pareille. Il tient trop à sa tête. Ça doit être
qui t'es occ
s lui donne
s demandé oui.
les yeux
end moi une autre maison. Dépêche-toi
l'idée de devoir tout quitter, mais je n'ai pas le choix. Ce Ghost, il a les ressources pour me perturber. Je crois que je l'ai sous-estimé un peu trop.
n'allais pas sortir de la journée, je m'habille en conséquence et m'installe au salon. J'aime tellement être ici. C'est apaisant. Et dire que je serai obligé de laisser cette maison dans pas longtemp
alors lâché prise. Je ne veux pas choper une migraine gratos. A trop penser à cette histoire, j'ai même oublié de manger. Je me suis donc rendu à la cuisine réchauffer quelque chose
s vraiment le voir. Mon esprit était ailleurs, bloqué sur des connexions qui commençaient à me troubler. Même quand je me suis dit que j'allais le laisser en off afin de me reprendre un peu. Puis, soudain, un éclair me
Etaient-ils vraiment auss
faisait que se tordre autour de moi, comme un piège invisible que je n'avais pas vu venir. Je ne pouvais plus ignorer cette sensation. Tout devenait trop personnel. Les jeux de pouv
rds résonnant contre le parquet sombre. La lumière tamisée de la pièce dansait sur les contours nets des meubles modernes. Ghost avait
Drew à nouveau. Il décrocha après deux sonneries, sa voix légèrement
des no
vous, mais aucune activité suspecte. Le type a soit un équipeme
ombre fixé sur l'horloge murale.
ci ce soir. Et mobilise les gars. Que tout le monde soit sur le pied d
? crachai-je
. Juste... S
l'ampleur de la situation. Ghost n'était pas un simple rival. C'était un préd
s remplies de livres et de reliques de mes voyages. Une arme à feu trônait discrètement sur le bureau, son éclat métallique me rappelant que dans mon monde, la violence
fait de lui vu que je ne le connaissais pas de face. Mais maintenant, une question persistait : qui était-il
e arrière. Je me dirigeai vers la source, mes sens en alerte. L'obscurité était totale, la lumière tamisée du couloir ne faisant qu'accentuer les ombres. Lorsque j'ouvris la por
andai-je, ma voix tra
a pas, mais une voix r
i qui poses les q
it menaçan
es muscles atteignant son paroxysme. Il venait de m'approcher directement, sur mon propre terrain. C'était plus qu'un défi. C'était une promesse que ce jeu ne faisait que
es, et Ghost allait découvrir qu'il avait réveillé le mauvais démon. Les questions tournaient en boucle dans ma tête. Les yeux, Maria, Ghost... Tout cela formait un puz