LE MARI DE MA MÈRE ET SON AMI ME BAISENT

mère n’en avait aucune idée ; c’était son mari qui me l’a offert. Avec ce téléphone, je faisai

de suivre un film porno sur liPad lorsque

Et alors, je décrochai l’appel. Sur l’écran, je voyais l

uellement ? l

s la cour, m

i pas dans

arce que tu

mère est pourtant

aît plus depuis q

comm

elle que j’ai

pourquoi m’appell

re que demain, on

alle

promenade e

’aime les

’observe, je devine ce qui

ment ; merci

in qui a crois

s do

ain, on fera l’amou

de te rendre tous les services et je n’en trouve

continue demain parce que je vois ta mère en tr

rd, à d

accrocha au nez et je con

*

je me mis dans sa cadence et collé l’un à l’autre, on se suçait les lèvres. J’avalais sa salive et lui aussi en avalait la mienne. Le monsieur était tellement accro de mes seins qu’il navait pas mis du temps à môter mon petit maillot. M’attrapant le sein droit dans la bouche, il me tétait comme un bébé tète sa maman. Dans mon c

, il s’accroupit devant mon vagin complètement mouillé et commença à me lécher. Le parcours de sa langue autour de mon clito et des lèvres de mon vagin humide me donnait une gra

, il attrapait mon clitoris entre ses doigts pour le palper. En me le palpant, on dirait que je recevais d

rectement par devant avant de me retourner sur le ventre pour m’attraper encore par derrière. À cette position, son pénis ne réussit guère à bien s’introduire dans ma chatte et il me traîna hors du lit. Sur les carreaux, c’était encore autre chose. Me mettant à quat

vie de décrire comment était le goût m

iser de papa Katy car, il con

comme l’avait dit une jeune fille au cours

; je vais te baiser doucettement com

, j’aime

si, j’aime

tain est

er

n’était pas par anus mais par le vagin. Son plantain était tellem

s seins en l’air, le mari de ma mère commença une fois encore à me baiser. Il ne dura pas longtemps cette fois avant de me retourner s

ça ! Alors je le crachai et

vas apprend

pondis mot et sous mes yeux, je le voyais s’éclipser de ma chambre

iger ? Pas moi