LE MARI DE MA MÈRE ET SON AMI ME BAISENT
'étais la seule fille en leur compagnie. L'un était sérieux dans ses dires alors que lautre me faisait juste rire. Le sérieux me disait qu'il avait du mal à supporter le fait
ts car, comment lon pouvait vouloir dune femme et se donner le courage de lui témoigner ses affections en présence de quelqu'un d'autre ? Ce qui était encore marrant, ils étaient tou
ue de la voiture étaient tellement attirantes qu'elle avait su retenir notre attention. Mes gars et moi nous étions mis à s
le conducteur, me fit ente
aussi, répondis-je. Sûrement que c'est
badine pas avec ma beauté et la souplesse de mon corps. J'aimais tellement mon corps que j'en prenais soin rigoureusement. Par jour, je me lavais plus de
ais pas la conductrice qui était entr
nie car, il faut que j'aille voir qui est ce
rosse caisse garée sur le portail de la maison de ma grand-mère jusqu'à ouvrir le portail. De la cour, j'entendais la voix de deux femmes ; deux voix parmi lesquelles je n'ident
! m'écriai-je,
riant, ne savai
? finit-elle
, maman ! Et
ie qui n'était pas bonne pour q
e mensonge mais j'ai finalement réalisé que ce qu'on
ant le mensonge de
her ou bien tu vas encore me mûrir
se attrapée en flagrant
supportable et je suis venue te chercher pour
lui demander silencieusement si c'
egard, la vieille femme me répo
je lui ai dit ! O
'était une joie pour moi de
menti, grand-mère ! Et to
ise et va l'embarquer dans la
nc à toi le
mémé ! Lorsque vous les jeunes filles, vous commencez à pousser des citrons
s des citrons. Ou s'ils le s
elle me raconte ! As-tu déjà qu
tu avais poussé
ant de commencer à po
la nature t'a donné tardivement les seins si ce que tu me racontes e
d'un rire sonore et je m'éclipsai p
rdaient encore dans le salon lorsque
nis vite de parl
envoyé d'invitation à la nouvelle venue. En tout cas, je men fiche. Ma
de Dieu, disait ma mémé à
ommencé l'enseignement dans le c
it toujours par obtenir la meilleure chose q
fais. Si jamais je le perds,
-lui soumise
te enveloppe, c'est lui qui
Qu'il soit béni
'il me faudra six heures de conduire avant
tout, prends bien soin de cette fille qui nou
salle de jeu. Tout ce qu'il faudra pour son divertissement, nous les en avons. Il y a mê
rance. À trois, nous nous avançâmes vers la cour puis sur la pelouse externe, là où était garée la grosse japonaise de ma mère. Elle a
ans le véhicule. Oh non, c'était une voiture
sa mère pour s'introduire au volant. Elle
*
érieur de l'immeuble respirait au gré des climatiseurs. Tout était frais ! Pouvez-vous imaginer combien de voitures dispose le mari de ma mère ? Qu
t nous ouvrir les battants pour permettre au vé
caliers ; ces marches qui nous conduisirent dans un vaste salon ; un salon très joli et très attirant ; un
petite avaient le regard sur l'écran de la télévision. De l'appellation « maman », je devinai aussitôt qui était cette fille.
e en allant poser un baise
n amour, lui répon
oanita, ma fille dont
une grande fille, voy
elle n'a même pas e
urtant elle a l'air
ite ! Et toi, viens
ux de ma mère et lui di
, jeune fille et s
i mon
e conduisit
pectes correctement, il te traitera comme sa propre fille. Il est vrai que c'est la petite que tu as vue à ses côtés qui est lenfant aînée de lui et moi. Mais si tu le respectes, je crois qu
est entendu. Je fera
affaires dans la garde-robe et à la
maman, à to
nt seule dans ma chambre, cett