LE MARI DE MA MÈRE ET SON AMI ME BAISENT
nt ce temps, je sentais un courant électrique parcourir tout mon corps. Mes mamelons étaient très durs et cétait
es coussins. Il m'écarta les jambes et doucement, tenta d'introduire sa bite dans ma fente. Certes, celle-ci
aller ; me dit-il
oucement avec sa bite ; une bite en érection ;
mal ! soupirai-j
c'est parce que
me fai
passer,
acc
on dans mon trou, un trou très rétréci ; un trou qui ne supportait pas c
er des larmes. Eh oui, les larmes me descendaient des paupières involontairement. Je ne pleurais pas pour cette dignité que je perdais au
s il nétait pas rapide comme dans des films pornos ; il allait doucement avec ses deux mains posées sur mes seins. Il me caressait les seins de ses deux mains et en traînait une vers mo
heure du retour de ma mère, papa Katy retira son machin et me demanda de monter dan
cilement, j'arrivais à soulever les pas vers les escaliers. Arrivée à la hauteur des escaliers, c'était encore devenu très dur pour moi de
e t'aider ? m
ceptai de la tête et il vint me soulever sur
Malgré le brasseur qui tournait au plafo
*
re vint dans ma chambre pour m
tre, maman, lui menti
e sont les
mes menstrues sont déjà pass
as pris quelque cho
en sai
r le docteur et
peine, maman, je
mme
éjà mieu
lons au salon
ai pas
e coucher ve
s yaourts lorsqu'il re
ue ça pourra te
ù j'aurai faim, j
uci ! Je monte dans
ci m
ointe de ses chevilles, me l
*
ours pl
sentir des malaises entre les cuisses. Enfin, ces douleurs sont p
s à prendre mon thé matinal lorsque j'ap
rrivée p
chérie ! Q
train de pre
ns prendre ce repas ! As-tu
le-t-on h
sais que tu
s le sachet. Ce qui traduisait qu'un était mien et l'autre, celui de mon compagnon. Je renversai le mie
enture, celle de la baise ! Pour cette deuxième
uleurs, j'ai finalement
re. Je pense que tu es averti. Parce que dans les prochains chapitres, je vais tellement texciter au