Appelez-moi Everild
5 : Les
te mais là, il n'est non pas de l
BAM...
vrez
rapidement nos puces dans nos téléphones et sort les derniers sous qui me restent 30 000, je sors le
lle était à mes cotés. A peine j'ouvre, je vois un coupe-coupe, j'a
és et balafrés sur le visage. Christelle tremble comme une feuille morte, ils entrent, inspectent
anque d respect envers les « grand frères ». Je sens le coupe-coupe passer tout p
les se font violer dans les cités par des braqueurs. Vous connaissez la femme camerounaise, bien que respectueuse et t
ro de téléphone, si elle est trop gentille, elle va s'arrêter manger ton argent, comme
tez-y le ton « Mon frèèèèèèèèèèèèère, est ce que je suis parenté à ton portefeuille ? » ou pire « quand tu me regardes et tu te regardes, toi
plus lancer le mais en paix parce qu'il est complexé; les filles, il f
nt ic
des 4 bandits, celui qui a parlé. J
tables ? L'argent
c'est
bas,
nt à bonne distance de lui
oute notre richesse matérielle, je recule
-tu tardé à v
, et rassemblé to
avais même
e fer à re
m'en rendre compte que j'ai reculé et pris la main de Christelle dans la mienne. Si
cerné entre 4 bandits, impossible. L'un d'eux se saisit de moi, je
!!!! ZAAAAAAAAAAA
fait mal. J'ai envie de pleurer mais pas devant la go. Ehhhhhhhhh, si je fais ça, après toute la gueule que je
de leur dire ou est caché le fer à repasser, ils se sont mis à fouiller la pièce
UM...KOUM
s'ils trouvent le porte monnaie de Christelle dans le matelas, ils sont
ent, lorsqu'il dépose le matelas, je vous assure que je suis un peu
!!! PAAAAAAA
rré les dents et encaisser, qui va leur montrer que
e fer à re
ai pas de f
le du petit là ! Je suis sure q
AAAAAAAAA
r à rien. Tu oublies ça dans le taxi, Le taximan et les passagers peuvent te porter plainte. Mes potes vo
pris ? » dit-il en l'a
i, grand
e fer à repasser, calvino, vient
as qui est maintenant sans drap; Elle essaie de se débattre mais ils la maitrise
ation pareille. Qu'auriez-vous fait à ma place. J'entends déjà les fous rires d'ici, « Dieu
échisse rapidement et trouve une solution parce que si ça se fait, je m'en voudrais toute la vie. Rester avec une fill
..KOU
'est comme si je l'entends battre au nive
!!! BA
abord immobiles puis du regard, décident de s'en aller sans plus un regard vers nous. Il ne faut pa
x. Je respire quand je vois le dernier des gredins prendre la porte puis la poudre d'escampette. Merci Sei
ouchée sur le lit, le caba relevé au niveau du menton. Elle est sous le cho
, ils n'ont pas eu l
ès, des larmes couler de ses yeux. Tout ce que je peux faire, est de parler et essayer de la rassurer. Je me suis mis à prier pour la c
t'aime chérie, je sui
vois pas ainsi que la puce de son téléphone. Je descends la colline et vais chez un ami qui n'a pas été touché et pou cause, il
est inquiet, je le rassure et lui dit qu'on m'a tout pris : télévision, argent, téléphone, livres et vêtements. Je rajoute que la puce,
qui promet de m'envoyer 350 000fcfa pour remeubler ma chambre, payer les livres, acheter un téléphone portable, ache
essaie d'arranger la chambre. Je suis tout à coup lasse, fatigué, je m'assois sur le sol et pleure
c'est pour vous punir. Ils branchent le fer et vous repassent tout simplement la peau comme si c'était un vulgaire tissu ou vêtement. C'est devenu un sport olymp
des coups frappés à la porte qui m'ont réveillé. Je me lève,
c'est
st Jo
temps là, je n'ai p
uand même
us-même ? Dans la cité, l'on sait que je m'appelle Everild, oui j'ai quelques petites (copines, ex) à mon
assuré que personne n'est dans le couloir et les portes de mes
e fois que tu m'appelles de
a
personne à part ma mère, n'a
c'est bon
lit, je suis un peu perdu là et Christelle qu
e à la cité. J'ai essayé de te joindre mais je n'ai pu t'avoir. Je savais que tu
s pas un gigolo. Que me veux-tu ? Tu as pourtant des
'es pas en condition de parler. Tu es encore sous le choc, si t
TOC...
: en
nd le téléphone en souriant. Je comprends que, c'est un
rist..Euh...bonj
r dit-elle e
la chambre, histoire pour mon ami d'att
:
i, bonjo
l est déjà 14 h et j'ai faim.
as été
ps avec la machette sur
oublier et l'an prochain,
i
er ta mère régulièr
i
é 400 000 fcfa, déb
i
i le code
i
toi et au moindre p
merc
au r
qui sont en grande discussion. Joel me fait des signes puis
lourd, tu es avec
:
oi alors les af
pu le faire là,
est comment al
tu dou
peu, tu sais que c'est
rais te laisser un
bon, à plus et j
i
u'elle a apportée dans les plats : c'est chinois. J'ai faim, je l'invite à manger et
assant devant le lit, je me rends compte qu'une enveloppe y est p
e hein, je vais aller donner 20
ssaie une fois de plus de joindre Christelle, mais rien. Je décide de passer chez ell
la porte, pas de réponse. La porte voisine à la
avec un bagage, peut-être q
commen
qu'elle partait
ok,
rie
evoir et b
r l'argent et vais à la poste prendre les renseignements pour ouvrir un compte bancaire, p
jours plu
. Je débarque Une demi-heure après l'heur donnée par Joade et voir Christelle assise avec le dénommé Richard que je
irige vers un immeuble située à quelques pas de là. Je vois les deux entrer dans l'immeuble et le jeune
'arrive pas à la joindre, pendant ce temps, la bonne dame prend du bon temps avec je ne sais
talons et vais à mon boulot. J'ai travaillé comme une automate car j'étais encore sur ma déception.
aissais à peine tonton Alfred avant de venir travailler dans son imprimerie. Le jour où j'a
ek-ends, tonton Alfred m'a fait appelé par la secrétaire. Je la suis, q
jour tont
our mon fi
en, merc
pour ton agressi
c'est dé
elle-là, il faut dire. Tu aurais pu te
dit que ca va passer, c'es
f
i t'a dit ? Il s'in
ce n'est pa
st mo
sure à partir de ce moment,
là le début d