L'alpha tout-puissant reconquiert sa compagne
Divorcée et mariée à un chef de guerre
Mon nouvel amant est un mystérieux magnat
Le retour de l'héritière adorée
Les regrets de mon ex-mari
Le retour de l'héritière délaissée
Choyée par le chef de la mafia
Une danse avec trois princes
Le retour de l'épouse indésirable
Son retour en grande pompe
L'amour, l'un des sentiments le plus indomptable qui existe. Un sentiment capable de changer des loups en agneau, ou simplement de faire en sorte d'endormir leur côté sanguinaire.
Devant un fort, les faibles n'ont souvent aucune valeur. Les forts dominent les faibles et c'est la triste loi de la nature. L'amour est justement venue y remédier.
La question est ce pendant, serait-il capable pour un faible de transformer sa peur en amour ? La peur d'un être faible, effrayé par la force du plus fort, par la férocité du loup, serait donc il capable de laisser place à l'amour ?
Notre histoire se déroule dans la ville de Mumbai, l'une de ville le plus riche et le plus peuplé de l'inde.
Devant une belle, grande et luxueuse villa, où l'on pouvait trouver, un grand jardin, terrain de golf, plus de cinq piscine sans parlé de l'immense maison qui était sans aucun doute, la chose la plus remarquable que l'on voyait lorsque l'on mettait les pieds dans la résidence, de part sa beauté, son luxe et sa grandeur.
Un homme en costume, mains en poches, lunettes de soleil, était entrain de marché. Cet homme était beau, grand et rien que par sa carrure on pouvait deviné à quel point il était fort, mais il était surtout sombre. Cet homme n'était autres que RUDRA KHAN KAPOOR, un homme qui avait réussi dans la vie grâce à des pratiques et des fréquentation pas très appréciable.
Accompagné de son homme de main, ces derniers se dirigeaient vers la voiture qui les attendaient et le chauffeur qui les ouvrait la portière
- l'argent a bien été versé sur leur compte. Dit son homme de main
- c'est bien, comme ça ils arrêterons de fouillé dans nos affaires. Et tu t'es occupé de contacté Ranbhir ?
- oui Mr, il vous donne rendez-vous ce soir
- bien !
Ils entrèrent dans la voiture et le chauffeur va se mettre dans l'habitacle du véhicule
Durant le trajet, dans la voiture
Rudra comme d'habitude était silencieux, regardant par la vitrine, le regard dans le vide, plongé dans ses pensées, sans tiré attention à tous ce que pouvait bien dire prabhat, son homme de main
Ils traversaient la ville, cet environnement peu tranquille, ébruiter, où se pavaner des gens avec sans doute des problèmes, des rendez-vous, prient par leur travail, ou juste marchant sans savoir où aller, fatigué par l'angoisse de la maison, les enfants, et leur conjoints. Ce quotidien qu'il ne connaissait pas
Mais son attention fut un instant portée vers ce bus de 12h qui faisait entré des passagers. Son attention fut ensuite tournée vers une personne en particulier, une femmes, qui, alors que les autres essayaient d'entrer en se précipitant pour espérer avoir une place, elle, se laisser bousculé, poussé sans avoir la force de résisté. Cette jeune fille avec des verres, qu'il avait aussitôt qualifié de faible.
Le trajet allait être long et pas une fois il n'avait dit un mot.
La voiture pris la route qui menait au village de BAPNALE où rudra avait entrepris un projet de construction qui aiderait les habitants. Son but n'était nullement généreux, il l'a fait dans le seul objectif de lavé son image, comme il en a eu très souvent l'habitude.
Une fois arrivé au village et précisément sur le cite où devait être construit la seule hôpital de la région
Pendant que l'ingénieur en chef lui expliquer l'évolution des travaux, Rudra semblait s'y désintéressé
Il visita le lieu pendant près d'une heure, avant de finalement dire à prabhat
- c'est bon j'en ai marre, on rentre
- oui mais.... Le chef de la région voudrait vous inviter chez lui, il voudrait vous remercié pour ce que vous faites pour ce village
- il aurait pue venir le dire ici, au lieu de me poussé à allé vers lui. S'il voulait le faire, il n'avait qu'à le faire là, de plus je n'ai aucunement besoin de ses remerciements
- monsieur, je pense que vous devez au moins allé là-bas, celà serait mal vue par les villageois que vous ne vouliez pas voir le chef pendant qu'il vous a lui même invité
- et tu pense que j'en ai quelque chose à faire ? Demande-t-il d'un tond sec
- après ce qui s'est passé la dernière fois je pense que.....
Sans qu'il ne finisse sa phrase, Rudra lança à ce dernier un regard noir, qui le fit taire. Il avala son cracha avant de prendre le courage de continuer
- celà ne prendra pas longtemps monsieur
Rudra fronça le sourcils avant de finalement accepté l'invitation
Dans ce même village
Dans une maison très modeste, où vivait Amrita et ses deux filles ainsi que sa belle fille (la fille de son défunt mari), Ruhana Mishra venait de rentrer de ses courses en ville
- ah te voilà enfin petit idiote. Dit Amrita
- me voilà mère
- je vois bien, pourquoi tu as pris autant des temps ?
- il y avait beaucoup des gens et j'ai eu du mal à prendre le bus
- hum.... Au lieu de resté t'éterniser là, vas plutôt chez Mr Chopda, il a besoin de toi
- mais mère je viens de rentrer et je suis epui....
- ne viens pas me dire que tu es épuisé ça m'est égal, n'oublie pas que tu as accepté de travailler pour leur famille gratuitement, sans te plaindre. C'était ta punition après avoir accusé leur fils d'un truc pareille. Tu le feras jusqu'à ce que quelqu'un se décide enfin à t'épouser
Les larmes de Ruhana ne pouvait que coulé en l'écoutant. Amrita ce pendant sourit
- mais qui voudrait épousé une fille comme toi ? Hum.... Allez vas-y, ne faut pas les faire attendre. Ils auront un invité très important à ce qui paraît
Ruhana essuya ses larmes avant de s'en aller
Ruhana, sa faiblesse n'avait d'égal que ses maux. Elle n'a jamais discuté les ordres qu'elle recevait des aîné, elle n'a jamais crié sur personne, elle n'a jamais été forte de sa vie
C'était dans une grande et belle maison que vivait le chef de la région et sa famille. Il vivait avec sa femme, leur fils unique, son frère, la femme de ce dernier et leur fille.
La voiture de Rudra s'arrêta dans le jardin de cette demeure.
Le chauffeur alla ouvrir la portière et Rudra en sorti. Il ne prit même pas la peine de balayé l'endroit du regard, il se contenta de se diriger où on l'indiquer
Mr Pranesh Chopda était dans son salon accompagné de sa femme, ils attendaient l'arrivé de leur invité. En voyant entré Rudra, ils se lèvent et attendent qu'il les rejoints au salon pour enfin les salué
Ils joignent les mains en le saluant
- namaste. Dit Pranesh ainsi que sa femme
- bonjour ! Répondu sèchement Rudra
- veuillez vous assoir. Demande poliment Pranesh
Rudra s'asseya et Pranesh et sa femme furent pareille
- je suis ravie que vous ayez accepté mon invitation
- vous avez une charmante maison Mr Chopda. Dit Rudra pour essayer d'être aimable
- Merci bien ! Elle a été construit par mes ancêtres, bien qu'il ait été rénové un peux, mais c'est une vielle maison
- je vois
- vous voulez boire quelque chose ? Demanda Mr Pranesh en faisant signe à l'une des domestiques
Cette dernière fut à son tour signe à celle qui se trouvait à la cuisine, qui sortit ensuite avec un plateau contenant trois verres
Lorsqu'il vu la domestique qui les apportait à boire, Rudra se rappella de cette fille dans le bus qui n'arrivait pas à monté ; c'était la même
Elle déposa le verre sur la table
- sers Mr Kapoor. Dit la femme de Pranesh
Elle prit donc le verre et le tendu vers Rudra, mais maladroite qu'elle était, elle renversa le contenu sur son beau costume
- c'est pas vrai Ruhana. Dit la femme de Pranesh
- je....je suis désolé, je suis sincèrement désolé. Dit-elle tremblante
Bien entendue, celà avait eu pour effet d'irriter Rudra qui se contenait de ne pas montrer son irritation
- c'est bon!
Il se lèva pour essayait d'enlever la boisson qui avait déjà tâcher sa veste
- je suis sincèrement désolé pour la maladresse de ma domestique, excusez la. Dit Mr Pranesh en se levant à son tour, ainsi que sa femme
- Urvashi indique à Mr Kapoor où il peut nettoyé sa veste. Ordonne sa femme à leur domestique
- encore une fois désolé.
- ce n'est rien