Elle retira l'anneau à son annulaire et le mit dans sa grande main. Il le sera et se releva pour sortir. À peine avait-il poser sa main sur la poignée qu'elle se mit à sangloter

Il sera les points et Jura entre ses dents avant de faire demi tour et de l'embrasser avec tout l'amour qu'il avait pour elle. Mais c'était impossible, et ça les deux en étaient bien conscient...

Les rayons de soleil traversaient le fin rideau pour venir se refléter sur le visage de la jeune femme. Elle se redressa lentement et regarda la place à côté d'elle. Elle était vide et froid signe qu'il était parti très tôt. Elle sentit ses yeux se remplir de larmes et se recroquevilla sur elle.

Il attendait dans cette salle le cœur ailleurs. Elle était dans ses pensées, partout dans son être. La voix d'une hôtesse retentit annonçant le départ pour (...)

Il se leva et pris la valise qui lui servait de bagage pour se rendre au lieu d'embarquement. Son bagage enregistré, c'était maintenant son tour. Il présenta ses papiers au policiers avant de se diriger vers l'avion il était sur le point d'entrée dans l'engin volant quand il se retourna et la remarqua immédiatement. Elle le regarda intensément à travers la grande baie vitrée qui les séparait. Elle avait les yeux rougies signe qu'elle avait beaucoup pleurer, les cernes sous les yeux prouvant sa fatigue. Des gouttes salées coulaient sur ses joues. Lui aussi n'en pouvant plus de cacher cette douleur intense laissa échapper quelques larmes avant de détourner le regard et de rentrer dans l'avion.

Elle le regarda partir sans rien faire, le cœur prisonnier de cet amour interdit.

C'était vraiment la fin...

9 ans plus tard.

Le soleil venait à peine de faire son apparition dans le ciel. L'on pouvait déjà voir la ville s'activer. De grands buildings s'élevaient dans le ciel. Dont l'un d'eux, représentant l'entreprise Anderson. L'une des plus grandes du pays. Influençant les plus grands milieu, Anderson production regroupait plusieurs business dont la construction d'hôtel, les usines, les marques et autres. La famille Anderson était respectée de tous et reconnue comme l'une des plus grandes.

Une grosse voiture noire gara dans le parking souterrain de l'entreprise. C'était le patron qui venait de faire son arrivée. Darwin Anderson céda sa place à son unique fils suite à une maladie qui fragilisait sa santé.

Il fit son entrée dans le hall principal incitant les trois femmes de l'accueil à se lever. Elles lancèrent un bonjour en même temps et Celui ci répondit d'un hochement de tête l'air sérieux. Les trois femmes semblaient le dévorer du regard. Aucunes d'elle ne restait indifférente au charme irrésistible de cet homme.

Warren Anderson était un homme au grand charme, charismatique et responsable. Cela faisait déjà cinq ans qu'il était à la tête de l'entreprise. Il faisait son travail très bien et les affaires semblaient encore plus fructueuses depuis son arrivée. Il entra dans son grand bureau où son amie qui était aussi son secrétaire l'attendait dans le petit salon luxueux. Se passant de la gente féminine qui s'intéressait plus à lui qu'à leur travail.

-Hé Wander ! Déjà là ?

S'écria le jeune homme. Dereck Harris était un afro américain très séduisant. Il était amie avec Warren depuis bientôt huit ans et commença à travailler avec Celui ci quelques mois après sa nomination au poste de boss.

-Comme tu peux le voir.

Répondit son ami en allant s'asseoir derrière son bureau. Juste derrière lui une grande baie vitrée donnant une vue sur la grande ville.

-Aujourd'hui t'as rien de prévu excepter une réunion avec le directeur de l'école secondaire de Gyver pour la visite des locaux Anderson

-Oui je me souviens et c'est à quelle heure?

-Après la pause déjeuner. Dit Wander, commença Dereck en se mettant face au bureau de ce dernier. Aujourd'hui c'est vendredi et on à pratiquement rien à faire ça te dirait une soirée entre potes comme au bon vieux temps ?

-Si j'ai un peu de temps libre ça pourrait peut être se faire

-Oh j't'en pris Wander ça te fait pas chier de passer toute tes journées dans cet endroit essaye de t'évader

-Arrêtes avec ce surnom ridicule et non je me sens parfaitement à l'aise dans ce bureau.

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