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Un lourd mensonge

Un lourd mensonge

Wade H

4.3
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2.2K
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88
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RĂ©sumĂ© au chapitre 01 😍

Chapitre 1 Chapitre 01

Partie1 : ~ le commencement~

Ginette : marie lĂšve toi !

Moi endormi : hum

Ginette : marie lÚve toi tu vas faire à mangé à ton oncle moi je suis en train d'allé au marché

Moi encore sur le lit : oh non 5min de plus stouplaĂźt !

Ginette : mais ton oncle il va aller au travail dans quelques heure tu te lÚve et tu vas lui faire à mangé aprÚs si tu veux tu reviens te couché je l'aurais fais mais je suis pressé allez lÚve toi hum

Moi me levant : pff je fais sa pour toi hein sinon... lui aussi il peut se faire son petit dĂ©j tous seul il est grand en plus il n'est que 7h j'ai tous le droit d'ĂȘtre encore dans mon lit

Ginette : rhalala.... bon écoute je m'excuse de t'avoir réveillé mais j'ai pas trop le choix si tu veux je te ramÚne un truc tu veux quoi ?

Moi : sa ne marche plus comme ça il faut demander Ă  ton gars d'ĂȘtre plus autonome tu ne seras pas tous le temps avec lui il doit se dĂ©brouillĂ© tous seul comme un grand il n'a plus 5ans mĂȘme un enfant de 5ans ne fait pas ça c'est Ă  ce demander comment il faisait pour se nourrir avant de te rencontrĂ© un vrai bĂ©bĂ© et puis il faut aussi voir tu l'aimes et sa te rend aveugle

Ginette : marie !!

Moi m'assaillant prÚs d'elle : tu sais que je t'aime mais vraiment tu es comme ma seconde maman mais ta façon de le traité là je ne suis pas d'accord il faut changer ça sinon un jour tu vas tomber de haut et te faire trÚs trÚs mal et DIEU seul sait combien de fois j'ai horreur de te voir souffrir lui là il ne mérite vraiment pas tous les sacrifices que tu fais là

Edouard criant depuis le salon : ET GINETTE MON DEJEUNER IL VIENT EN BATEAU OU EN PIROGUE ???

''Ah tu vois qu'est ce que je disais un bolosse''

Moi me levant d'un bond : tu vois comment il te traite mĂȘme pas un peu reconnaissant attend moi je vais aller lui remettre les pendules Ă  l'heure

Ginette m'attrapant le bras : ne fais pas ça c'est bon je vais m'en chargé je ne veux pas de mal entendu entre vous

''Eh la Gigi ouvre un peu les yeux non''

Moi : écoute j'ai juste dit ce que je pensais va au marché je vais lui faire son petit déj à l'autre là

Ginette : marie ...

Moi : c'est bon je voulais dire Ă  Edouard

Elle sait lever et elle est sorti je suis resté assise pendant 5min encore ensuite j'ai fais pareil celui là une bonne correction ne lui ferrais aucun mal un arrogant et un prétentieux comme ça

Il vit chez les gens et il veut faire la loi on ne sait pas s'il a mĂȘme une brique

...

Quelques prĂ©sentation rapide : bon vous savez dĂ©jĂ  que moi c'est Marie question prĂ©sentation on fera ça beaucoup plus tard je prĂ©fĂšre que vous me dĂ©couvriez c'est plus HOT comme ça on ne se prend pas la tĂȘte avec tous les dĂ©tails inutile je vis avec ma tante Ginette qu'on va appelĂ© la Gigi tous rĂ©cemment elle a fait la rencontre d'un bolosse du nom d'Edouard comment il m'Ă©nerve l'autre lĂ  il prend les gens pour son caniche si on cherche bien il ne doit pas ĂȘtre gabonais avec toute la laideur qu'il porte en lui Ă  mon humble avis c'est un NigĂ©riens

Mais SHUT c'est le mec de ma tante donc doucement plus tard vous allez vous demandez ou est ma mĂšre je prĂ©fĂšre dĂ©jĂ  vous dire pour Ă©vitĂ© de recasser de vieux souvenir douloureux j'ai perdu ma mĂšre quand j'avais 5ans et depuis lĂ  je vis avec ma tante la petite sƓur de ma mĂšre que vous connaissez dĂ©jĂ  n'ayant pas eu d'enfant sur le lit d'hĂŽpital ma mĂšre l'a fait promettre de toujours bien s'occupĂ© de moi se qu'elle a fait jusqu'Ă  mes 25ans

''Ah mais oui vous pensiez déjà que j'avais qu'elle ùge'' ??

Ah laissé ma tante et moi c'est l'amour fou oh on se dispute pour rien mais on se fùche jamais longtemps c'est bizarre hein c'est ma mÚre de substitution je l'aime vraiment beaucoup

Bon concernant mon pĂšre j'en ai pas lĂ  seul chose que j'ai de lui c'est son nom de famille Ibiza RiviĂšre ne vous moquez pas je ne sais pas plus que vous je n'ai mĂȘme pas envie de savoir

Concernant mes étude bah c'est facile hein cette année je fini normalement

Enfin si y'a pas de grĂšve parce que vous connaissez les reality shows de notre beau pays

En tous cas si j'ai manqué vous dire quelque chose je vais y revenir contez sur moi

Je sors donc de ma chambre et me dirige vers le salon ou Mr est assis trÚs confortablement les pieds sur la tablette et la télécommande en main

Ah mais lui il ne se gĂšne mĂȘme pas quoi saskoi ?

Sauvage comme ça !

Edouard le sourire aux dents : (lol smiley qui se perce les yeux) Bonjour Marie !

Moi en continuant ma route : ouais faut me salué

J'ouvre la porte la porte de la cuisine et je la referme quand je suis à l'intérieur

Ah saaa donc elle a mĂȘme fait sortit le pain du congĂšle quoi uuuu mais je rĂȘve non trop d'Ă©loge j'ai soulevĂ© le pain de la table et je suis allĂ© le remettre au congĂšle j'en ai fais sortir un qui est bien congelĂ© dur et bien glacĂ© j'ai dĂ©posĂ© sa dans un plateau j'ai fais sortir la boite de lait Bonnet Rouge du placard, le sucre du frigo et une tasse que j'ai aussi mis sur le plateau

En tous s'il veut du NescafĂ© il va le prendre lui-mĂȘme

J'ai pris une marmite dans les assiettes j'ai mis l'eau et j'ai mis au feu pendant que sa chauffais je suis allé laisser tous le plateau sur la table du salon

''Il ne manquerait plus qu'il me demande de lui faire la table aussi''

Je suis retourné dans la cuisine houlaa l'eau là bouillait déjà

lol ça se dit ?? Si ce n'est pas ça il faut me dire on apprend on faisant des erreurs

Bref.

J'ai soulevé la marmite avec un torchons et je suis allé mettre sa sur la table

Edouard : c'est bon je peux manger

''Oh Dieu des vivants ne me dit pas qu'il a dit ça''

Moi en allant dans ma chambre : tu pensais aussi que j'allais te dire viens manger si tu as faim tu manges si t'as pas faim bon tu te gĂšres moi je m'en fou

Lui :....

Je les laissĂ© dans son vide et je suis allĂ© me couchĂ© dans ma chambre mais le sommeil est mĂȘme partit et comme il Ă©tait dĂ©jĂ  8h je me suis levĂ© et je suis allĂ© me lavĂ© dans la douche extĂ©rieur

Une vingtaine de minutes plus tard je suis allé dans m'habillé j'ai enfilé ma tenu une jupe bleu foncé chemise bleu clair et un gilet avec notre Logos déçu j'ai porté une ballerine noir stylé devant façon façon là j'ai brossé mes cheveux et mis une barrette noir pour qu'elle les relÚve j'ai ramassé mon four tous et je suis sortis

Edouard : tu t'en vas déjà je te dépose ?

Moi : non merci je connais le chemin de Kinguelé à DerriÚre la prison je ne vais pas me perdre je connais bien la route

Edouard me dévisageant : tu ne m'aimes pas pourquoi ?

Moi m'en allant : bonne journée !!

En arrivant Ă  la route je m'attrape Ă  arrĂȘtĂ© le taxi quand je suis interpelĂ© je me retourne pour voir qui m'appel le Matin

-(essoufflé) : oh mon DIEU tu m'as fait courir depuis que je t'appel là Marie

Moi : je n'ai pas entendu je suis pressé bon parle vite regarde comment mes taxis parte

-laisse moi prendre mon souffle d'abord ah ouh oh ah bon il faut que tu m'aide

Moi : eh lĂ  maintenant c'est mort moi j'ai cour

-non pas maintenant toi aussi

Moi pressé de partir : on voit ça le soir tu vas bien m'expliqué là je cours

-ok bonne journée

Je suis monté dans le taxi qui est venu se garé devant moi

****

On a fini les cours Ă  15h imaginez un peu combien de fois je suis fatiguĂ© j'ai mĂȘme envie de pleurĂ© mais quand je pense que dans 2mois tous ça sera fini et que lĂ  c'est la derriĂšre ligne droite il ne faut plus dĂ©raper je me sens mieux

Avec ma cop Minori on sort de la classe 15min aprÚs la sonnerie j'ai seulement envie de bien mangé et de boire un bon Coca bien tapé (glacé)

Comme on avait faim toutes les deux on a dĂ©cidĂ© de s'arrĂȘtĂ© Ă  une CafĂšte pas loin on sait assis et on a commandĂ©

Pour moi c'est Spaghetti viande bien assoisonné et un grand Coca bien glacé et elle a pris Petit poids viande avec du pain et un Djino en accompagnement

« Vous-mĂȘme vous savez que c'est maaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaal bon ce qu'on mange lĂ  »

Minori la bouche plaine : tu fais quoi aprĂšs ?

Moi pareil : je rentre me couché là je suis morte c'était fort aujourd'hui ils n'ont pas eu pitié de nous

Minori : je voulais que tu m'accompagne chez un bolosse lĂ 

Moi : bolosse n'Ă  qu'attendre demain aujourd'hui c'est mort

Minori : hum demain ce n'est pas sur je vais donc y aller seul

Est-ce que j'avais mĂȘme encore son temps j'ai fini de bien mangĂ© et de boire mon jus on a payĂ© le type de la cafĂšte et on est sortit on sait sĂ©parer Ă  derriĂšre la prison

Quand j'arrive chez moi c'est le bruit et une grosse crise qui m'accueil j'ai mĂȘme envie de repartir lui il a encore Ă©nervĂ© ma tante lĂ 

Uuu il a pas whonte non !

Moi : bonsoir

Ginette s'assaillant bien énervé : oui marie bonsoir

Moi : y'a quoi ici ?

Ginette : pff c'est pas ton oncle qui vient m'emmerdé avec ses conneries depuis que je suis arrivé il me fait le bruit comme quoi tu lui a fait mangé glacé

Moi amusé : et puis tu te fùche pour ça tu ne sais pas zapper sur lui il parle tu t'en fou que quoi il est DIEU

Ginette : Marie !

Moi : non moi sa m'énerve qu'il te fasse ça si je les fait mangé glacé comme il dit pourquoi il n'est pas venu se plaindre chez moi il est lùche c'est tout... faire la force avec toi parce que toi tu ne parles pas mais il n'a qu'à venir chez moi je vais bien le dire ce que je pense

Ginette :...

Moi allant dans ma chambre : je ne sais vraiment pas pourquoi tu reste avec lui il est tout le temps là à te rabaissé et toi tu ne parles pas tu regarde juste la tu t'es énervé 5min aprÚs le soir tu vas continuer à l'écouté te faire des reproches moi je t'ai dis il faut ouvrir les yeux on n'aime pas comme ça

Ginette : hum

AprÚs ça je suis allé dans ma chambre vers 20h par la mon téléphone sonne avec toutes la fatigue que je ressens la je décide de répondre aprÚs que ça est sonné 5fois d'affilé

Moi : oui allo !

Jean-Luc : marie je suis a ta sortie tu peux venir me retrouvé j'ai a te parlé ?

Moi : ok j'arrive !!

''Lui aussi il débarque comme ça chez moi que je l'ai invité moi je n'aime pas ça est ce que moi je fais des tours chez lui ''

Je me suis levé je me suis vite changé j'ai porté un pant cout et un débardeur j'ai mis mes babouche et je suis sorti de la chambre

Ginette : tu pars ou Ă  l'heure lĂ  ?

Moi : je monte me prendre un truc en haut lĂ  j'arrive

Ginette : la nuit comme ça marie tu ne vois pas les bandits ?

Moi : je ne vais pas me faire braquĂ© regarde j'ai mĂȘme pas mon tĂ©lĂ©phone avec moi je vais juste me prendre un truc et je descends juste aprĂšs je te jure que je ne dure pas

Je suis sortis de la maison et je suis monté le retrouvé bon Jean-Luc ce n'est pas mon gars hein non moi je n'appellerais pas ça comme ça c'est plutÎt celui qui veut me dépanné il m'offre plein de cadeau de l'argent et pourtant il a sa femme j'ai l'impression qu'il veut me faire devenir sa pute privé

Moi montant dans la voiture : bonsoir

Jean-Luc : j'ai pas droit Ă  un bisou ?

Moi : on verra plus tard tu m'a appelé pour ?

Lui : je voulais te remettre ça (il me montre un enveloppe) et passé du temps avec toi

Moi : passé du temps sa veut dire ?

Lui : on part dans un motel et tu t'occupe de moi

Moi le regardant bien : un motel hein je ressemble à une pute d'abord tu me montre une enveloppe aprÚs c'est pour un plan cul c'est ça

Lui : heuu j'ai pas dit que tu Ă©tais une pute

Moi : si tu l'as dit quand on sort les filles dans les motels se sont des putes et moi je n'en suis pas une si tu veux on va chez

Lui : marie chez moi ce n'est pas possible

Moi : et pourquoi ça ?

Lui : ma femme

Moi : et puis ta femme Ă  quoi elle est malade ?

Lui : marie c'est compliqué je te dis

Moi : quand se serras plus compliqué tu me fais signe moi j'ai autres chose à faire si c'est fini je vais repartir chez moi

Lui : tu te rends au moins compte qu'on a jamais rien fais ensemble je te donne de l'argent et j'ai rien en retour

Moi : oh mais c'est moi qui t'ai demandé de me fournir des sous moi je ne t'ai jamais rien demandé tu as décidé de le faire et puis si tu veux je te redonne ton argent j'ai jamais eu besoin de ça pour avancé

Lui : marie mais ne le prend pas comme ça tu sais que ma femme est fragile je ne veux pas qu'elle souffre

Moi sortant de son véhicule : et c'est moi qui suis bien pour souffrir si elle est souffrante et fragile comme tu dis bah reste à son chevet moi je ne te sers à rien alors et puis tu me fatigue.... bonne nuit

Lui : mais ton enveloppe ?

Moi : tu veux que je fasse quoi avec ça tu peux retourner avec moi j'en ai pas besoin d'abord demain tu peux venir récupérer le reste des sous que tu m'as remit ses derniers mois

Lui : mais non c'est toi

J'ai claqué la portiÚre et je suis reparti chez moi

Non mais lui lĂ  il est quand mĂȘme bien maboule vouloir me faire passer pour sa maitresse qui va prendre soins de lui comme sa femme est souffrante et fragile

Et puis quoi encore !!!!!

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Prologue : Dans la pĂ©nombre de la vieille demeure Smith, le silence pesant semblait s'Ă©tendre, presque palpable. La grande table du dĂźner brillait encore des Ă©clats des couverts en argent et des verres de cristal, tĂ©moins d'une soirĂ©e ponctuĂ©e de murmures et de regards en coin. Au centre de ce tableau familial, Edward Smith, patriarche et chef de la lignĂ©e, trĂŽnait en silence, le regard sombre fixĂ© sur les visages de ses fils et petits-enfants. L'annonce de la visite inattendue de la famille Anthony avait laissĂ© un goĂ»t amer dans l'air. Cette famille dĂ©chue, autrefois proche alliĂ©e, venait rĂ©clamer l'application d'un accord de mariage ancien, comme une dette oubliĂ©e, qu'Edward espĂ©rait ne jamais voir resurgir. En observant ses petites-filles, Stellah et Stacey, qui tentaient de dĂ©fendre leur avenir, il ne pouvait s'empĂȘcher de ressentir un mĂ©lange de frustration et de dĂ©sarroi. Leur rĂ©volte Ă©tait prĂ©visible, lĂ©gitime mĂȘme, mais l'accord ancestral Ă©tait inĂ©luctable. C'est alors que la tension monta d'un cran, lorsque Richard, son fils cadet, dĂ©signa froidement Sandra, la plus jeune petite-fille, pour honorer ce mariage imposĂ©. Sandra, la fille d'Andrew, celle que tous avaient dĂ©nigrĂ©e en silence, celle dont l'existence dans la famille n'Ă©tait que tolĂ©rĂ©e. Son retour aprĂšs dix-huit ans d'absence n'avait fait qu'amplifier le mĂ©pris Ă  son Ă©gard, comme si elle reprĂ©sentait Ă  elle seule les erreurs et les hontes de la lignĂ©e. Les regards se tournĂšrent vers Sandra. Cette derniĂšre, d'un calme glacial, Ă©couta les injures et le mĂ©pris qui fusaient de toute part. Les reproches, les mots cruels de ses grands-parents et oncles pleuvaient, tentant de la rĂ©duire Ă  l'ombre qu'ils s'Ă©taient Ă©vertuĂ©s Ă  voir en elle. Mais au milieu de cette tempĂȘte, elle se leva, silencieuse, et marcha lentement vers eux. Son visage impassible cachait une dĂ©termination que nul n'avait anticipĂ©e. - Je vais Ă©pouser Levy Anthony, dĂ©clara-t-elle d'une voix implacable, coupant court Ă  toutes les protestations. L'effet fut immĂ©diat : la piĂšce entiĂšre plongea dans un silence choquĂ©. Et dans ce calme soudain, Sandra posa ses conditions, son regard dĂ©fiant la famille entiĂšre. Elle avait acceptĂ©, oui, mais elle n'Ă©tait pas sans armes. Les mots froids de Sandra firent frĂ©mir l'assemblĂ©e, rappelant Ă  chacun l'ultimatum inscrit dans l'accord ancestral : si une des petites-filles refusait de s'unir aux Anthony, la fortune des Smith s'Ă©vanouirait dans des Ɠuvres de charitĂ©, anĂ©antissant la vie de privilĂšges Ă  laquelle ils Ă©taient accrochĂ©s. Ce soir-lĂ , la maison des Smith fut tĂ©moin d'une scĂšne qui changerait le cours de son hĂ©ritage, oĂč un simple accord allait sceller les destins et rĂ©vĂ©ler l'inflexible volontĂ© d'une jeune femme longtemps rejetĂ©e, mais qui allait, contre toute attente, renverser les rĂšgles de cette famille.

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