À la quête du bonheur

À la quête du bonheur

MALACHIE

5.0
avis
341
Vues
29
Chapitres

Comme le titre l'indique déjà, allons ensemble à la quête du bonheur.

Chapitre 1 Chapitre 01

Elle venait de se réveiller, je l'entendais pleurer à travers le baby phone. Je me suis levé malgré la fatigue pour la retrouver dans sa chambre, je l'ai prise dans mes bras et elle a instantanément cessé de pleurer. Je me suis alors dirigé vers la cuisine, je lui faisais son biberon avec une main et je la tenais avec l'autre. Elle rigolait, c'était un jeu pour elle sauf qu'elle gigotait dans tous les sens et ça m'empêchait de mettre le lait en poudre dans le biberon...

Moi : Em arrête de bouger, tu veux ?

Elle balbutiait je ne sais pas trop quoi, de toute façon elle parle en bébé et je ne comprends pas cette langue so...

J'ai quand même pu finir son biberon avant de m'asseoir dans mon fauteuil préféré et de la nourrir. Quand elle a fait son rot, je l'ai ramenée dans sa chambre et mise dans son berceau, elle voulait encore jouer la petite...

Moi : Papa est super super fatigué alors je vais te chanter une berceuse et tu vas fermer tes magnifiques yeux avant de te laisser emporter par Morphée, hum ?

Oui je m'amuse à faire des monologues avec elle, c'est peut être con mais c'est ça la vie de père célibataire, je crois.

Moi (en chantant) : Douce nuit, sainte nuit, dans les cieux, l'astre luit....

Désolé mais c'est la seule chanson qui m'est passée par la tête, c'est pas Noël et pourtant. Ce qui est sûr c'est qu'elle s'est endormie avec ça, le pouce dans la bouche. Elle était tellement mignonne, Emily, juste 10 mois dans ma vie et je suis déjà comblé. Ce n'est pas rose tous les jours, je n'ai quasiment plus de vie sociale, je souffre quand elle ne fait pas ses nuits certes mais à chaque sourire, à chaque « bababababa... », à chaque essai qu'elle fait pour marcher, je suis heureux et je ne regrette en rien de l'avoir...

Le matin même après m'être préparé pour aller au boulot, je suis passé dans sa chambre pour lui faire un bisou avant de m'en aller pour une longue journée de travail. Elle dormait paisiblement, ça me fendait le cœur de la laisser à chaque fois avec une inconnue, bon pas si inconnue que ça, ça fait quand même 8 mois que Mélanie, sa nounou de 35 ans, s'occupe d'elle. Je l'ai connue par le biais d'une de mes voisines super gentille et depuis tout se passe bien, elle prend bien soin de ma fille, c'est le plus important.

Je déteste prendre le métro, c'est toujours bondé de monde et ces gens ont des têtes plus déprimantes les unes que les autres, j'avoue que des fois j'ai cette tête-là mais ce n'est pas tous les jours non plus. Je vais devoir supporter ça le temps de m'acheter une voiture mais ça ne risque pas d'être pour tout de suite, un bébé ça coûte hyper cher.

=========================================>

Je venais de finir mon déjeuner quand mon téléphone a sonné et merde j'allais passer un sale quart d'heure, je ne l'avais pas rappelée la dernière fois, elle ne va pas me rater !

Moi : Allô tante Betty !

TB : C'est pas la peine de faire la petite voix ici, pourquoi tu ne m'as pas appelée depuis là ?

Qu'est-ce que je vous disais ? Le pire c'est que son accent est drôle, donc c'est difficile de la prendre au sérieux quand elle est fâchée.

Moi : Désolé, j'étais débordé.

TB : Tchrouu dis-moi juste si ma petite-fille va bien !

Moi : Ahaha elle va bien merci.

TB : Elle a recommencé à ne plus faire ses nuits hein ?

Moi : Non maintenant ça va mieux, elle les fait. Par contre elle commence à manger un peu trop.

TB : Il ne faut pas la malparler ici, elle a pris ça chez toi. Je me souviens bien de ta gourmandise là.

Moi : Tante Betty arrête de m'afficher.

TB : Ahaha tu rigoles moins han ?! Bon mon fils c'était juste pour avoir de vos nouvelles, surtout n'oublie pas de m'en donner, au moins une fois par semaine.

Moi : Je tâcherai de me le mettre dans le crâne. Bonne journée Tata !

TB : Hey Chris !

Moi : Oui ?

TB : Le gardien m'a dit qu'elle est encore passée à la maison, ça fait deux fois quand même.

Moi : Ah ouais ? Ne t'inquiète pas, si tu la vois tu l'ignores. On ne lui doit rien.

TB : Okay. Porte toi bien mon fils !

Moi : Bises.

Click !

Il ne manquait plus que ça, qu'est-ce qu'elle essaie de faire comme ça ? Put*** elle m'a gâché la journée...

======================>>>>

Je suis rentré à 18h30 et j'ai trouvé Em et Mélanie en rires, elles jouaient sûrement. J'ai embrassé ma fille avant d'aller me changer. Je m'apprêtais à enfiler mon t-shirt quand j'ai entendu Mélanie crier mon nom, j'ai aussitôt accouru au salon et là j'ai vu la plus belle chose qui soit...Em faisait ses premiers pas, elle en a fait 4 avant de tomber sur ses pieds, je l'ai fait survoler dans les airs je savais qu'elle aimait trop ça. Plus je la regardais, plus je remarquais qu'elle ressemblait à sa mère, ce qui ne m'arrangeait pas les choses parce que je voulais l'oublier. Je sais que ce que j'ai fait est cruel, que ma fille ne me pardonnera probablement jamais mais je suis prêt à prendre ce risque...de toute façon je ne peux pas faire marche arrière, la machine est lancée et ce depuis un moment déjà.

Continuer

Inspirés de vos vus

Supplier Son Ex-Femme Milliardaire de Revenir

Supplier Son Ex-Femme Milliardaire de Revenir

PR
5.0

En regardant les papiers du divorce, mes lèvres se sont courbées en un sourire moqueur. 'Quelle grande idiote suis-je ? Comment peux-je penser qu'il donnera une chance à ce mariage ? Comment puis-je oublier que je n'étais pour lui qu'un outil pour se défouler jusqu'à ce que sa bien-aimée Tina revienne. Puisqu'elle est revenue, comment pourrait-il me laisser là ?' "Après avoir signé ces papiers, vous recevrez 100 millions de dollars en guise de pension alimentaire." ajouta l'avocat. A cause de ses paroles, je suis revenue à mes esprits, ai pris le stylo qu'il me tendait et ai signé mon nom. J'étais aussi épuisée par ce mariage, tant physiquement que mentalement. Même si je voulais que mon enfant naisse dans une famille complète, je ne voulais pas qu'il ait une belle-mère et vive misérablement comme moi pour le reste de sa vie. Après avoir pris les papiers de ma main, l'avocat m'a donné la carte bancaire, a fait demi-tour et s'apprêtait à partir quand il s'est arrêté à la porte. Il s'est ensuite retourné et a ajouté : "M. Leblanc a dit qu'il espérait que vous ne le harcellerez pas, sinon vous devrez en assumer les conséquences." Les mots de l'avocat étaient comme un couteau qui me transperçait le cœur, mais j'ai quand même acquiescé. De toute façon, je ne prévois pas non plus d'avoir quoi que ce soit à voir avec lui à l'avenir. Je veux juste vivre une belle vie avec mes enfants. Après le départ de l'avocat, la chambre est retombée dans le silence. J'ai posé ma main sur mon ventre et dit à mes enfants : "Bébé, je suis désolée, maman ne peut pas t'offrir une famille complète ! Mais je te le promets, je ferai de mon mieux pour te donner l'amour d'une mère et d'un père." 'Quant à en donner un de mes enfants, je ne le ferai jamais. Ce sont mes bébés et ils ne sont qu'à moi. Je vais les mettre au monde et les élever quoi qu'il arrive...' Quatre ans plus tard... Freyja est revenue au pays avec ses trois enfants, pour hériter de l'entreprise laissée par son grand-père...

Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre