MALACHIE
Vous aimerez peut-être
Quelques larmes pour un phénix
promotion Pourquoi ? C'est la question qui tourmente cet ouvrage. Il n'y a pourtant aucune réponse à apporter, ni à la peine, ni à l'univers, ni à quoi que ce soit. C'est précisément la raison d'être de ce livre : épouser un non-sens, se battre contre une absence de réponse, alors même que la chute est inévitable. Cet ouvrage s'ouvre sur une mort et se ferme sur un départ : parce que la mort n'est pas la réponse, parce qu'il existe ailleurs une autre forme de réponse, différente, plus belle, parce que l'auteur ne veut pas renoncer.
Biographie de l'auteur
Mathieu Paillé n'écrit pas seulement pour le plaisir, mais aussi, et surtout, pour appeler au secours. Au bout de sa plume raisonnent des voix silencieuses remplies de peines. Son ouvrage se veut un exutoire pour ceux qui souffrent, le moyen pour eux de s'échapper de l'enfer (...). Ma Bonne Cette Femme Douce Au Lit
Plume de la Romance Lucie et Florent sont amoureux l'un de l'autre depuis l'université et ont entretenu leur relation jusqu'à leur mariage. Tout allait bien jusqu'au jour où Lucie a été promue dans l'entreprise où elle travaille, ce qui l'a conduite à multiplier les voyages d'affaires.
Florent se sent désemparé. Non seulement sa femme gagne plus d'argent que lui, mais en plus, bien qu'il ait sa propre petite entreprise de livraison et qu'il s'en sorte correctement, c'est Lucie qui prend en charge les dépenses les plus importantes du foyer et contribue même à l'évolution de son entreprise. Cette situation l'empêche de s'imposer face aux choix professionnels de sa femme. Il fait de son mieux pour encaisser, mais l'absence prolongée de Lucie pèse de plus en plus sur lui. À la maison, c'est leur femme de ménage, Andréa, qui gère tout.
Ne supportant plus la situation, Florent tente d'en parler à Lucie pour qu'ils trouvent une solution. Mais elle n'est pas prête à écouter, son travail passant avant tout. Sa famille, de son côté, s'impatiente : après plus de deux ans de mariage, ils veulent voir des petits-enfants. Mais Lucie, encore une fois, ne se sent pas prête.
Un jour, dépassé par la frustration et le manque d'attention de sa femme, Florent se tourne vers Andréa. Cette dernière, en plus d'être efficace dans son travail, est une véritable bombe, avec un corps envoûtant. D'abord réticente aux avances de son patron, elle finit par en parler à sa mère. Celle-ci, voyant une opportunité, l'encourage à céder... avec un but précis : prendre la place de Lucie.
Pour y parvenir, sa mère lui remet une mystérieuse préparation à appliquer avant de coucher avec Florent. Dès leur première nuit ensemble, il devient littéralement accro à elle, incapable de passer une journée sans penser à son amante.
Jusqu'où ira cette relation interdite ? Lucie découvrira-t-elle la trahison avant qu'il ne soit trop tard ? Andréa réussira-t-elle à évincer sa patronne et à prendre sa place ?
Une histoire où passion, manipulation et ambition s'entremêlent dans un jeu dangereux... My life Story: Claudia
TATTY
Je m’appelle Claudia fille de Rebby et Carole , deuxième d’une famille nombreuse; l’ainé Orvel 23ans chassé de la maison, il se cherchait ailleurs, Josy 18ans était à sa première année à l’université, la troisième c’est moi 16 ans ; Sarah ma petite sœur de 13 ans et Audrey notre cadette 10ans … nous vivions dans une très grande maison car mon père gagnait si bien sa vie, il travaillait dans une compagnie privée de la place et nous étions une famille aisée.
Un bon samedi alors que ma mère était encore à ses occupations ; elle tenait une quincaillerie et une boutique d’habillement, j’étais dans la salle de bain entrain de prendre une bonne douche froide, je voyais à travers le miroir le reflet de mon père qui faisait des gestes bizarres … je le voyais très bien car la porte était entrouverte… au bout d’un moment il avait carrément introduit sa tête ; j’avais attrapé m*****s et j’avais crié…
- Papa !! mais que fais-tu ? papa !! je t’ai vu !!
Il s’était éclipsé à grand pas jusque dans sa voiture, il avait démarré et était parti; moi dans la salle de bain hébétée avec ma serviette que attrapais encore autour de ma poitrine, j’avais des oiseaux dans ma tête…
- « « Qu’est-ce qui vient de se passer là ? C’était bien mon père que je venais de voir là où c’était un rêve ? » »
J’étais sortie de la salle de bain guettant ça et là, et il y’avait personne même pas des bruits de ma sœur ainée ni les aitres c’était le silence total ; alors j’avais couru m’enfermer dans ma chambre.
J’étais tout simplement hors de moi, je venais de voir mon père lorgner dans la douche pendant que je prenais ma douche …