Le chant de la guérison

C'était la fin de l'été 2000 et une nouvelle année scolaire allait débuter. Une jeune fille de quinze ans regardait par la fenêtre tous les adolescents qui attendaient l'autobus pour se rendre à l'école et elle les enviait. Elle n'avait pas été à l'école très longtemps et elle ne souhaitait qu'apprendre davantage de chose pour s'enfuir de chez elle, de cette vie que son beau-père avait choisit pour elle. Elle aurait bien aimée avoir une vie différente de celle qu'elle avait maintenant, mais elle ne pensait pas avoir la chance de s'en sortir.

La seule issue qu'elle voyait était celle de la mort, ce n'était qu'à se moment-là, qu'elle vivrait en paix mais il ne la laisserait jamais partir si facilement. Elle était son ticket pour avoir de l'argent facilement sans se soucier de quoi que ce soit. Il ne ressentait aucune pitié envers sa belle-fille surtout depuis que sa femme était morte. Il ne cessait de blâmer la jeune Lya, il disait que c'était la faute de la jeune fille si sa femme était morte alors que c'était loin d'être le cas.

Un soir alors qu'il avait trop bu, l'homme a voulu profiter de la petite fille de huit ans mais sa femme ne l'avait pas laisser faire. Il l'avait donc frappé à répétition sans jamais s'arrêter, c'est cela qui avait causer la morte de sa femme, qui se trouvait à être la mère de Lya. Quand l'homme avait cuver, il avait blâmer la petite fille de huit ans puis le soir venu, il avait emporter le corps de sa femme bien loin et l'avait cacher pour que personne ne la retrouve. Il n'avait cessé de dire que sa femme s'était enfui une nuit sans un mot et qu'elle lui avait laisser la gamine. Lya ne pouvait rien dire à la police de peur que son beau-père ne lui fasse vivre la misère ou qu'il décide de la tuer aussi. L'homme avait trouver le réconfort dans l'alcool, des soirées sans fin avec ses amis et avec sa belle-fille. Il avait apprécier la violer encore et encore malgré son jeune âge puis ses amis et des amis de ses amis avaient proposés de l'argent à l'homme en question pour profiter du corps de la petite fille. Il avait bien évidemment acceptée et il était heureux que celle-ci lui rapporte tant d'argent. Il s'en foutait que ses clients fassent dû mal à la petite fille tant qu'il payait, ils pouvaient faire se qu'il voulait avec elle et vivre leur fantasme.

Lya subissait cela depuis déjà sept ans et jamais elle ne s'habituait à tout ceci. Une fois qu'elle était seule, elle pleurait toutes les larmes de son corps avant de s'endormir d'épuisement et cela arrivait que s'il ne l'attendait pas. Si son beau-père avait la malheur de l'entendre pleurer, il la frappait à répétition puis la violait à son tour jusqu'à se qu'elle soit épuisée et lui répétait chaque fois qu'elle le méritait, qu'elle n'était qu'une salope et qu'une agace. Qu'il ne serait jamais là si elle n'avait pas fait son agace la première fois et que cela avait causer la mort de sa chère femme qu'il aimait tant.

C'est donc pour cela que Lya regardait les étudiants avec envie. Elle était sûr qu'ils ignoraient ce mode de vie, qu'ils vivaient heureux dans leur famille respective. Elle aurait tant aimer avoir une vie bien banal mais elle n'avait pas eu cette chance, cette chance de vivre insouciante. Lya demeurait un minimum naïve, car elle rêvait encore qu'un jour elle puisse sortir de cette maison et vivre une vie différente que celle qu'elle avait présentement. Elle espérait que quelqu'un ne vienne la sauver des mains de son beau-père, que l'un des clients de ce dernier soit un agent en couverture et qu'il arrête cet homme dégoûtant. Elle ne voulait pas mourir de cette vie avant d'avoir pu mettre un pied à l'extérieur et de savoir se qu'était la vraie vie. Une vie sans viole, sans maltraitance et pas seulement dans les livres qu'elle dévorait dès qu'elle avait la chance d'avoir un peu de paix.

Lorsque Lya ne pouvait plus voir les adolescents, elle quittait le rebord de la fenêtre et aller nettoyer un peu le bazar dans la maison. Elle savait bien que son beau-père avait fait le party jusqu'à ce matin et que présentement il devait être ivre mort et inconscient dans la cave où il avait installer un bar illégale pour prostitué. Elle savait aussi que si elle ne ramassait pas, elle allait subir les conséquences plus tard.

Comme tous les jours, Lya était décourager du bordel que son beau-père et les clients avaient pu faire dans la maison, elle trouvait cela vraiment délabré comme un endroit chaque matin, mais dès qu'elle terminait son ménage, elle était fière d'elle car tout était impeccable, elle aimerait vraiment que cela demeure ainsi constamment, mais elle ne prenait pas ce rêve pour réalité, elle savait que cela ne serait pas possible.

Quand elle eut terminés son ménage, elle mangeait un petit déjeuner tranquillement, profitant que son beau-père dorme à point fermer. Elle savait que ce dernier n'allait pas se réveiller avant quinze heures, donc elle avait le temps de manger tranquillement puis de lire et prendre un bon bain chaud avant d'aller se coucher elle-même. Pendant qu'elle mangeait son petit déjeuner, on vint cogner à la porte de la maison se qu'elle trouvait étrange. Personne n'avait jamais cogner ici auparavant du moins pas aussi de bonne heure le matin. Doucement Lya se rendit vers la porte d'entrer puis l'ouvrit légèrement pour voir la personne derrière la porte et qu'il ne la voit pas beaucoup. Derrière la porte, il y avait un homme en costume cravate qu'elle n'avait jamais vu auparavant. Il avait des cheveux noir et des yeux bleus et devait mesure dans les un mètre quatre-vingt-dix. Lya dit alors :

-Bonjour, comment puis-je vous aider ?

-Je viens voir Aaron Lewis.

-Puis-je savoir pourquoi ?

-C'est mon père.

Lya était surprise, elle ne l'avait jamais vu avant et elle n'avait jamais su que son beau-père avait un fils. Elle ouvrit donc la porte et elle dit :

-Vous pouvez attendre dans le salon, je vais aller le chercher.

L'homme entrait dans la maison et suivit Lya jusqu'au salon. Il lui demandait alors :

-Qui êtes-vous vis-à-vis de lui ?

-Sa belle-fille, votre père était marié à ma mère. Quel est votre nom pour que je vous annonce ?

-Adam.

Lya penchait légèrement sa tête en signe de compréhension puis parti vers le sous-sol car elle savait qu'il était forcément-là. Elle n'aimait vraiment pas l'idée de le réveiller, mais elle n'avait pas tellement le choix de le faire. Son beau-père était évanché dans l'un des lits de ses putes entourer par deux filles du moins qu'elle pouvait voir. Elle dû se retenir de vomir et elle le secouait légèrement. Celui-ci grognait après elle puis elle dit :

-Votre fils, Adam est en haut et désire te voir.

Cela eut l'effet d'une douche froide sur Aaron Lewis car il se levait d'un seul coup et dit qu'il allait monter dans un instant. Lya partit en courant vers en haut, elle l'avait vu nus et cela la révulsait chaque fois. En arrivant dans le salon, elle vit qu'Adam attendait toujours sagement dans la pièce mais il n'était pas demeurer assit, il regardait les photos qu'il y avait sur la cheminé. Il y avait exclusivement des photos d'Aaron et de la mère de Lya.

Lya dit alors :

-Il monte dans un instant, désirez-vous quelque chose à boire ?

-Non merci, quel est ton nom ?

-Lyanna mais appelez-moi Lya.

-Bien. Lya cela fait combien de temps que vous êtes dans la vie de mon père ?

-Depuis dix ans.

-Où est votre mère et pourquoi n'êtes-vous pas à l'école à cette heure-ci ?

-Ma mère est décédée lorsque j'avais huit ans et je fais cour à la maison.

Quand elle eut terminer sa phrase, Aaron arrivait dans le salon habiller proprement. Il regardait son fils et il dit :

-Je ne m'attendais pas à ta visite Adam, ça fait longtemps qu'on s'est pas vu tous les deux. Lya va préparer du café.

Sans dire un mot, elle se dirigeait vers la cuisine et préparait du café son beau-père et son fils. Elle était vraiment surprise et elle ne savait pas quel genre d'homme était Adam. Il n'avait pas été élever par son père et n'avait pas eu contact avec lui mais il pourrait être le même genre d'homme et cela lui donnait la chair de poule d'y penser. Il avait l'air vraiment gentil mais Aaron aussi avait l'air gentil au début.