Rose1997
3 Livres Publiés
Livres et Histoires de Rose1997
Vous aimerez peut-être
Ma sœur m'a volé mon compagnon, et je l'ai laissé faire
PageProfit Studio « Ma sœur menace de prendre mon compagnon. Et je la laisse le garder. »
Née sans louve, Séraphina est la honte de sa meute-jusqu'à ce qu'une nuit d'ivresse la laisse enceinte et mariée à Kieran, l'Alpha impitoyable qui n'a jamais voulu d'elle.
Mais leur mariage d'une décennie n'était pas un conte de fées. Pendant dix ans, elle a enduré l'humiliation : pas de titre de Luna. Pas de marque de lien. Seulement des draps froids et des regards encore plus glacials.
Lorsque sa sœur parfaite est revenue, Kieran a demandé le divorce le soir même. Et sa famille était ravie de voir son mariage brisé.
Séraphina n'a pas combattu mais est partie en silence. Cependant, lorsque le danger a frappé, des vérités choquantes ont émergé :
☽ Cette nuit-là n'était pas un accident
☽ Son « défaut » est en réalité un don rare
☽ Et maintenant, chaque Alpha-inclus son ex-mari-voudra la revendiquer
Tant pis, elle en a assez d'être possédée.
***
Le grondement de Kieran vibrait à travers mes os alors qu'il me plaquait contre le mur. Sa chaleur transperçait les épaisseurs de tissu.
« Tu penses que partir est aussi simple, Séraphina ? » Ses dents effleurèrent la peau intacte de ma gorge. « Tu es à moi. »
Une paume brûlante glissa le long de ma cuisse. « Personne d'autre ne te touchera jamais. »
« Tu as eu dix ans pour me revendiquer, Alpha. » Je découvris mes dents en un sourire. « C'est drôle comme tu te rappelles que je suis à toi... seulement quand je m'éloigne. » La Belle et le Bêta
PageProfit Studio Quinn semble ne jamais être destinée à s'intégrer, un peu geek, mais sous tout cela, une beauté cachée que tant de gens semblent manquer, mais toujours pas ce que son Alpha de meute recherche chez une âme sœur prédestinée... alors il est déterminé à la rejeter et à lui rendre la vie infernale. Quinn, sachant que sa vie ne sera probablement plus jamais la même, se concentre sur ce qu'elle peut contrôler, son avenir, et part étudier pour devenir enseignante.
Fabian est le Beta de la Meute voisine. Un homme brisé ayant souffert de la perte de son âme sœur après une attaque de loup solitaire, Fabian se délite lentement. Tombant en morceaux. Une ombre de son ancien moi, et plus l'homme que quiconque veut fréquenter...
Jusqu'à ce que la Meute ait besoin d'un nouvel enseignant, et que Quinn se retrouve là-bas et soit poussée à se rapprocher du Beta. Une connexion se crée-t-elle ou est-ce dans leur imagination ? Et que se passera-t-il lorsque le compagnon de Quinn reviendra pour revendiquer ce qui est à lui ? Capturé par le cœur de la princesse
Smile Emprisonnée, tourmentée, oubliée. Je n'ai jamais vu l'extérieur de ces quatre murs. Je suis née dans le pénitencier de Nightmare, et je croyais que j'y mourrais aussi. Jusqu'à ce qu'un assassin me capture et me révèle une vérité que j'ignorais : je suis bien plus puissante que quiconque ne l'imagine. Je suis une princesse. Une druide. La dernière de mon espèce. Je commande la terre, et la lune me parle. Du sang royal coule dans mes veines.
Mon ravisseur, chargé de me ramener à ma famille, se retrouve enchaîné à mes côtés. Plus nous passons de temps ensemble, plus je découvre les secrets de mon droit d'aînesse volé, et l'ennemi qui me l'a arraché. Et plus je suis près de cet assassin, plus mon cœur, autrefois endurci, s'adoucit. Je n'aurais jamais cru qu'un homme aussi dur et solitaire pourrait m'apporter une lueur d'espoir.
Quitter Nightmare m'a propulsée sur un chemin inattendu. Un chemin semé d'espoir, de liberté, et peut-être même... d'amour. Un chemin qui mène à l'acceptation de mon héritage, avec un assassin à mes côtés. Mais l'avenir reste incertain. Deux routes s'offrent à moi : l'une vers le bonheur, l'autre vers la destruction. Et même moi, je ne sais pas laquelle l'emportera. De la HAINE à L' AMOUR
MIRAH
Une histoire émouvante, basée sur la tristesse. Si vous décidez de la lire, alors lisez la jusqu'à la fin pour découvrir les merveilles qui s'y trouve.
Un couple, marié. Un couple pauvre mais qui vivait a la sueur de son front. Un couple de travailleurs, d'infatigables sis a la banlieue dakaroise avec leur petite famille. Un couple de jeunes, amoureux et qui s'entendait à merveille. Effectivement, Khardiata Pouye et Omar Ndir vivait un amour inconditionnel avec "de l'eau fraiche".
L'epouse, Khar est issue d'une famille très aisée. Son père, elle l'a perdu tôt, a l'âge de 9 ans. Le frère de lait de son pere a hérité de sa mère apres le veuvage. Ce qu'on appèle le levirat. Khar aussi a hérité d'un nouveau père qui s'occupait bien d'elle et qui, comme ses autres " frères" bénéficiait d'un confort sans conteste. Le seul hic est qu'elle et ses cousines ou soeurs n'ont jamais posé le derrière sur une table d'école. Elles n'ont meme pas cherché à le convaincre. Son nouveau père était très strict là dessus, extrêmement et exagérément. Les garcons avaient ce droit mais les filles n'ont pas droit a l'éducation occidentale. En dépit de leur vie dakaroise. Car lui avait un bon poste au chemin de fer de Thiès, un poste qui payait beaucoup et si ce n'était pas lui qui venait deux Week-end dans le mois, ce sont ses deux femmes qui partaient le voir. La mère de Khar et sa coepouse. Tout le temps, il insistait sur le fait que les filles ne doivent ni aller a l'école ni frequenter celles qui y vont Elles pouvaient jouer, s'amuser entre elles et aider leur mère ou tante dans les corvées ménagères. C'est ainsi que Khar ne connaît pas un mot français.
Elle était couvée, nourrie, habillée et blanchie. En plus d'etre belle a souhait, soignée et respectueuse, Khar s'y connaissait en très bonnes cuisines. Elle savait faire de très bons plats et surtout des jus excellents et des " radis", crèmes glacées mises dans des sachets. Elle savait coudre des boutons manquants, repasser du linge bien lavé, récurer des pièces. Bref, elle était jeune, belle et en âge de se marier.
Pour pouvoir couvrir ses besoins personnels, ceux qu'elles n'aura pas besoin de demander à son père ou a sa mère, elle a décidé un jour de vendre son jus. Avant midi, les bouteilles qu'elle échangeait pour une piece de 50 francs étaient dans le réfrigérateur. A treize heures, avec sa glacière et en tenue correcte, elle vendait en faisant le tour du garage pour servir les apprentis et les chauffeurs. Elle s'en sortait bien. Et les gens appréciaient énormément cette petite bouteille de pain de singe, bissap, ditakh ou gingembre. Avec un fort caractère plus un sourire simple, elle trouvait son gain dans cette activité.