Mon histoire avec mon patron

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Elle était très heureuse dans sa vie avec sa petite maman jusqu'à ce qu'elle commence à travailler dans un bar conseiller par son amie elle décide de faire croire à son patron qu'elle est tombé amoureuse de lui pour lui soutirer de l'argent sans savoir qu'elle se mettait en danger.

Chapitre 1 Mon travaille dans un bar

* Dans la peau de Céline*

Cella fait quelques temps que je suis à la recherche d'un emploi heureusement aujourd'hui j'ai trouvé une annonce même si c'est un bar, je me prépare vite pour me rendre à l'entretien.

Arrivé au bar je me dirige vers le comptoir.

Moi: salut, j'aimerais voir le gérant.

Javier : c'est moi, comment puis-je t'aider ?

Moi: j'ai appris que vous cherchez une sérieuse, je suis venu pour l'entretien.

Après l'entretien heureusement j'ai été accepté et j'ai vite commencer .

Mon premier jour au travail était un peu bizarre mais plutôt pas mal.

Sonia: salut la nouvelle, comment tu t'appelle?

Moi c'est Sonia ( en me tenant la main).

Moi: je m'appelle Céline enchanté. ( je sers sa main)

Sonia: le plaisir est partagé, appelle moi si tu as besoin de quelque chose.

Moi: merci c'est gentil.

La première table que j'ai servie est celui de mon patron et ses ami sans le savoir.

Le patron : tu es nouvelle ? ( Il me regarde)

Un peu stressée mais j'ai réussi à répondre <> je les donné le menu.

Il me regarde de haut en bas<< tu es très belle, je veux un origin>>

Moi: merci , toute suite .

Après le service il m'a donné un bon pourboires. j'étais choqué mais heureuse << si tout les jours pouvait être comme ça, ça serait bien>>( dis-je en débarrassant la table)

Des jours ont passé, des mois aussi.je suis devenu amies avec Sonia et mon patron n'arrête pas de me complimenter tout les jours qu'on se croise dans un couloir.un jour au travail le patron est venu et dit

Patron: Céline je veux te voir dans mon bureau

Moi étonné me demandant si j'avais fait quelque chose

je le suis vite dans son bureau ( dis-je en troquant la porte)

Patron: oui entre, waooo tu es très belle se soir. ( en me regardant de haut en bas)

je baisse timidement la tête

Avant que je n'ajoute quelque chose

il me regarde

je me précipite pour sortir de là, en sortant il m'arrête

Moi: merci patron , vous m'avez demandé

Patron : oui, j'aimerais qu'on se voit toi et moi après le boulot, j'ai envie de te connaître plus.

Moi: désolé patron mais c'est impossible.

Avant que je n'ajoute quelque chose

Patron: ne t'inquiètes pas, appelle moi quand tu seras libre, je serai là

Moi: ok patron , je peux partir ?

Patron : oui.... bien-sûr

En sortant

Patron : attend ! Céline tu me plais.

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On n'avait jamais souhaité sa venue. Depuis toujours, Lola portait le poids d'une existence refusée, subissant les sarcasmes et les regards chargés de dédain. Dans sa maison d'enfance, les mots les plus cruels coulaient comme un poison familier : on lui prédisait qu'aucun homme digne ne voudrait d'elle, qu'elle ne mériterait jamais qu'un époux perdu ou sans honneur. Les années passèrent, et Lola devint une femme au regard calme mais aux cicatrices invisibles. Un jour, elle revint dans la demeure de son passé, non pas pour y chercher l'affection qu'on lui avait refusée, mais pour en finir avec les chaînes du sang. Elle voulait tourner la page, définitivement. Pourtant, à peine avait-elle franchi le seuil qu'une scène inattendue la désarma : deux petits êtres se jetèrent contre ses jambes, leurs bras serrés autour d'elle. - Maman, ne pars pas, laisse-nous devenir tes enfants ! Le second, les yeux humides, ajouta d'une voix tremblante : - Maman, papa pleure sans toi... Il dit qu'il veut un autre bébé avec toi ! Tout autour, les visages qui jadis s'étaient réjouis de ses larmes demeuraient figés, confus, incapables de comprendre ce qui se jouait sous leurs yeux. Et c'est alors qu'une voix grave s'éleva, imposant silence à tous : - Mon épouse, je vous en supplie... rentrez à la maison. Celui qui parlait n'était autre que l'homme le plus puissant du pays, celui dont la seule présence faisait taire les rumeurs. Et, pour la première fois, le nom de Lola fut prononcé non plus avec honte, mais avec respect.

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