Il a volé mon utérus et a tout perdu.

Il a volé mon utérus et a tout perdu.

Gavin

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Mon fiancé, Adrien, est devenu mon héros après avoir brutalement vengé la fausse couche causée par son ex-femme. Il a fait marquer son visage au fer rouge et lui a brisé les jambes, tout ça pour l'enfant qu'elle m'avait fait perdre. Je le croyais mon sauveur. Mais la veille de notre mariage, je l'ai trouvé dans ses bras. Elle était enceinte de son enfant, et toute leur histoire n'était qu'un mensonge orchestré pour me tromper. Il m'a avoué le pire : après ma fausse couche, il avait secrètement fait transplanter mon utérus dans le corps de cette femme, me rendant stérile à jamais. Pour me punir d'avoir découvert son secret, il m'a jetée dans une pièce remplie d'hommes sauvages pour que je sois violentée, me laissant pour morte. Il pensait détruire une victime sans défense. Il ne savait pas qu'il était en train de réveiller la fille disparue d'une famille si puissante qu'elle pourrait anéantir son empire d'un simple coup de fil. Alors que leurs mains déchiraient mes vêtements, j'ai calmement appuyé sur le bouton d'urgence de mon bracelet. Mon véritable fiancé était en route.

Chapitre 1

Mon fiancé, Adrien, est devenu mon héros après avoir brutalement vengé la fausse couche causée par son ex-femme. Il a fait marquer son visage au fer rouge et lui a brisé les jambes, tout ça pour l'enfant qu'elle m'avait fait perdre. Je le croyais mon sauveur.

Mais la veille de notre mariage, je l'ai trouvé dans ses bras. Elle était enceinte de son enfant, et toute leur histoire n'était qu'un mensonge orchestré pour me tromper.

Il m'a avoué le pire : après ma fausse couche, il avait secrètement fait transplanter mon utérus dans le corps de cette femme, me rendant stérile à jamais.

Pour me punir d'avoir découvert son secret, il m'a jetée dans une pièce remplie d'hommes sauvages pour que je sois violentée, me laissant pour morte.

Il pensait détruire une victime sans défense.

Il ne savait pas qu'il était en train de réveiller la fille disparue d'une famille si puissante qu'elle pourrait anéantir son empire d'un simple coup de fil.

Alors que leurs mains déchiraient mes vêtements, j'ai calmement appuyé sur le bouton d'urgence de mon bracelet. Mon véritable fiancé était en route.

Chapitre 1

Le jour où j'ai perdu notre enfant a commencé lorsque l'ex-femme de mon fiancé m'a traînée par les cheveux hors de notre maison.

Le marbre immaculé du sol était froid contre ma joue. Deux hommes costauds, aux visages impassibles, me tenaient les bras derrière le dos, me forçant à m'agenouiller.

Camille Dubois, ses ongles laqués de rouge s'enfonçant dans mon cuir chevelu, a tiré ma tête en arrière. Son sourire était une entaille triomphante sur son visage parfaitement maquillé.

« Tu croyais vraiment que tu pouvais me le prendre, petite traînée ? »

Une douleur, vive et aveuglante, a explosé dans mon bas-ventre. J'ai suffoqué, un cri étranglé s'échappant de ma gorge.

« S'il vous plaît, » ai-je supplié, ma voix n'étant plus qu'un murmure rauque. « S'il vous plaît, le bébé... »

« Le bébé ? » Le rire de Camille était comme un éclat de verre brisé. Elle s'est penchée, son haleine chaude sentant le champagne hors de prix. « Ce petit bâtard n'aurait jamais dû exister. »

Elle s'est redressée et, d'un geste désinvolte, m'a giflée violemment. Le monde s'est mis à tourner. Une humidité chaude et collante a commencé à s'infiltrer à travers ma robe, tachant le tissu blanc d'un cramoisi terrifiant.

La porte d'entrée s'est ouverte à la volée. Adrien Chevalier, mon fiancé, le charismatique PDG dont le visage ornait la couverture d'une dizaine de magazines, se tenait en silhouette contre la lumière de l'après-midi. Ses yeux, de la couleur d'une mer déchaînée, se sont écarquillés de stupeur, puis se sont rétrécis en fentes de pure fureur.

« Adrien ! » ai-je crié, un sanglot de soulagement coincé dans ma gorge.

Camille n'a même pas sourcillé. Elle a simplement lâché mes cheveux et a reculé, admirant son œuvre. La flaque de sang s'étendait autour de moi, un halo macabre.

« Regarde ce qu'elle a fait, Adrien. Elle est tombée. Si maladroite. »

Mais Adrien ne la regardait pas. Son regard était fixé sur le sang, sur mon visage pâle et strié de larmes. Un instant, le monde s'est arrêté. Puis, un rugissement de rage primale a éclaté de sa poitrine.

Il a bougé si vite qu'il n'était plus qu'un éclair. Il a attrapé Camille à la gorge, la soulevant du sol. Ses yeux exorbités, ses mains griffant inutilement sa poigne de fer.

« Tu l'as touchée, » a-t-il grondé, sa voix un grognement bas et terrifiant. « Tu leur as fait du mal. »

Il n'a pas attendu de réponse. Il l'a projetée contre le mur. Le bruit d'un os heurtant le plâtre a résonné dans le hall caverneux. Camille a glissé au sol, un tas informe.

Il fut à mes côtés en un instant, ses mains douces alors qu'il me prenait dans ses bras.

« Élise, mon amour, reste avec moi. Tout va bien se passer. »

Mais je savais que c'était faux. La vie en moi s'échappait avec chaque goutte de sang. Mon monde s'estompait dans le noir.

Les heures suivantes furent un brouillard de sirènes, de couloirs d'hôpital stériles et des mots calmes et dévastateurs d'un médecin. Fausse couche. Le mot fut un marteau en plein cœur.

Quand je me suis réveillée, Adrien était assis près de mon lit, la tête entre les mains. Ses jointures étaient écorchées et ensanglantées. Il a levé les yeux, le regard rougi et rempli d'une douleur qui reflétait la mienne. Il m'a raconté ce qu'il avait fait.

Sa vengeance fut aussi rapide que brutale.

Il n'a pas seulement ruiné Camille Dubois. Il l'a anéantie.

Il l'a fait traîner hors de son penthouse au milieu de la nuit. Il a engagé un tatoueur, un homme spécialisé dans le recouvrement des affiliations de gangs, pour marquer de façon permanente son visage du mot « Pute ». Il lui a brisé les deux jambes, de la même manière qu'elle avait autrefois brisé celles d'une rivale lors d'un « accident » de ski.

Puis, il l'a dépouillée de tous ses biens, de chaque centime, de la moindre parcelle de son identité. La dernière fois que quelqu'un a vu Camille Dubois, la mondaine glamour, elle était poussée hors d'une camionnette noire dans la cité la plus dangereuse de la banlieue parisienne, vêtue de haillons, son visage autrefois magnifique un masque en ruine.

« Elle ne te fera plus jamais de mal, » avait murmuré Adrien, la voix rauque d'émotion, alors qu'il me tenait dans mon lit d'hôpital. « Plus personne ne te fera jamais de mal. Je te le jure. »

Et dans les semaines qui ont suivi, il l'a prouvé. Il n'a jamais quitté mon chevet. Il me nourrissait, me lavait, me serrait dans ses bras quand je me réveillais en hurlant de cauchemars. Il m'a couverte de cadeaux, d'affection, d'une dévotion si absolue qu'elle en était suffocante. Il m'a fait croire que j'étais le centre de son univers, la seule chose qui comptait.

Le monde voyait Adrien Chevalier comme mon protecteur dévoué, l'homme qui avait mené une guerre pour la femme qu'il aimait. Je le voyais comme mon sauveur.

Je l'ai cru. Mon Dieu, comme je l'ai cru.

La nuit précédant notre mariage, l'événement mondain le plus grandiose de l'année, je n'arrivais pas à dormir. L'hôtel particulier était silencieux, l'air chargé du parfum de milliers de roses blanches. Je suis descendue pour un verre d'eau, mes pieds nus silencieux sur le marbre frais.

C'est là que j'ai entendu les voix provenant du bureau.

Sa voix, basse et empreinte d'une tendresse inhabituelle.

« C'est bientôt fini, mon amour. Encore un peu de patience. »

Et puis, une autre voix. Une voix qui a envoyé une décharge glaciale dans mes veines. La voix de Camille.

« C'est ce que tu as dit la dernière fois, Adrien. Tu as dit que tu la quitterais. Et qu'est-ce qui s'est passé ? Elle est tombée enceinte. »

Ma main a volé à ma bouche, étouffant un hoquet. Je me suis plaquée contre le mur, mon cœur martelant mes côtes.

« C'est différent, » a dit Adrien, d'un ton apaisant. « Le mariage est une mascarade nécessaire. Pour les affaires. Tu le sais. »

J'ai jeté un coup d'œil par l'entrebâillement de la porte. Mon estomac s'est noué.

Il la tenait dans ses bras. Adrien, mon Adrien, berçait Camille Dubois, sa main caressant ses cheveux. Son visage, un paysage grotesque de tissus cicatriciels, était enfoui dans sa poitrine.

« Tu me dois une fière chandelle, Adrien, » a-t-elle murmuré, sa voix étouffée contre sa veste de costume. « Pour mon visage. Pour mes jambes. »

« Je sais, » a-t-il murmuré. « Et je me rattraperai. Je te le promets. »

« Je veux qu'elle souffre, » a sifflé Camille, se reculant pour le regarder. Ses yeux brillaient d'une lueur venimeuse. « Je veux qu'elle ressente ce que j'ai ressenti. Je veux qu'elle soit jetée aux chiens, comme tu l'as fait pour moi. »

Un temps de silence. J'ai retenu mon souffle, priant. Dis non, Adrien. S'il te plaît, dis non.

Il n'a hésité qu'une fraction de seconde.

« D'accord. »

Le mot fut une mort silencieuse.

« Tu n'as pas pitié d'elle ? » La voix de Camille était tranchante, suspicieuse. « Après tout, c'est ta précieuse petite sauveuse. »

Adrien a ri, un son froid et vide.

« Sauveuse ? Elle n'est qu'un substitut. Une remplaçante. Rien de plus. » Il lui a relevé le menton, son pouce traçant la cicatrice déchiquetée sur sa joue. « Ne t'inquiète pas. Demain, tu seras ma femme. Et elle... » Il a fait une pause. « Elle aura ce qu'elle mérite. »

Il a essayé de s'éloigner, mais Camille a enroulé ses bras autour de son cou, l'attirant pour un baiser possessif et brutal.

« Arrête, » a-t-il grogné, la repoussant doucement. « Tu vas réveiller le bébé. »

Mon sang s'est glacé dans mes veines.

Camille a souri d'un air suffisant, sa main protégeant son propre ventre légèrement arrondi.

« C'est un petit battant. Tout comme son père. Tu ne laisserais rien lui arriver, n'est-ce pas ? »

« Tais-toi, Camille, » a claqué Adrien, sa voix teintée d'irritation.

Mais j'en avais assez entendu. Je ne pouvais plus respirer. Le monde basculait sur son axe, la réalité soigneusement construite de ma vie se brisant en un million de morceaux.

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