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Amour Brisé, Vies Dévastées

Amour Brisé, Vies Dévastées

Gavin

5.0
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Le téléphone a sonné juste après minuit, déchirant le silence de mon bureau. Ma fille, Sophie, avait été admise à l' hôpital, victime d' une agression grave. Dans les couloirs froids, le visage tuméfié de Sophie sur le lit blanc m' a déchiré le cœur, mais celui de ma femme, Claire, est resté une toile vierge. « Où étais-tu ce soir, Alexandre ? » a-t-elle demandé d' une voix glaciale, me traitant comme un suspect tandis que notre enfant luttait pour sa vie. Les jours suivants, Claire a évité ma présence, consultant la police et un avocat... engagé pour elle seule. Le choc s' est mué en confusion, puis en une douleur brûlante. De retour à la maison pour quelques affaires, j' ai trouvé la vieille tablette de Claire. Un enregistrement vocal, intitulé « Conversation Marc », a révélé l' horreur. Il s' agissait de Marc Leclerc, son amour de jeunesse et mon rival professionnel acharné. Leur plan machiavélique m' a glacé le sang : ils avaient orchestré l' agression de Sophie pour me piéger, afin d' hériter de mes biens et de ma société. Claire, avec une haine insoupçonnée, s' est plainte que j' avais « gâché sa vie » par mon succès. Ma propre fille n' était qu' un dommage collatéral. Le verre de la photo de famille a volé en éclats, comme ma vie brisée par leur trahison. Un calme sombre a remplacé ma rage, car je devais sauver Sophie. Je me suis retrouvé face à une meute de journalistes, prévenus par Claire, qui m' accusait publiquement. Puis j' ai vu Marc, avec son sourire narquois, et une fureur pure m' a envahi, mes poings trouvant sa mâchoire. « C' est lui ! C' est le monstre ! » ai-je hurlé à la foule, brandissant ma clé USB contenant leur conversation. Claire, jouant la victime parfaite, a clamé que je l' avais fabriquée. Menotté, je l' ai vue aux côtés de Marc, leurs regards triomphants scellant ma défaite. Libéré sous caution, j' ai été brutalement enlevé et séquestré. Claire, sereine, a enfilé des gants de latex et prélevé mon ADN pour me piéger. Marc s' est moqué : « Tu n' as jamais rien vu venir, Alex. » Il portait ma montre fétiche, cadeau de Claire. Leurs révélations sur l' avenir de Sophie, débranchée une fois que je serais derrière les barreaux, ont libéré une force primaire en moi. Le bois de ma chaise a cédé. Alors que je me battais, le souvenir du tatouage de Marc, celui d' un agent de sécurité rencontré il y a deux ans, a explosé dans ma conscience. Ils m' avaient manipulé depuis toujours, Marc n' était pas un vieil ami, mais son complice secret. Un coup violent de Claire m' a plongé dans les ténèbres. Je me suis réveillé à l' hôpital, l' inspecteur Lemoine me regardant avec méfiance. Sophie était stable, sous surveillance constante. J' ai vainement tenté de dénoncer Claire et Marc ; leurs alibis étaient inébranlables. Puis, ma banque affichait : « Compte vide. » Claire avait tout pillé, me laissant sans un sou. Ma panique s' est muée en une rage froide et calculatrice. Ils avaient tout pris, sauf ma détermination à sauver Sophie et à les anéantir. Deux jours plus tard, dans le couloir de l' hôpital, Marc et Claire m' ont affronté. Marc m' a nargué sur ma situation financière. Claire m' a tendu les papiers du divorce : elle voulait tout, en échange de ma liberté. J' ai accepté, mon calme les ayant déstabilisés. « Ça valait le coup ? » ai-je demandé, voyant enfin une fissure dans son masque. Le lendemain, l' inspecteur Lemoine, intrigué par leur façade, a réécouté l' enregistrement. Soudain, une infirmière a hurlé : « Elle s' est réveillée ! » Mon cœur a bondi. Les médecins ont confirmé que Sophie souhaitait me voir. Marc, livide, a tenté de s' interposer. Dans la chambre, les yeux de Sophie se sont posés sur moi. « Papa, » a-t-elle murmuré. Lemoine lui a demandé qui l' avait agressée. Son doigt a tremblé, pointant vers la porte où se tenait Marc. « C' est lui. » Marc a hurlé et s' est débattu, Claire est arrivée, paniquée, démentant les accusations. « L' ADN que vous avez prélevé sur moi alors que j' étais drogué et attaché ? » ai-je interrogé, clouant Claire au pilori. Son masque a volé en éclats. J' ai évoqué la poussière et les fibres de bois sur mes vêtements et sur la tête de Marc, preuves de leur enlèvement. Les marques de cordes sur mes poignets ont scellé leur destin. Devant ma révélation, Marc et Claire se sont déchirés. Lemoine a reçu un appel, son visage s' est durci. « Marc Leclerc, Claire Moreau, je vous arrête. » Les menottes ont claqué. Claire a hurlé de rage, mais Marc l' a suppliée. « Je ne te connais pas, » a-t-elle répondu, scellant leur trahison mutuelle. Alors qu' on l' emmenait, son regard vers moi était vide de toute émotion. Les menottes ont résonné, le plus beau son. J' ai serré Sophie dans mes bras, la laissant pleurer, murmurant : « C' est fini, ma chérie. » Claire, menottée, est revenue. « Pense à Sophie, elle a besoin de sa mère. » « Cette mère qui voulait la débrancher ? » ai-je ri amèrement. « Tu es morte pour elle. » J' ai testé une vérité que je n' avais pas : « Tu as dit : 'La petite est à terre. Lance la suite du plan.' » Son visage s' est vidé de sa couleur. Ma main a claqué sur sa joue, « C' est pour Sophie. » Des cris ont retenti : Marc avait sauté du dixième étage. Claire a hurlé un cri inhumain. Je suis retourné auprès de Sophie, la protégeant de l' horreur. Quelques semaines plus tard, Sophie est sortie de l' hôpital. Nous avons quitté notre ancienne maison, déménageant dans un appartement plus modeste. J' ai refusé de revoir Claire en prison. « Je suis désolée, » a-t-elle murmuré, anéantie par la mort de Marc. « Tu as déjà tout perdu le jour où tu as décidé que la vie de ta fille valait moins que de l' argent, » ai-je rétorqué. Je l' ai laissée, me promettant de ne jamais la revoir. Le procès a eu lieu, Claire a été condamnée. J' ai récupéré une partie de mes biens, mais seule Sophie comptait. Assis sur un banc, je l' ai regardée jouer, une cicatrice permanente sur son front. Elle a couru vers moi, me demandant : « Papa, on sera toujours juste tous les deux ? » « Oui, ma chérie. Juste toi et moi. Contre le reste du monde. » Les blessures étaient profondes, mais son amour nous aiderait à guérir et à reconstruire notre vie.

Introduction

Le téléphone a sonné juste après minuit, déchirant le silence de mon bureau.

Ma fille, Sophie, avait été admise à l' hôpital, victime d' une agression grave.

Dans les couloirs froids, le visage tuméfié de Sophie sur le lit blanc m' a déchiré le cœur, mais celui de ma femme, Claire, est resté une toile vierge.

« Où étais-tu ce soir, Alexandre ? » a-t-elle demandé d' une voix glaciale, me traitant comme un suspect tandis que notre enfant luttait pour sa vie.

Les jours suivants, Claire a évité ma présence, consultant la police et un avocat... engagé pour elle seule.

Le choc s' est mué en confusion, puis en une douleur brûlante.

De retour à la maison pour quelques affaires, j' ai trouvé la vieille tablette de Claire.

Un enregistrement vocal, intitulé « Conversation Marc », a révélé l' horreur.

Il s' agissait de Marc Leclerc, son amour de jeunesse et mon rival professionnel acharné.

Leur plan machiavélique m' a glacé le sang : ils avaient orchestré l' agression de Sophie pour me piéger, afin d' hériter de mes biens et de ma société.

Claire, avec une haine insoupçonnée, s' est plainte que j' avais « gâché sa vie » par mon succès.

Ma propre fille n' était qu' un dommage collatéral.

Le verre de la photo de famille a volé en éclats, comme ma vie brisée par leur trahison.

Un calme sombre a remplacé ma rage, car je devais sauver Sophie.

Je me suis retrouvé face à une meute de journalistes, prévenus par Claire, qui m' accusait publiquement.

Puis j' ai vu Marc, avec son sourire narquois, et une fureur pure m' a envahi, mes poings trouvant sa mâchoire.

« C' est lui ! C' est le monstre ! » ai-je hurlé à la foule, brandissant ma clé USB contenant leur conversation.

Claire, jouant la victime parfaite, a clamé que je l' avais fabriquée.

Menotté, je l' ai vue aux côtés de Marc, leurs regards triomphants scellant ma défaite.

Libéré sous caution, j' ai été brutalement enlevé et séquestré.

Claire, sereine, a enfilé des gants de latex et prélevé mon ADN pour me piéger.

Marc s' est moqué : « Tu n' as jamais rien vu venir, Alex. »

Il portait ma montre fétiche, cadeau de Claire.

Leurs révélations sur l' avenir de Sophie, débranchée une fois que je serais derrière les barreaux, ont libéré une force primaire en moi.

Le bois de ma chaise a cédé.

Alors que je me battais, le souvenir du tatouage de Marc, celui d' un agent de sécurité rencontré il y a deux ans, a explosé dans ma conscience.

Ils m' avaient manipulé depuis toujours, Marc n' était pas un vieil ami, mais son complice secret.

Un coup violent de Claire m' a plongé dans les ténèbres.

Je me suis réveillé à l' hôpital, l' inspecteur Lemoine me regardant avec méfiance.

Sophie était stable, sous surveillance constante.

J' ai vainement tenté de dénoncer Claire et Marc ; leurs alibis étaient inébranlables.

Puis, ma banque affichait : « Compte vide. »

Claire avait tout pillé, me laissant sans un sou.

Ma panique s' est muée en une rage froide et calculatrice.

Ils avaient tout pris, sauf ma détermination à sauver Sophie et à les anéantir.

Deux jours plus tard, dans le couloir de l' hôpital, Marc et Claire m' ont affronté.

Marc m' a nargué sur ma situation financière.

Claire m' a tendu les papiers du divorce : elle voulait tout, en échange de ma liberté.

J' ai accepté, mon calme les ayant déstabilisés.

« Ça valait le coup ? » ai-je demandé, voyant enfin une fissure dans son masque.

Le lendemain, l' inspecteur Lemoine, intrigué par leur façade, a réécouté l' enregistrement.

Soudain, une infirmière a hurlé : « Elle s' est réveillée ! »

Mon cœur a bondi.

Les médecins ont confirmé que Sophie souhaitait me voir.

Marc, livide, a tenté de s' interposer.

Dans la chambre, les yeux de Sophie se sont posés sur moi.

« Papa, » a-t-elle murmuré.

Lemoine lui a demandé qui l' avait agressée.

Son doigt a tremblé, pointant vers la porte où se tenait Marc.

« C' est lui. »

Marc a hurlé et s' est débattu, Claire est arrivée, paniquée, démentant les accusations.

« L' ADN que vous avez prélevé sur moi alors que j' étais drogué et attaché ? » ai-je interrogé, clouant Claire au pilori.

Son masque a volé en éclats.

J' ai évoqué la poussière et les fibres de bois sur mes vêtements et sur la tête de Marc, preuves de leur enlèvement.

Les marques de cordes sur mes poignets ont scellé leur destin.

Devant ma révélation, Marc et Claire se sont déchirés.

Lemoine a reçu un appel, son visage s' est durci.

« Marc Leclerc, Claire Moreau, je vous arrête. »

Les menottes ont claqué.

Claire a hurlé de rage, mais Marc l' a suppliée.

« Je ne te connais pas, » a-t-elle répondu, scellant leur trahison mutuelle.

Alors qu' on l' emmenait, son regard vers moi était vide de toute émotion.

Les menottes ont résonné, le plus beau son.

J' ai serré Sophie dans mes bras, la laissant pleurer, murmurant : « C' est fini, ma chérie. »

Claire, menottée, est revenue.

« Pense à Sophie, elle a besoin de sa mère. »

« Cette mère qui voulait la débrancher ? » ai-je ri amèrement. « Tu es morte pour elle. »

J' ai testé une vérité que je n' avais pas : « Tu as dit : 'La petite est à terre. Lance la suite du plan.' »

Son visage s' est vidé de sa couleur.

Ma main a claqué sur sa joue, « C' est pour Sophie. »

Des cris ont retenti : Marc avait sauté du dixième étage.

Claire a hurlé un cri inhumain.

Je suis retourné auprès de Sophie, la protégeant de l' horreur.

Quelques semaines plus tard, Sophie est sortie de l' hôpital.

Nous avons quitté notre ancienne maison, déménageant dans un appartement plus modeste.

J' ai refusé de revoir Claire en prison.

« Je suis désolée, » a-t-elle murmuré, anéantie par la mort de Marc.

« Tu as déjà tout perdu le jour où tu as décidé que la vie de ta fille valait moins que de l' argent, » ai-je rétorqué.

Je l' ai laissée, me promettant de ne jamais la revoir.

Le procès a eu lieu, Claire a été condamnée.

J' ai récupéré une partie de mes biens, mais seule Sophie comptait.

Assis sur un banc, je l' ai regardée jouer, une cicatrice permanente sur son front.

Elle a couru vers moi, me demandant : « Papa, on sera toujours juste tous les deux ? »

« Oui, ma chérie. Juste toi et moi. Contre le reste du monde. »

Les blessures étaient profondes, mais son amour nous aiderait à guérir et à reconstruire notre vie.

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